(...) moi ça m'avait réchauffé le coeur de voir Agnès, Hakima et Hélène rire sans retenue, ça nous rappelait tout l'intérêt de notre job d'animateurs de quartiers, ici les mômes étaient vifs et osaient l'improbable, on s'ennuyait jamais. Avec eux l'étonnement toujours pointait le bout de son nez, et ça nous cinglait l'âme. (p. 52)