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Doga tome 1 sur 1
EAN : 9791032716991
186 pages
Editions Ki-oon (02/05/2024)
3.93/5   21 notes
Résumé :
Le road trip fantastique d'un noble cyborg et d'une as du système D !
Yote, rejeton de la noblesse, est aussi éduqué qu'ignorant des réalités du monde. Son premier voyage en dehors de son domaine tourne court quand il est poignardé pour son argent dans les bas-fonds de Leoure, la cité du désert. Sauvé par une bricoleuse de génie, il se retrouve dans un corps de cyborg lui permettant de survivre... un an ou deux. L'équipement est si rustique que Yote a besoin ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Ayant bien accroché avec la série ayant fait découvrir l'autrice, j'étais toute joie de voir Ki-Oon poursuivre l'aventure et nous proposer à nouveau en avant première sa nouvelle histoire aux allures aussi pop et pulp que la précédente mais dans un univers aux allures de western cybernétique cette fois ! Toryumon Takeda et moi sommes faites pour nous entendre !

L'autrice a en effet une verve à laquelle j'aime répondre et dans laquelle j'aime me fondre. Ses univers à la Mad Max me parlent à chaque fois et je la trouve très percutante aussi bien dans ses inspirations que ses mises en scène. Cette nouvelle série, débutée en 2022, est à nouveau une collaboration avec Ki-Oon et elle y reprend les mêmes gimmicks que précédemment, à savoir un duo improbable et un road trip, mais elle y ajoute cette fois une quête et flirte un peu plus avec les frontières entre les genres, mélangeant allègrement thèmes de SF et décor de fantasy avec un zeste de western et de grands espaces. On aime !

Paraissant sur internet, sur le site de prépublication Web Action, la série démarre à peine avec ses 2 volumes reliés, pourtant elle pose d'entrée des bases qui m'ont énormément séduites. Après une introduction sommaire et rapide où on voit nos héros en danger dans le désert, petit rétropédalage et retour en arrière pour nous présenter leur rencontre et comprendre comment ils en sont arrivés là. L'histoire se déroule dans un monde désertique où un jeune noble qui en a marre de ne pas pouvoir être « libre » part en voyage, mais au cours de son séjour dans une ville du désert à l'ombre d'une arche, il se fait attaquer dans un coupe-gorge, et au moment où il va mourir, une cybernéticienne passe par là et réalise son voeu : lui donner un corps pour qu'il puisse être libre.

Cette thématique de la liberté va nourrir toute l'oeuvre. L'autrice nous montre à travers ces personnages et les lieux visités tout un panel d'entraves à la liberté mais également de puissants désirs émancipateurs. Yote, par exemple, est l'archétype du noble naïf qui vit dans sa bulle paradisiaque et pourtant il n'est pas heureux et ne se sent pas libre. Il cherche donc à la fuir et à éprouver une vraie liberté de mouvements. A l'inverse, Doga, qui va l'aider dans sa quête, est une jeune fille sans attache qui peut sembler libre mais qui est coincée dans sa ville de naissance sans perspective. Yote, en lui demander de l'accompagner jusqu'à la mer, va ainsi lui ouvrir des portes inattendues.

J'ai ainsi beaucoup aimé le décor mêlant fantasy et steampunk que nous propose l'autrice. On y sent bien le côté mortifère avec ses noblesses qui ne vit que dans un décor en carton, ou ce peuple enfermé dans les traditions et sous le joug de lois que les dépassent. La ville de Doga est un magnifique exemple de prison à ciel ouvert, où les lois empêchent les gens de vivre librement. L'arche étant classée, ils n'ont pas le droit de s'en approcher ou d'aller dans certains quartiers, pas le droit de profiter de ses richesses, ce qui les pousse à une vie de misère et de danger. Ils sont coincés là, dans cette routine, dans ce marasme. Alors forcément, quelqu'un comme Yote avec ses rêves, c'est une bouffée d'air frais !

La dynamique qui se met en place entre lui et Doga est classique. On a une baroudeuse orpheline d'un côté, un noble naïf de l'autre. le décalage de leurs interactions est amusant. On en plus des physiques assez atypiques, ce que je salue. Doga n'est pas filiforme et a de vraies formes. Merci à l'autrice ! Yote est un cyborg un peu raté avec des yeux qui partent dans des coins opposés ou des membres qui se coincent dans des positions improbables. Forcément on sent que leur périple ne sera pas de tout repos entre leurs limites physiques et leur méconnaissance respective du monde qu'ils vont tenter de parcourir. C'est une quête un peu surréaliste et improbable, pour ne pas dire vaine, dans laquelle ils se lancent, aucun n'ayant vu l'océan, tous les deux cherchant un mythe non prouvé, mais c'est la beauté du geste qui compte. Il faut chercher la liberté !

Les dessins de l'autrice en plus se prêtent à merveille à ce décor avec leur filtre un peu rude, leur trait un peu crayonneux et brouillon. Elle a une patte qui se remarque et me séduit personnellement, aussi bien dans les physiques atypiques des personnages loin des credo habituels que dans les décors de cette ville multiples où se côtoient pauvreté et richesse, belles gare moderne steampunk et souk à la mode de Tunis avec mines cachées sous les maisons pauvres. C'est vraiment riche et surprenant.

Titre plein d'un bel enthousiasme positif, d'emblée Doga m'a séduite par sa quête de liberté dans un monde qui pourrait être oppressif, mais dont les limites sont là pour mieux nous montrer la force que les héros déploient pour être libres. C'est motivant ! Si vous aimez comme moi les décors très marqués par la pop culture, le mélange des genre et les pattes graphiques assumés avec atypiques car loin du côté lisse des titres mainstream, venez vous embarquer dans cette quête infernale aux côtés de notre noble cyborg et sa guide orpheline débrouillarde, l'aventure est garantie !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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La mangaka de Badducks est de retour chez Ki-oon avec Doga of the Great Arch, sa toute récente série en cours qui n'est pas sans évoquer la précédente.

En effet, cette nouvelle cavale qui s'annonce à 100 à l'heure suit un duo aussi étrange et barré que celui de Badducks (trio si on compte le bébé) !

D'une part, nous découvrons Yote, héritier du domaine de Sotelna, intronisé Yoterda va Sotelnoa. Ce jeune homme cultivé et idéaliste n'a toutefois aucune notion pratique, et pour éviter de devoir se marier suite à son accession au pouvoir, décide de partir en voyage dès le lendemain de la cérémonie. Cette folle décision semble étonnamment bien acceptée par son grand frère, qui organise tout avec grand soin et promet de veiller sur le domaine durant l'absence de son cadet. Yote commence son périple à Léoure, la ville du désert, et aurait dû l'y terminer car il se fait lamentablement poignardé dans les bas-fonds.

Étant précisément très lettré mais pas du tout conscient de la réalité du monde, Yote avait été très négligent quant à sa condition de noble (et sa richesse) et visiblement, ses gardes l'ont été tout autant... ou leur avait-on demandé de l'être ? Mystère, il me paraît vraiment louche le grand frère !
Heureusement pour lui, une énigmatique bricoleuse qui passait pile au bon endroit, au bon moment, décide de le sauver à l'article de la mort ; après un grand bidouillage dans une machine créée il y a longtemps mais jamais utilisée, Yote est de retour... à l'état de cyborg.

Acculé, le jeune seigneur est toutefois décidé à continuer sa quête, mais opte pour une nouvelle destination : la mer. Il espère ainsi revenir à la vie grâce à la légendaire magie des sirènes, si elles existent réellement. Pour ce faire, Yote dispose de deux ans grand maximum : "la vieille" bricoleuse le met en garde que ce corps ne saurait durer plus, et que le stockage de sa mémoire demandera régulièrement d'effacer des souvenirs s'il veut se maintenir.
Pour l'accompagner, la vieille lui recommande les services de Doga, une jeune femme brute de décoffrage, sans aucun raffinement, mais débrouillarde comme pas possible. Si Doga est assez frileuse au départ à l'idée d'aider cet étranger très bizarre, la perspective de devenir riche en échange de ses services suffit à la convaincre.

La course contre la montre de Yote et Doga est ainsi lancée, et commence à vrai dire plutôt mal suite à des péripéties liées à leurs handicaps mutuels (Doga étant ignorante des usages du monde hors des quartiers pauvres et Yote ne pouvant se balader comme il le souhaite car il ne maîtrise pas son corps).
Le tome se termine sur un flashback de la cérémonie d'intronisation de Yote comme héritier du domaine, et n'a fait que renforcer ma première impression qu'il est plus que louche, le grand frère !

Et sinon, qu'est-ce que j'ai pensé de tout ça ?
Pour tout dire, c'est le bazar quand même ! J'avais adoré le premier tome de Badducks et j'attendais que les trois autres sortent histoire de tout lire d'un coup, donc j'ignore comment l'intrigue a évolué. J'ai un peu le même sentiment en terminant ce premier tome : un début prometteur bien que j'ai trouvé les personnages moins attachants et chaleureux que ceux de Badducks.
On retrouve quand même des touches d'humour à cause du décalage monumental entre les deux personnages principaux, ce qui amène de la légèreté dans une narration très lourde et à l'espoir si ténu. Car on comprend très vite que si Yote est déterminé à effectuer son parcours, il réalise qu'il n'en reviendra pas et Doga non plus, d'ailleurs.
Et plus généralement, les sociétés que l'on croise paraissent étouffantes (en plus de la chaleur littérale de Léoure) qu'il s'agisse de Léoure et de l'immense pauvreté de ses habitants, ou des nobles de Sotelna qui ressemblent à un panier de crabes. J'ai beaucoup aimé l'accent mis sur le manque de moyens des habitants, l'espèce de mur de réalité que Yote prend en pleine figure face au désespoir et à la lassitude des gens.

Je ne mets que 3,5/5 parce que je trouve qu'il y a beaucoup de potentiel, mais que pour l'instant, ça part dans tous les sens, comme si la mangaka avait voulu mettre trop de choses en un seul tome et aussi que j'ai eu du mal à m'attacher aux deux protagonistes. Je lirai certainement la suite pour voir comment ça évolue et je suis plutôt confiante car je reconnais qu'il y a un gros travail et puis il y a une patte graphique très personnelle (bien qu'assez bordélique à certains moments).
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« DOGA » ou plus exactement « DOGA of the Great Arch » nous offre un nouvau road trip endiablé et prometteur dans un univers inconnu. Celui-ci est assuré par Toryumon TAKEDA qui a fait « Badducks » (terminé en 4 tomes aussi chez Ki-oon). Nous nous laissons facilement entraîner, mais c'est clairement que le début.
Nous avons deux personnes engagées dans ce road trip qui complètement leurs connaissances, et au fur et à mesure nous apprennent à découvrir leur univers. Deux, dont la route avait très peu de chance de se croiser. Au niveau de la noirceur du quartier des pauvres, oubliés de tout le monde, y compris du gouvernement, certains tentent de survivre honnêtement, et d'autres sont plus cruels.
La série commence tout juste au Japon aussi, vu qu'elle est aussi en cours avec son tome 1.

Les premières pages sont en couleurs pour notre plus grand plaisir, et en pleine action. Apparemment c'est encore après l'évènement auquel on arrive à la fin. Ensuite, nous remontons le temps pour comprendre comment ils en sont arrivés là. Nous avons également quelques flashbacks par moment, une gestion du temps qui bouge, mais permet au fil du temps de raccrocher les évènements entre eux et de mieux appréhender le tout.
Yote est un noble, Doga est une orpheline, pauvre. Doga ne connaît rien au monde extérieur, au monde réel, il était promis à un « grand avenir », mais pas réllement libre. Ahhh la sacro sainte liberté.
Doga est libre à sa façon, mais pauvre (donc pas réellement non plus), elle survit, elle trouve des trucs, mais ne tue personne elle. Elle va travailler pour Yote. Doga peut lui apprendre ce qu'est réellement leurs vies, comment ils survivent, ce qu'ils font, ce que cachent le fêtes de la nuit, pourquoi en plein jour on ne voit personne …
Mais au-delà de ces murs, elle ne sait rien. Elle ne sait pas lire, ne connaît pas le langage universel, n'a jamais vu la mer, n'a jamais vu autre chose que sa cité.

Yoterda va Sotelnoa (dit Yote) vivait confortablement. Nous découvrirons plus tard dans l'histoire ce qui a déclenché son départ. Mais dans son monde, il n'est ni à l'abri de manigance, ni de contraintes. On attend des choses de lui de toutes sortes. Encore jeune, il a voulu découvrir le monde. Il est bien entendu entouré, a de l'argent mais partir seul, sans protection, sans rien vraiment savoir de leurs conditions de vie, c'est pure folie. Oui, c'est ce qu'il fait, il fausse compagnie à ces accompagnants.
C'est Moria, une bricoleuse de génie, plus âgée qu'eux qui sauve Doga, mais en le transformant en cyborg et sous conditions. Elle lui dit d'aller voir Doga pour qu'elle le guide à l'aéroport, ensuite sa famille saura s'occuper de lui. Mais Yote ne l'entend pas ainsi, il veut aller voir les sirènes, et espère retrouver son corps.

Ce tome met tout en place, nous fait découvrir les personnages, leur univers, leurs différences, les liens, comment chacun vit. Vers la fin, tout se précipite pour totalement ouvrir nos horizons et nous faire voir d'autres choses. Nous sentons un potentiel et que ce n'est que le début, même si on a un cri de désespoir en voyant la dernière décision non éclairée de Doga.
Le dessin est brut de décoffrage, à l'image des choses que nous allons vivre. Ils ne sont pas spécialement beaux nos personnages, loin d'être parfait, mais intéressants, « vivants ».
Vous verrez aussi que Yote voyage bien différemment, mais il ne doit pas se faire répérer (sur la fin).

Nous avons donc deux personnes jeunes, d'autres classes sociales, engagés dans un sacré raod trip ensemble, et une autre qui a fait le lien entre elles, et a aussi offert à Yote de ne pas mourir immédiatement tout en étant plus vraiment vivant non plus.
La ville où ils sont au départ, Léoure, est une ville du désert, où il peut faire très chaud.
Au tout départ, nous commençons dans le sable.

On dirait que la mer est utilisée aussi comme un joli symbole de liberté, de voir le monde
Doga doute même de son existence
(Dans l'attaque des titans, ils parlent aussi d'aller voir la mer, pas de sirènes néanmoins).

J'ai surtout hâte de voir ce que la suite nous réserve !
D'en savoir plus cette notion d'arche aussi et sur leur monde en général.
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..
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Merci à Babelio pour la Masse Critique d'Avril, et Ki-oon pour l'envoi de ce manga. Une nouveauté que je n'avais pas vu passer, et je suis bien contente de pouvoir la découvrir !

Les premières pages, en couleurs, papier épais, m'ont fait lâcher un « mais wtf ?! » tant c'était étrange et inattendu ! Dès le début donc, on sait qu'il aura de l'humour, le tout dans un univers Steampunk assez plaisant !

Je trouve les dessins réalistes surprenants, très riches en détails, et ça change des dessins qu'on peut voir habituellement.

L'histoire se met en place tout au long du tome, on découvre avec les personnages ce qu'il se passe et ce qui les attend. Un duo de personnages que tout oppose, mais qui se complète plutôt bien ! Pour notre bonheur et leur malheur.

Un premier tome intéressant, qui présage de belles choses, et qui me donne envie de suivre l'aventure !
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En relisant le résumé, j'étais hyper emballée. L'histoire d'un jeune noble qui voulant découvrir le monde, se fait poignarder, se fait "sauver" par une étrange bricoleuse et devient cybord (thème que j'adore). Se retrouve à faire équipe avec une orpheline des bas quartiers. Leurs existences se retrouvent liées et s'en suit un road trip a 100km/h. Vraiment, sur le papier c'est tout à fait mon genre mais au final je ressors pas mal déçue de ma lecture. Je n'ai eu aucune empathie pour les personnages. Je trouve que ce duo fonctionne mal. Aucune émotion, aucun humour, aucun intérêt pour eux. L'intrigue est quand même bien ficelée, mais je n'ai pas été embarquée. J'aurai adoré que le côté cyborg soit plus exploité, ici je ne le ressens pas, et c'était un thème dont j'attendais beaucoup. Quant aux dessins, ils m'ont déplu , ça reste subjectif évidemment, mais ce n'est clairement pas mon genre. Malheureusement je suis passée à côté de cette lecture. Qui je suis sûre saura séduire un autre lectorat. En terminant le manga, j'ai vu que c'était le même auteur que Badducks. Manga à qui je faisais les mêmes reproches et dont j'avais aussi abandonné suite au 1er tome. Tant pis.
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critiques presse (1)
MangaNews
06 mai 2024
Ce premier tome accomplit donc efficacement son rôle, en posant de façon convaincante toutes les bases, en intriguant facilement sur certains points, et en emballant vite et bien les débuts du parcours communs de deux personnages principaux d'ores et déjà assez truculents. Après la bonne petite surprise que fut BADDUCKS, Tôryûmon Takeda ne devrait a priori avoir aucun mal à nous convaincre à nouveau avec sa nouvelle série !
Lire la critique sur le site : MangaNews
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Vas-tu continuer à vivre selon la volonté d’une famille que tu ne verras plus jamais… ou bien prendras-tu ton courage à deux mains pour tenter de gagner ta liberté ?
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Tu es née et tu mourras dans ce désert alors à quoi bon te parler du monde extérieur ?
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La clé de ma résurrection se trouve dans cette étendue bleue… 
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Le gouvernement nous fournit des vêtements et de la nourriture mais ce n’est pas avec les pauvres rations qu’il nous alloue qu’on peut survivre !
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Tu vas avoir besoin d’un petit temps d’adaptation. Ça me fait mal de l’avouer, mais ce n’est pas du travail d’orfèvre. Malheureusement pour toi, on ne vit pas dans un conte de fées. Je n’ai pas le pouvoir de rendre la vie aux défunts. Alors contente-toi de ce que tu as !
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Videos de Toryumon Takeda (3) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Toryumon Takeda
Après "Badducks", une cavale décapante en 4 tomes, Toryumon Takeda revient au catalogue avec une création 100 % maison : "Doga".
L'autrice nous entraîne cette fois-ci au coeur d'un univers steampunk teinté de fantasy. On y suit le road trip étonnant de l'héritier d'une riche famille devenu cyborg et d'une championne de la débrouille !
Comme à son habitude, Toryumon Takeda dépeint des personnages bourrés d'énergie et de soif de vivre, qu'elle fait évoluer dans un récit aux rebondissements aussi originaux que palpitants.
Jusqu'où peut-on se réinventer pour se sentir libre et changer de vie ? Faut-il être transformé en cyborg ? Ou bien suffit-il de croire aux plus folles des légendes ?
"Doga" – Sortie du tome 1 le 2 mai 2024 (Toryumon Takeda, seinen, 7,95 euros, série en cours)
Yote, rejeton de la noblesse, est aussi éduqué qu'ignorant des réalités du monde. Son premier voyage en dehors de son domaine tourne court quand il est poignardé pour son argent dans les bas-fonds de Leoure, la cité du désert. Sauvé par une bricoleuse de génie, il se retrouve dans un corps de cyborg lui permettant de survivre... un an ou deux. L'équipement est si rustique que Yote a besoin d'assistance pour tout, de l'entretien au déplacement !
Peu importe, pour lui, c'est une chance de reprendre de zéro, loin de son château et de son étroite existence. Mais, pour ça, il lui faut d'abord retrouver son humanité, et seules les sirènes, réputées dotées de magie, ont une chance de pouvoir l'aider... le jeune aristocrate propose une petite fortune à Doga, orpheline aussi forte que débrouillarde, pour qu'elle l'assiste dans sa recherche de ces fabuleuses créatures. Elle accepte, prête à braver tous les dangers pour découvrir le monde !
La promesse d'une nouvelle vie vaut bien mille trésors ! Après l'expérience "Badducks", Toryumon Takeda livre une oeuvre de steampunk fantasy riche et aboutie. À la poursuite des légendes, l'aventure vous tend les bras !
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