- Je t'empêcherai de te sentir seul. Crois-moi, me susurra-t-elle.
- Je ne pourrais pas me sentir seul, même si je le voulais, songeai-je. Tu as grignoté ma vie jusqu'à ce que j'oublie à qui je la consacrais. A toi ou à moi.
- Ça n'a plus d'importance maintenant. On s'est enchaînés nous-mêmes. Ta vie, la mienne, quelle différence ?