Si leurs intérêts divergeaient, les Alliés s'accordaient sur deux points : Napoléon restait un chef de guerre incomparable et le soldat firançais, un combattant de premier ordre. La prudence commandait de ne pas favoriser l'union nationale d'un peuple aussi bouillant autour d'un tel capitaine. 1792, 1793, 1794, Valmy, Jemmapes, Hondschoote, Fleurus, ces mauvais souvenirs n'étaient pas effacés des mémoires prussienne et autrichienne.