Deux des petites joies secrètes de la vie en forêt étaient d'uriner quand on en avait envie et de se moucher dès qu'on en éprouvait le besoin : il suffisait pour cela de se pencher en avant et de souffler par une narine, puis par l'autre. On retirait une satisfaction d'ordre primitif à laisser voler la pisse comme la morve... du moins, quand on était un homme. Quand on y pensait un peu, il y avait même de quoi s'émerveiller que les femmes arrivent tout de même à aimer les meilleurs d'entre nous, pour ne pas parler des autres.