C’est comme si nous entretenions une conversation que nous ne pouvons pas avoir ensemble. Nous nous disons : « Voici ce que je pense et que je ressens. Voici ce dont je me souviens. Voici ce qui m’a rendu heureux. » Nous ne nous disons pas : « Voici ce que j’ai perdu. » Nous ne parlons pas de nos deuils.