Ce qu'il y a de plus terrible dans une agonie (...) c'est qu'on perd l'être qu'on aime bien avant qu'il ne meure. On le voit se rapetisser dans les draps, s'alourdir d'un poids d'angoisses tues, se replier dans un secret inaccessible, on voit ses yeux errer dans des mondes dont il ne dit plus rien. (p. 182).