Mon violon était mon compagnon, l'ami de mon cœur qui se faisait glorieux et sonore quand j'étais joyeux et me murmurait des consolations douces et mélodieuses quand j'étais triste. Combien de nuits sans sommeil, l'âme perturbée et accablée par la contemplation de mon destin, m'a-t-il chanté une berceuse apaisante !