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Critiques de Katherine Pancol (2719)
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Les yeux jaunes des crocodiles

Trois femmes, deux sœurs et leur mère, et trois portraits de femme délaissée : l'une a pris quelques kilos en trop et ne soutient plus assez son mari au chômage, l'autre est abandonnée au profit d'un jeune avocat docile et ambitieux, et la dernière a fait un mariage d'argent avec un entrepreneur issu du milieu ouvrier qu'elle méprise.



Je ne sais pas comment ces trois histoires se sont finies, puisque l'introduction a amplement suffi à me faire déguerpir : des personnages froids et caricaturaux pour lesquels je suis incapable de ressentir la moindre empathie, des situations qui me rendent perplexe (comme cette fille de 13 ans qui explique à sa mère les secrets d'une vie de couple réussie), et le cadre principal du roman, les milieux chics de Paris, qui me laisse parfaitement de marbre (remarquez, au moins, je suis dans le ton).



Plutôt que d'entamer une relation tumultueuse qui pourrait se terminer dans les cris, les pleurs et les reproches mutuels blessants, nous avons donc décidé d'un commun accord, le livre et moi, d'agir en adultes responsables et de suivre notre route chacun de notre côté.
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Muchachas, tome 1

Mais qu'est-ce qui lui est passé par la tête, à notre Katherine Pancol ? Elle tient une histoire bien ficelée de femme battue, une belle histoire de résilience, avec une enfant violée qui s'en tirera, on le devine. Une ambiance originale : une affaire de ferrailleurs, un village "plus France profonde, tu meurs", une héroïne courageuse et énergique et surtout, un superbe matamore de village, fort en gueule, violent et manipulateur, ambigu aussi parce que sauveteur courageux et lui-même enfant martyr...Une intrigue qui tient le coup, quelques invraisemblances, mais on marche quand même, pour ne pas dire qu'on galope : il y a le style de Pancol, ses remarques, son intelligence. Elle nous dit en postface qu'elle a eu la nostalgie de ses personnages de la trilogie de "La valse lente...". Pourquoi pas, on les aimait bien, et si elles se raccrochent à l'histoire de façon un peu tirée par les cheveux, on veut bien accepter le stratagème. Mais qu'est-ce qui lui a pris de nous les balancer dans les cent premières pages ? 50 pages sur les problèmes d'Hortense et de Gary, en quête, qui d'un drapé, qui d'un accord, avec en fond de décor l'évocation ridicule de la royale grand mère, 50 pages sur les états d'âmes de Joséphine, qui n'arrive pas à être heureuse, en voyage à Sienne avec l'homme de sa vie... Et bien non, ils nous agacent, les personnages de la trilogie précédente, on espérait qu'ils auraient résolus leur problèmes, sans compter que ceux de cette petite merdeuse d'Hortense ne nous ont jamais vraiment parlé...

Alors, je ne comprends pas : on a affaire à une romancière qui connaît son métier, pourquoi, mais pourquoi cette construction, pourquoi nous a-t-elle balancé cette ressucée en démarrage, alors qu'on l'aurait acceptée plus loin, liée à la nouvelle intrigue ?

A part ce problème (grave, quand même, car on risque de poser le livre), l'histoire n'est pas mal du tout, forte, "longue en bouche" (ce qui pour moi veut dire qu'on ne l'oublie pas une fois le livre refermé), tonique. Alors, attendons la suite, Muchachas est encore une trilogie, faisons confiance au talent de Pancol et espèrons qu'elle retombera sur ses pieds.

PS. Moi, j'aime bien le titre, qui me rappelle mon enfance...
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Trois Baisers

Je fais partie de ceux qui se sont régalés à la lecture des Yeux Jaunes Des Crocodiles et de ses multiples suites. Du coup, j’étais impatient de mettre la main sur ce livre là.



Cette fois encore, on entre dans le livre comme dans une ronde, une farandole. L’univers reste joli. Plein de bons sentiments. C’est léger et grave à la fois. C’est écrit avec la simplicité habituelle de ses précédents ouvrages et plein de bien belles vérités. Comme précédemment.



Pourtant, je suis bien obligé de dire que cette fois (de trop ?), ça n’a pas fonctionné sur moi.



Un pavé de 850 pages, déjà, c’est beaucoup trop. On se retrouve avec tous les personnages des livres précédents. C’est également trop. Certains en deviennent anecdotiques et caricatures de ce qu’ils furent dans les précédents ouvrages. La palme du « personnage qu’on a aimé mais c’est fini » revenant à Joséphine …



C’est le livre du trop.



Le livre de trop.



Too much …



Je suis le premier qui aurait aimé écrire une critique pleine de louanges et de félicité littéraire. D’autant que si on ne garde que l’intrigue des nouveaux personnages, cela aurait fait une bonne histoire. En effet, tous les passages concernant Hortense, Junior ou Gary m’ont ennuyé au plus haut point alors que mon intérêt renaissait grâce à Stella, Camille ou Dakota.



Je crois que Mme Pancol se perd à vouloir étirer à l’infini son histoire débutée il ya quelques années. A ne pas vouloir les lâcher, elle finit par gâcher ses personnages …



Alors de grâce, la prochaine fois, revenez nous enchanter Katherine avec un vrai nouveau roman. S’il vous plaît … Moi je garde espoir.



En souvenir de nos rendez-vous passés.

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Les écureuils de Central Park sont tristes le..

J'ai les oreilles qui bourdonnent et la langue qui frétille je sais plus ou j'en suis... J'ai vomis un tas adjectifs, j'ai redécouvert le sujet, le verbe et le complément d'objet direct, j'ai arrêté de respirer, j'ai déprimé, j'ai pesté j'ai adoré et puis je me suis noyé dans ma déprime, sans pouvoir m'arrêter, étoile après étoile comme un paumé, perdu au milieu de mes pensées affolées, bousculées..Je me suis même pas lavé, j'ai oublié ou quoi comment...Mais pourquoi s'infliger ce supplice... Comme l'alcool : la lecture s'immisce, se faufile s'entortille tel un serpent visqueux et arrogant, pressant votre cerveau comme si c'était un champion de l'apnée intellectuelle, capable de comprendre autant de fantaisies, d'analyser la nature humaine : ses peurs, ses doutes, ses acquis, le pouvoir que peut exercer un pays, une ville, un livre......



Mais putain chouchou tu divagues, t'as PANCOLLé à t'en faire péter la rétine...

C'est promis choupette...Demain j'arrête... enfin je vais essayer...



Choupette comment on fait un é majuscule bordel...



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Bed bug

Chère Katherine,



Je m'appelle Julien, mais vous pouvez m'appeler Juju. Nous ne nous connaissons pas et pourtant, vous m'accompagnez depuis de nombreuses années.



J'ai adopté vos crocodiles, vos écureuils et vos tortues. Vous faites un peu partie de la famille …



Voilà que vous revenez sur les chapeaux de roues, à toute berzingue, comme je vous ai rarement lue…



Cette fois, vous nous racontez l'histoire de Rose Robinson ! Jeune chercheuse, un peu malhabile avec la vie, qui s'apprête à révolutionner le monde de la science ! En attendant, elle vit avec sa mère et sa grand-mère dans un appartement parisien. Trois générations, sous le même toit et trois bonnes raisons de devenir folle !



J'ai, à plusieurs reprises, éclaté de rire. Votre plume est ici légère, hilarante et tellement émouvante ! Quel bonheur de rencontrer de nouveaux héros, après la saga trop longtemps étirée des Cortès. Je n'ai pas boudé mon plaisir et j'ai vraiment trouvé jubilatoire les nombreux parallèles entre la sexualité des insectes et la nôtre ! Comme quoi, nous n'avons rien inventé !



Et puis, je me suis laissé surprendre par le grave, le triste, le dramatique.



Vous évoquez, sans fard, le désir féminin, les fantasmes et l'amour, sous toutes ses formes. J'ai follement aimé cette liberté de ton, cette folie douce qui enveloppe tout le roman d'une belle humeur, d'une vraie modernité.



J'ai retrouvé ma Pancol et Dieu que c'est bon ! J'en suis encore tout émoustillé. J'ai envie de vous serrer dans mes bras et d'entamer une gigue avec vous ! Bon, je ne sais pas giguer donc je me calme tout de suite mais le coeur y est, là, un peu avec vous …



Vous n'êtes pas, chère Katherine, dans les listes si étranges des prix littéraires à la mode et pourtant, vous remuez des milliers de coeurs, vous agitez nos émotions et je vous remercie pour ça. Vous n'êtes pas très tendance, un peu trop, sûrement pas assez, et je ne vous en aime que plus. Parce que vous êtes légère, sensible et folle un peu !



Je vous embrasse, chère Katherine. J'espère que de nombreux lecteurs se joindront à moi, dès demain, dans ce livre farandole, pour passer un merveilleux moment !


Lien : https://labibliothequedejuju..
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La clarinette qui parlait aux oiseaux

"Un seul oiseau en cage et la liberté est en deuil." Jacques Prévert.

Voulez vous entendre des chants d'oiseaux au petit matin?



Djamila contemple les oiseaux qui volent dans le ciel, à tire d'aile.

- J'aimerais tellement devenir leur amie... Comment pourrais-je leur parler?

Soupire la petite fille heureuse et gaie comme un...pinson!

Ce sera grâce à une clarinette, mais...



Djamila a couru si vite et si loin qu'elle est perdue dans les bois. le coucou, l'alouette et l'hirondelle se sont tellement disputés, que la petite s'est enfuie, "les yeux pleins de larmes"...



Les oiseaux se volent...dans les plumes. "Ils se donnent des coups de bec, battent des ailes. L'arbre retentit de mille cris." Chacun veut être élu le meilleur chanteur! Ça pinaille, ça piaille, ça se chamaille. Trop de vacarme! Ils voulaient que Djamila les départage...



La petite fille est recroquevillée, à terre, et sanglote.

-"Ne t'en fais pas, je vais te jouer une sonate que Brahms, le grand compositeur a écrite pour moi. La musique apaise et guérit tout."

Chuchote la clarinette.



La clarinette se met à jouer les notes cristallines de l'allogreto et comme par enchantement, les bruits effrayants de la forêt se taisent.



Et Djamila entend, alors:

-Cou-cou, Pirlouit, Pilipi, Pilipi!

-Nous sommes désolés, nous avons été stupides et prétentieux. Nous aussi, nous voulons être tes amis..."

Font les 3 oiseaux, de ... concert!



Mais, d'où vient cette clarinette?

"Elle parlait aux oiseaux

Aux forêts et aux ruisseaux

Quand il ne fait pas trop froid." Gérard Lenorman.
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Les yeux jaunes des crocodiles

Sous le charme, je ne sais pas par où commencer. Découverte de l'auteure. Son écriture est un régal. Comme une maman qui lit une histoire à son enfant, elle donne une voix, une teneur particulière à chacun de ses personnages, d'une façon tellement naturelle, parfois émouvante, parfois drôle, mais toujours très juste. Ce roman c'est un peu l'histoire de chacun de nous je crois, celle des gens qui nous entourent. C'est la médaille, et le revers de la médaille. Le blanc et le noir. Les premiers deviennent les derniers, et les derniers les premiers. C'est un condensé de vie. On y rencontre des gens venant de divers horizons, attachants, détestables, énigmatiques, forts ou faibles. On vit avec eux l'amour, la trahison, le rejet, la foi, le courage, le don etil'abandon, l'humanité en fait. On y reconnaît forcément des gens que l'on aime, et l'oniavance avec ces personnages en vivant chacune de leurs émotions comme si elles étaient nôtres. J'ai vraiment aimé ce roman, et le ton juste de Katherine Pancol.
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Les yeux jaunes des crocodiles

Je n'ai pas atteint la moitié du livre, et j'ai décidé d'en rester là, fait rarissime dans mes lectures! En principe, je laisse toujours une autre chance au livre de m'accrocher, sauf que là, rien, obstinément.



Il s'agit d'un récit contemporain, je comprends qu'il puisse séduire de nombreuses personnes, mais je ne parviens pas à lui trouver le moindre volume.



Les personnages ne sont pas artificiels mais ils ne me touchent pas, ils sont peut-être un peu trop prévisibles. Impossible de midentifier à l'intello nunuche ou à sa soeur superficielle au coeur sec.
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Muchachas, tome 1

N'ayant pas compris immédiatement que ce roman était le premier d'une trilogie, je l'ai refermé en ayant eu l'impression, pour employer une métaphore culinaire, d'avoir dégusté un gâteau mal cuit auquel il,manquait des ingrédients. Je retrouve Hortense pendant un chapitre, puis Joséphine et Zoé, et hop on fait connaissance avec Stella et Léonie en laissant les précédentes en plan. Et le tout se termine sur un abîme de possibilités... Impossible de se contenter de ce premier tome isolément, si un secret est révélé, tout reste à faire pour les nouveaux personnages de Katherine Pancol. Et les anciens ne sont sans doute pas là pour rien.



Quoiqu'il en soit, le style de l'auteur est fidèle à elle même, avec des dialogues vivants et des personnages très entiers, que la vie a bien amochés, prêts à en découdre pour retrouver leur dignité. Le propos est plus noir, cependant, mettant en scène des femmes profondément blessées, victimes de bourreaux que leur propre malheur ne peut excuser.



L'artifice utilisé pour faire converger les histoires des anciens et des nouveaux ressemble quand même à une grosse ficelle, mais la suite justifiera peut être ce choix. Il n'en reste pas moins que cela permet à la fois d'accrocher un nouveau public et de conserver les fidèles qui se sentent d'emblée chez eux en retrouvant Hortense ou Joséphine.



Je n'attribue aucune note pour ce tome, insuffisant à lui seul (trop de chantiers en cours) pour se faire une opinion, tout dépendra de la suite...
Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Les écureuils de Central Park sont tristes le..

Propositions de titres pour les prochains romans de Katherine Pancol : Les éléphants sont moins rosses qu'on ne le pense ; Les hippopotames rêvent de ballerines en tutu ; La valse jaune des écureuils de la place Stanislas. Non, sérieusement, qu'est-ce qui lui a pris à la Pancol de nous servir une suite pareille aux Yeux jaunes des crocodiles et à La valse lente des tortues, deux récits feuilletonesques amusants comme tout, parce que se prenant peu au sérieux et plutôt spirituels. Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi (?) est un roman choral où s'ébrouent une bonne vingtaine de personnages qui passent leur temps à chercher le bonheur et à se tromper de route pour y arriver. Pourquoi pas ? Le souci, c'est que Katherine Pancol égrène des clichés à chaque détour de phrase (l'amour, les regrets, le succès, le sens de la vie et toutes ces choses) et n'a pas d'intrigue sérieuse à proposer, préférant raconter des multitudes d'histoires croisées, souvent sans queue ni tête, avec un côté sentencieux qui défrise sachant que le propos du livre pourrait être résumé en deux mots "Carpe diem". Et puis ce n'est même pas drôle, juste agaçant et tellement, tellement sentimental que ça en devient poisseux. Désolé, Katherine, vous auriez du laisser vos écureuils au bestiaire.
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Muchachas, tome 1

J’avais lu avec un certain plaisir « Les yeux jaunes des crocodiles », poursuivi avec intérêt avec « La valse lente des tortues », puis terminé avec « Les écureuils…. » en me disant que Katherine Pancol, c’était tout vu, on ne m’y reprendrait plus.

Et puis voilà, on m’a prêté « Muchachas », je ne l’aurais vraiment pas acheté.

Je commence et….. non…. C’est pas vrai……C’est encore une suite de la famille Cortès & Co…… Alors là, je survole plus qu’agacée, jusqu’à ce que….une certaine Stella et une certaine Léonie fassent leur apparition et qu’un petit regain d’intérêt me reprenne et que je lise avec plus d’application.

Et puis, la dernière page arrive et me voilà piégée…. J’ai fort envie de connaître la suite, et je crois bien que je vais l’acheter.

Ah elle est maligne cette Katherine Pancol, même si on n’est pas dupe qu’elle fait du commercial, et que c’est quand même léger comme écriture.

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Trois Baisers

Oh la la la la, ce fut un véritable effort que de lire ce pavé... je me suis accrochée pour au final n'apprendre pas grand chose sur cette famille CORTES sinon peut-être découvrir "un peu" le milieu de la mode avec Hortense... Pourquoi l'auteure s'est-elle cru obligée de rappeler l'histoire de ses précédents romans, la dernière partie était amplement suffisante et aurait permis une lecture plus fluide.

Dommage.

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Les yeux jaunes des crocodiles

Katherine Pancol livre avec "Les Yeux jaunes des crocodiles" quelque 650 pages de vies entremêlées. L’histoire est simple, celle de deux sœurs et de leur entourage. L’une, Iris, sublime et parfaite, l’autre, Joséphine, moche et ratée, elles vont devoir faire face chacune à leur manière à des problèmes existentiels (le mari qui s'en va, les enfants qui grandissent, ...), tout cela autour d’un mensonge, mais une seule s'en relèvera, devinez laquelle ?



Je n’aurais pas lu ce livre s’il ne m’avait pas été prêté par une amie qui l’a adoré. Dire que je n'ai pas du tout aimé ce roman serait mentir mais j’en ressors avec une impression mitigée . Certes, je l’ai lu en 3 jours. Certes, j’avais envie de connaître la fin. Mais je suis quand même restée sur la mienne (de faim).



Le style de l’auteur est sans originalité mais assez fluide et agréable. Les personnages manquent de profondeur mais certains sont quand même attachants. Il y a des moments un peu tirés par les cheveux (l’amie de Joséphine, Shirley, fille naturelle de la reine d'Angleterre qui devient son garde du corps mais qui vit à Courbevoie ; Hortense, la fille de Joséphine, qui flirte avec Mick Jaeger, etc…), beaucoup de clichés. Autre gros défaut, la fin trop guimauve : "Tout est bien qui finit bien".



Bref, une histoire assez bien construite gâchée par des fautes de goût et trop d'artificiel. C’est ce qu’on appelle une lecture de plage, vite lue, vite oubliée.



Je n'en redemanderai pas c'est sûr, mais une fois de temps en temps cela peut passer... je ne lirai pas la suite.



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Muchachas, tome 1

J'avais beaucoup d'espoir dans ce roman puisque j'avais beaucoup aimé la trilogie précédente (les yeux jaunes des crocodiles,...) Et bien j'ai pris une grosse claque de déception... j'ai détesté ce que l'auteure a fait des anciens personnages . J'ai juste eu envie de leur mettre deux claques tout le long de ma lecture . Ils sont imbus de leur personne avec un caractère d'enfant gaté.. tout ce que je déteste.

Pour les nouveaux personnages je n'ai pas accroché non plus, même si l'histoire de fond était bonne puisque la femme battue est mise en avant.

Et c'est sans parler de Junior qui a des pouvoirs paranormaux (qu'est ce que ça vient foutre dans un roman de Pancol franchement !) . Il est encore plus doué de le professeur Xavier des X men , c'est peu dire. Bon le fantastique j'adore ça.. mais dans un contexte comme celui ci je n'ai pas vraiment compris l'intéret.





Tout ça pour dire que la trilogie de muchachas s'arretera là pour moi .
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Muchachas, tome 1

Vous m'en verrez désolée mais je n'ai pas terminé ce roman, j'ai tenu jusqu' au tiers et puis, hop, refermé ! J'ai apprécié les yeux jaunes des crocodiles et la valse lente des tortues, bien que quelques aspects me gênaient énormément, je croyais me délecter à nouveau avec les muchachas, je me suis trompée ! Je n'ai pas aimé le nombril d'Hortense, pas plus que Gary , j'ai eu l'impression de ne pas en finir, rien qu'avec le début, et puis ce qui me gênais dans les premiers tomes, m'a semble encore plus pénible : ce Junior surdoué, est-il un Xmen ou un arrière arrière, arrière, arrière, petit fils de Hercule Barfuss pour être ainsi capable de traverser l'Atlantique par la pensée et de dire la bonne aventure à sa dulcinée ? J'aime le fantastique, toutefois je pense que junior n'a rien à faire tel qu'il est présenté dans cette histoire, cela ajoute du grotesque à ce roman qui n'en n'a pas besoin ! Vous avez compris que je n'essaierai pas de lire les suivants.
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Muchachas, tome 2

J'avais demandé, dans la critique du tome 1 "mais qu'est-ce qui a pris à notre Katherine Pancol ?" Et voilà qu'elle récidive, et là, je ne comprends plus. On achète le tome 2 pour retrouver cette héroïne forte du 1, cette conductrice de semi-remorques qui se bat contre son salopard de père, et déception, le roman n'en parle plus, rien, nada, oualou : juste un vague petit mec qui assiste aux cours de Joséphine et dont on pressent qu'il doit s'agir de notre conductrice.

Et on retombe dans les sempiternels problèmes d'Hortense qui veut être riche et célèbre, des histoire de mode, de drapés, de look et de biautifoul people, de Louboutin, d'Hermes, de Ruinart et de Cheval-Blanc toutes choses dont on se contrefout et qui sont là pour épater les petites nénettes qui lisent les magasines de mode (c'est à dire, ne le cachons pas, vous et moi de temps en temps). "On ne change pas une équipe qui gagne", a dû se dire Pancol, en nous reservant une louche d'Hortense, de Joséphine, de Zoé et de Gary, mais trop, c'est trop.

En plus de ces personnages puants, on nous balance quelques fiches savantes (et de seconde main) sur les philosophes, la musique ou le moyen âge (les petites nénette se disent "Boudi ! elle est fortiche, elle en sait, des choses, l'auteure"), quelques imparfaits du subjonctifs fautifs pour faire bonne mesure (de grâce, braves gens, arrêtez d'employer l'imparfait du subjonctif si vous n'êtes pas absolument sûrs de votre fait, même Maurice Druon se plantait, quant à Le Pen, j'vous dis pas). Mettez tous ces ingrédients à épater les petites nénettes, secouez et il en sort quoi ?

Et bien non, il n'en sort pas quelques chose d'imbuvable, parce que cette sacrée Pancol a du talent, des remarques intelligents, une plume qui s'envole souvent, des personnages secondaires attachants comme tout (voir en dernier chapitre celle qui se dit "la reine de la turlute" par exemple). Et une histoire qui se déroule de façon crémeuse, addictive...On s'en veut, mais on marche.

Mais, je vous préviens, si je ne retrouve pas ma camionneuse dans le tome 3, je huuuuuuuurle !

(Et si on la retrouve, ou pourra économiser sur l'achat du tome 2 et passer directement au 3)
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La valse lente des tortues

Les yeux jaunes des crocodiles m'avait plus mais avec cette suite j'avais peur d'être déçue. Il m'a donc fallu du temps pour me lancer dans cette lecture.

Et chose incroyable : j'ai tellement adoré que je peux affirmée que je préfère ce deuxième tome au premier.

On y retrouve l'humour et l'écriture fluide de Katherine Pancol et les personnages sont attachants (J'adore Joséphine et le couple Marcel-Josiane).

Les rebondissements se succèdent et j'étais sans cesse surprise de la tournure que prenait le roman car je ne m'attendais jamais aux événements qui survenaient. Je n'en dirais pas plus pour ne pas dévoiler l'intrigue mais je recommande vraiment ce livre.
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Nous sommes Charlie : 60 écrivains unis pour ..

Tout juste un mois après les terribles événements qui ont changé la France et ont insufflé un élan citoyen incroyable, Le livre de poche sort ce recueil de textes. 60 écrivains unis avec la même volonté de défendre la liberté d’expression.



L’ensemble des acteurs du livre a donné de son temps et de son argent pour que vive cette belle initiative dont les bénéfices seront reversés à Charlie Hebdo. 5 euros, ce n’est rien pour un tel recueil.



Dans un délai incroyablement court, l’éditeur a réussi à rassembler cette meute d’auteurs, regroupés sous une même bannière et brandissant leurs stylos comme arme. Leur intelligence et leur liberté de penser aussi.



60 textes forcément inégaux, certains se contentant d’une ou deux maigres lignes, d’autres de plusieurs pages. De l’analyse au cri de ralliement, du souvenir au texte très personnel… il y a de tout dans ce recueil.



L’éditeur a eu la bonne idée d’entrecouper les textes des auteurs actuels, d’extraits de Voltaire, Diderot ou encore Hugo. Pour prouver que le sujet de la liberté d’expression n’est pas neuf et qu’il faut défendre cette liberté jour après jour contre l’obscurantisme.



Sans vouloir détailler tous les textes proposés, j’ai une pensée plus particulière pour les mots de Maxime Chattam qui résonnent cruellement par rapport à son roman en cours d’écriture, pour Ian Manook et son texte si touchant, pour Frédérique Deghelt qui pense à la mère de ces terroristes, pour Dominique Fernandez et Marc Lambron qui nous font prendre conscience à quel point cet événement a touché le monde entier, pour Fabrice Humbert et Romain Puértolas avec leur belle idée de parler du sujet à travers une fiction (grave ou drôle), pour Katherine Pancol et son poème enjoué, pour BHL et son texte très juste, pour Eric-Emmanuel Schmitt et son mordant manuel du fanatique…



Quoi que vous cherchiez, et même si vous ne cherchez rien, vous en trouverez un bout dans ce livre. Une lumière contre l’obscurité qui tente de nous éteindre. Voilà ce qu’est ce recueil. Continuons à allumer de telles lumières.
Lien : https://gruznamur.wordpress...
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Encore une danse

Avec ce roman je découvrais Katherine Pancol. Je ne suis ni emballée ni déçue. J'ai lu ce livre avec une certaine distance. Tout se termine trop bien. Ce roman n'offre pas un regard positif sur le mariage et l'engagement d'un couple en général, bien au contraire. Quant à l'amitié elle ressort de cette histoire quelque peu écornée, abimée. Après cette lecture peut-on croire encore à la force de ces deux sentiments? Je n'en suis pas sûre. Par ailleurs, je trouve que les personnages donnent un peu dans le cliché et que certains d'entre-eux pourraient être les héros de romans à l'eau de rose. Tout semble bien loin du quotidien du commun des mortels. Note moyenne donc pour un livre moyen.
Lien : http://araucaria.20six.fr
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Les écureuils de Central Park sont tristes le..

Je décerne à ce livre mon label CoupdeCoeur en raison de son écriture particulièrement fluide, vaporeuse, diaphane, transparente, ectoplasmique, inexistante. Le titre a lui seul me fait détester les écureuils, Central Park, la tristesse et le lundi.

Encore un mot de plus dans ce titre et je détestais la Création toute entière.
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