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Citation de ladybaz


Les appels de Klaus me laissaient toujours au bord des larmes, très fragile, très seule. C'était mon grand frère chéri, que j'avais toujours admiré, qui parlait avec une chaleur toute naturelle, qui me faisait sentir immédiatement chez moi. Klaus n'avait pas peur, contrairement à Louisa, de parler du temps passé, et j'adorais quand nous évoquions notre enfance, nos étés, pendant une heure ou deux, au téléphone. C'était alors comme un grand éblouissement dans la Maison, je me sentais heureuse à en pleurer, à me tenir là, dans notre tanière familiale, seule gardienne du temple.
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