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Madame Vigée Le Brun
Liste créée par Dossier-de-l-Art le 25/09/2015
16 livres. Thèmes et genres : art , beaux-arts , peinture , Peinture française , siècle des lumières

Jusqu'au 11 janvier 2016 se tient au Grand Palais la première rétrospective française consacrée à l'œuvre d'Élisabeth Vigée Le Brun, l'une des plus illustres portraitistes du XVIIIe siècle.



1. Elisabeth Louise Vigée Le Brun
Joseph Baillio
4.67★ (12)

Il s'agit de la première rétrospective en France consacrée à Louise-Élisabeth Vigée, épouse Le Brun (1755-1842). Elle présente ses plus grands chefs-d'œuvre et la vie de passion de cette artiste de talent, dans une période mouvementée de l'Histoire de France. Née dans un milieu d'artistes et d'artisans, élève de son père pastelliste, puis de Doyen et de Gabriel Briard, alors qu'elle n'a que 14 ans, elle révèle ses précoces et grandes dispositions pour le dessin. Joseph Vernet et Greuze lui prodiguent conseils et introductions qui la font remarquer et accepter par les élites françaises et européennes. Son talent, sa beauté et son esprit lui permettent d'accéder aux cours de France, d'Italie et de Russie. Respectant la tradition des grands peintres de cour comme Raphaël, Rubens et Van Dyck, elle fera les portraits des plus grandes figures de son époque, bénéficiant aussi d'être de la même génération que les plus éminents personnages de la Cour, le roi et ses frères et sœurs, la reine et les principaux membres de la famille royale. Appelée auprès de Marie-Antoinette à Versailles, Élisabeth Vigée Le Brun s'attachera à celle qu'elle immortalise dans ses plus beaux tableaux. Sous la protection de la Reine, elle développe et affirme sa maitrise et devient la portraitiste de la famille royale. Elle tient salon, mène une vie mondaine active et, très consciente de son talent, gagne beaucoup d'argent. Son parti-pris esthétique, dénué d'artifices, révolutionne la mode de l'époque, et libère le corps des femmes pour en révéler la beauté naturelle. Son exil dès 1789, la ait voyager en Italie et en Autriche, jusqu'à ce qu'elle soit invitée en Russie, puis dans les autres cours d'Europe où elle vit dans le luxe, ne manquant jamais de commanditaires. Son retour en France n'est autorisé qu'en 1802. Royaliste convaincue elle restera nostalgique de l'Ancien Régime. Elle continue à peindre, faisant évoluer son style vers plus de rigueur sous l'influence de Jacques Louis David. Elle consacre ses dernières années à la rédaction de ses Mémoires, publiés entre 1835 et 1837, sous le titre de Souvenirs.
2. Dossier de l'art, n°232 : Madame Vigée Le Brun
Dossier de l'art
4.00★ (7)

Plus de cent trente œuvres ont été réunies au Grand Palais pour un hommage historique à Élisabeth Vigée Le Brun. Issues pour beaucoup de collections particulières, venues notamment de Saint-Pétersbourg, Florence, Vienne ou New York, elles retracent la carrière prodigieuse de l’une des plus illustres portraitistes du XVIIIe siècle français.
3. Souvenirs : 1755-1842
Louise-Élisabeth Vigée Le Brun
4.75★ (16)

Portraitiste de réputation européenne, Élisabeth Vigée Le Brun (1755-1842) est l'auteur de Souvenirs originaux tant par le contenu que par la forme. À mi-chemin des mémoires et de l'autobiographie, elle retrace l'histoire de sa carrière tout en élaborant une représentation de soi à une époque où la représentation de l'identité de l'artiste est en pleine mutation. Témoin de l'histoire de son temps, elle y inscrit sa propre destinée avec le souci visible de restaurer une réputation parfois ternie par les libelles révolutionnaires. Ces Souvenirs sont ainsi le récit d'une vie en même temps que celui de la conquête d'une identité et l'affirmation d'une personnalité hors du commun.
4. Souvenirs : Le temps retrouvé
Louise-Élisabeth Vigée Le Brun
4.25★ (17)

Les 3 tomes des Souvenirs réunis en un seul volume Un appareil de notes extrêmement documenté offrant un regard éclairé sur Vigée-LeBrun et ses contemporains Une iconographie de choix et abondante illustrant pour la première fois les propos de l'artiste.
5. Louise Elisabeth Vigée Le Brun : Histoire d'un regard
Geneviève Haroche-Bouzinac
4.60★ (36)

"Entre deux siècles comme au confluent de deux fleuves" : ces mots de Chateaubriand semblent avoir été écrits pour elle. Née sous le règne de Louis XV, Louise Elisabeth Vigée Le Brun est témoin des prémices de la Révolution, connaît l'Empire et la Restauration, avant de s'éteindre sous la monarchie de Juillet, dans sa quatre-vingt-septième année. Une longévité exceptionnelle qui accompagne une destinée hors du commun. Artiste précoce et talentueuse, elle pénètre, malgré les obstacles, dans le cercle prestigieux de l'Académie royale de peinture ; ses cachets sont parmi les plus élevés de son temps. Les troubles de la Révolution font d'elle une voyageuse : de l'Italie à la Russie en passant par l'Autriche, dans une Europe dont le français est la langue, elle conquiert à la force du poignet une clientèle princière. Mais les succès ne compensent pas les peines privées : sa fille chérie, Julie, s'oppose à elle, son frère la déçoit, son époux endetté réclame son aide. La postérité a retenu l'image du peintre gracieux de Marie-Antoinette ; on sait moins qu'au XIXe siècle, mue par un esprit de curiosité infinie, Mme Vigée Le Brun ouvrit grand son salon à la jeune génération romantique. Exploitant archives, lettres et carnets inédits qui éclairent la vie privée et publique de l'artiste, accordant toute sa place à son oeuvre peint, cette biographie retrace le destin de l'un des plus grands peintres de son époque.
6. Élisabeth Vigée Le Brun
Geneviève Haroche-Bouzinac
3.60★ (20)

Peu de femmes artistes auront connu une carrière aussi éclatante que celle de Louise Elisabeth Vigée Le Brun (1755-1842). Encouragée par son père, pastelliste, elle manifeste dès l'enfance une grande aptitude à la couleur. A vingt ans, elle est déjà une portraitiste réputée auprès de la noblesse qui apprécie ses portraits à la fois ressemblants et flatteurs. Sa rencontre avec Marie-Antoinette en 1777 est déterminante. Elle devient le peintre officiel de la reine avec laquelle elle tisse des liens familiers. En 1789, contrainte à l'exil, elle voyage en Italie, en Autriche puis en Russie. Accueillie par les grandes cours d'Europe, elle acquiert une renommée internationale. De retour en France en 1802, puis séjournant en Angleterre et en Suisse, elle ne cessera de peindre jusqu'à sa mort en 1842. Son oeuvre compte plusieurs centaines de tableaux dont une majorité de portraits où se côtoient la société aristocratique européenne, le monde des arts et du théâtre, l'univers enfantin. Illustré d'une quarantaine d'oeuvres majeures, choisies parmi les cent trente tableaux de l'exposition au Grand Palais, cet ouvrage retrace le parcours d'une femme d'exception, sans doute l'un des plus grands peintres de son temps.
7. Louise-Elisabeth Vigée-Lebrun
Haldane Macfall
4.50★ (6)

Grande portraitiste de son temps, à l'égal de Quentin de La Tour et de Jean-Baptiste Greuze, Louise-Elisabeth Vigée, épouse Lebrun, est une peintre française, connue pour avoir mené une fulgurante carrière dans la tourmente révolutionnaire. D'abord portraitiste officielle de Marie-Antoinette, elle connaîtra l'exil en Italie, à Vienne et à Saint-Pétersbourg. Complément utile de vos visites, réelles ou virtuelles, ce livre abondamment illustré propose une plaisante introduction à la vie, à l'oeuvre et aux sujets de Madame Vigée-Lebrun. Il est émaillé de nombreuses citations de l'artiste.
8. Madame Vigée Le Brun
Françoise Pitt-Rivers
3.50★ (11)

Célèbre et célébrée très jeune dans toute l'Europe, Mme Vigée Le Brun occupe une place de choix dans l'histoire de la peinture de la fin du XVIIIe siècle. Portraitiste attitrée de la reine Marie-Antoinette, elle a tenu au bout de son pinceau toute la société aristocratique qui brillait à Versailles de ses derniers feux, tous les grands personnages de l'émigration et des cours de Naples, Vienne et Saint-Pétersbourg. Mais on rencontre aussi, dans la galerie de portraits qu'elle a laissée, des peintres, ses amis, des comédiens, des musiciens, de jolies femmes aimées pour leur beauté. Vers la fin de sa vie, en plein romantisme, période où elle ne retrouvait pas la sensibilité qui avait été la sienne, elle a écrit des Souvenirs, aussi intéressants par ce qu'ils cachent que par ce qu'ils racontent. Pour faire le portrait de la portraitiste, il fallait aller plus loin : percer le mystère de la personne, découvrir au-delà de l'apparence plus que gracieuse ce qui pourra la rendre plus vraie. C'est à quoi nous convie Françoise Pitt-Rivers, en retraçant le parcours d'une femme d'exception dans l'Europe française de la fin des Lumières, au temps de la douceur de vivre.
9. L'enfant chéri au siècle des Lumières : Après l'Emile
Christine Kayser
2.50★ (2)

Sous les apparences d'un catalogue de peinture du XVIIIe siècle, L'Enfant chéri pose une question de société : à quoi doit-on l'apparition de nombreux portraits d'enfants dans la peinture de cette époque ? En France, dans la seconde partie du siècle des Lumières, certains artistes s'illustrent particulièrement par leur recherche du naturel, leur capacité à rendre sensible toute la palette des attitudes enfantines et des sentiments qu'elles inspirent. Fraîcheur des visages chez Lépicié, douceur des regards chez Drouais, sensibilité dramatique chez Greuze, vérité psychologique chez Vigée Le Brun, nonchalance des postures et friponnerie chez Fragonnard.
10. L'enfant dans la peinture
Nadeije Laneyrie-Dagen
La représentation de l’enfance accompagne l’histoire de la peinture depuis le Moyen Âge. Des tableaux d’église aux tableaux de Salon, les artistes ont brossé tous les visages de l’enfance : enfants divins de la peinture religieuse ou mythologique, petits princes de l’art de cour, anges du foyer de la peinture de genre, enfant modèle du portrait de famille, sans compter tous les irréguliers de l’enfance qui n’ont pas moins intéressé les artistes, petits gueux et petits bâtards, enfants surnaturels ou démoniaques, cancres et révoltés. Cette place dévolue à l’enfance conduit à s’interroger sur les fonctions mêmes de la peinture, sur son évolution du sacré au profane et du profane à l’intime, sur son implication dans la formation des identités sexuelles et dans les pratiques éducatives, sur sa quête de naïveté primitive. Figure incontournable de la peinture, l’enfant est une grande question pour l’histoire de l’art. À travers plus de 130 artistes, du XIVe siècle à nos jours, une étude sans précédent sur le sujet.
11. Louise Elisabeth Vigée Le Brun : Peindre et écrire. Marie-Antoinette et son temps
Cécile Berly
5.00★ (7)

Le récit de Cécile Berly s'articule autour de l'œuvre picturale de Vigée Le Brun bien sûr, mais aussi autour de nombreux extraits de ses Souvenirs, au style vif et charmant, qui connurent un immense succès dans toute l'Europe au moment de leur publication.
12. Marie-Antoinette
Hélène Delalex
4.34★ (40)

Découvrez Marie-Antoinette et son univers à travers les événements marquants de la vie de la souveraine. Incarnation de la féminité au XVIIIe siècle, Marie-Antoinette n’a cessé de fasciner depuis plus de deux siècles. Jamais reine n’a été si violemment critiquée et sanctifiée, adulée et calomniée, traquée et recherchée.
13. Dossier de l'Art, n°150 : Marie-Antoinette
Dossier de l'art
Ce printemps, le Grand Palais célèbre Marie-Antoinette et les diverses facettes de sa personnalité. Nous vous proposons de préparer la visite de l'exposition en découvrant plusieurs visages de la reine, et tout particulièrement ses liens avec les arts de son temps. Découvrez une Marie-Antoinette moderne au milieu de ses décors et s'inventant une liberté au Petit Trianon. En complément, nous vous proposons une visite de la Conciergerie et des châteaux de Fontainebleau, Compiègne et Rambouillet.
14. Portraits publics Portraits privés : 1770-1830
Galeries Nationales du Grand Palais
5.00★ (7)

Les années 1770 à 1830 constituent une période d’importantes mutations politiques, culturelles et sociales. Les Lumières placent l’individu au centre des regards. Avec l’avènement de la société bourgeoise, le portrait s’affirme comme le genre moderne par excellence. Aussi les plus grands artistes (Goya, Reynolds, David, Houdon, Canova, Lawrence, Ingres, Géricault…) s’y adonnent-ils, cherchant à la hisser au niveau de la peinture et de la sculpture d’histoire. Loin de ne servir que les modèles traditionnellement établis, dictés par le souci de l’apparat, du prestige, le portrait connaît une extension sans précédent de son répertoire. Du monument au grand homme à la représentation attendrie de l’enfance, il sert l’effigie officielle du chef d’État, tout en traçant son portrait familial et intime.
15. L'objet d'art - HS, n°28 : Portraits publics, portraits privés, 1770-1830
L'Objet d'Art
A l'occasion de l'exposition du Grand Palais, Dossier de l'Art propose une synthèse autour du genre du portrait peint et sculpté tel qu'il s'est développé à la charnière des XVIIIe et XIXe siècles. Un long entretien avec les commissaires de l'exposition éclaire les différentes problématiques du portrait à cette époque, suivi de textes sur les femmes portraitistes, le portrait en Grande-Bretagne la naissance du porttrait d'enfant à la fin du XVIIIe siècle ou encore le sculpteur Canova.
16. L'Art du portrait
Andreas Beyer
Cet ouvrage dresse un large panorama de l'art du portrait, depuis ses origines jusqu'à nos jours. Plus de 200 peintures reproduites en pleine page, et sous forme de détails fortement agrandis, illustrent l'un des genres les plus dynamiques de l'histoire de l'art. L'effigie individuelle de l'homme a connu au cours des siècles des destinées fort diverses. Faisant fi des accusations de la théorie artistique, qui lui reprochait de n'être qu'une simple imitation de la nature, le portrait s'est imposé comme une tâche capitale de l'art, une tâche que les grands noms de la peinture - Van Eyck, Raphaël, Dürer, Holbein, Titien, Frans Hals, Rembrandt, Van Dyck, Velazquez, Goya, Ingres et, plus près de nous, Van Gogh, Picasso et Warhol - ont élevée à ses plus hauts sommets. La sélection de chefs-d'œuvre opérée ici rend compte des différentes catégories de portraits : portraits officiels et d'apparat, portraits intimistes, de groupe ou d'amis, autoportraits de peintres et portraits historiés, vus en buste, à mi-corps ou en pied. La succession et la confrontation de ces œuvres visent également à aiguiser le regard, afin qu'il reconnaisse les limites et les possibilités de l'art, les conventions et les inventions perceptibles dans cette volonté de saisir à travers l'image de l'homme sa personnalité individuelle. Représenter un personnage n'est pas seulement en restituer la physionomie, c'est aussi le mettre en scène dans un cadre pertinent, l'accompagner d'accessoires caractéristiques mis en valeur comme une partie intégrante du portrait. La forme même du portrait, différente selon les périodes, apparaît par ailleurs comme l'expression éloquente d'une conscience de soi propre à chaque époque, comme un fil conducteur à travers les civilisations et l'histoire de l'art. Déchargé de sa fonction sociale d'" image commémorative " par l'avènement de la photographie, le portrait peint est devenu dans le vocabulaire de la modernité miroir magique de conditions humaines, distanciation par rapport à l'image fidèle, idée s'inscrivant au-delà de toute physionomie et de toute anatomie pour s'aventurer sur le terrain de la distorsion et de l'abstraction. Conçu chronologiquement, le texte de cet ouvrage décrit l'histoire du portrait et de ses protagonistes - le peintre et ses modèles - dans un dialogue intense avec les œuvres dont la " lecture " est étayée par des légendes détaillées. Le lecteur est invité à parcourir un musée imaginaire de visages et de silhouettes, illustres ou anonymes, qui jalonnent la " ligne de vie " de l'art tout en mettant en lumière des réalités historiques et humaines.
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