J'allais écrire sur l'amitié pour confirmer, comme j l'avais affirmé à Vincent, que ce n'était pas grave. Et rendre grâce aux parenthèses - les bistrots, les bandes, le verre de trop, la dernière cigarette-, ces merveilleux moments sans conséquence qui font le présent et peut-être, aussi, les meilleurs souvenirs.