Côté rançon, il n’y avait guère eu de progrès. L’Italie et la Grande-Bretagne faisaient la sourde oreille, espérant que la crise se résolve ou disparaisse par enchantement. Puisqu’ils étaient exclus des négociations et ignoraient totalement à qui ils avaient affaire, ils étaient réticents à mettre la main à la poche – ce qui pouvait se comprendre.