Heureusement, devant un bâtiment historique, la Sorbonne, elle changea de sujet et me parla de ses chocs littéraires. L'expression était la sienne. « C'est un livre, souvent un roman, qui te marque pour toujours. Tu le lis et tu as l'impression que l'auteur l’a écrit pour toi. Tu connais Dickens, Les Grandes Espérances ? Ma mère me l'a offert. Ça se passe au Royaume-Uni, mon pays préféré. C'est marrant, ça m'a fait penser à toi ! »
Moi, je n'avais même pas le poème de mon bac français à lui citer.