« Cassiel était-il mort ou vivant? Et s’il était mort, est-ce que je vivais avec son assassin? Lorsque j’avais volé la vie de Cassiel, j’avais cru qu’elle serait meilleure que la mienne. […] J’avais cru qu’il avait une famille stable et aimante. Je voulais ce qu’il avait. Maintenant, je ne savais plus du tout ce qu’il en était. Je ne savais plus qui ils étaient, tous. Étant donné que la seule chose dont j’étais sûr, c’était que je mentais, comment aurais-je pu faire confiance à quelqu’un d’autre?» (p. 187)