Je me suis dit que les flics ne me croiraient pas et me condamneraient à peine la porte franchie. Une seule possibilité s’offrait à moi : effacer ce qui venait de se passer. Je devais d’abord faire disparaître le corps. Il y avait un tapis par terre. Je l’ai enroulé dedans, j’ai tiré de toutes mes forces et je l’ai sorti de la pièce. Je me suis retrouvée dans l’entrée