Les journalistes tombent mal. Parce que souvent ils sont les premiers, sans le savoir. Ils arrivent avec l’info, une info fraîche pour eux, glaciale pour vous. Ils ne font pas exprès, ils sont là où ça sent la terre, la terre retournée. Là où le drame frappe, où la vie s’arrête. Alors, à force d’être là, ils finissent par y prendre part.