Au crépuscule, le coyote traversa le pré de fauche en s'arrêtant régulièrement pour flairer l'air. Alerté par le sifflement d'un train, il poussa un hurlement et entendit les aboiements et les glapissements du chef de la meute et du reste de la famille lui répondre depuis les bois à l'est, suivis par un chant collectif qui ondulait à la manière du son distordu d'une sirène.