AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Jeanne Bocquenet-Carle (132)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Finisterrae, tome 1 : Tu garderas le secret

Katell, 15 ans, part vivre en Bretagne, au bout du monde, suite à la mort mystérieuse de sa grand-mère. Ses trois frères l'entourent de leur présence rassurante mais le silence de leur mère face à leurs nombreuses questions devient inquiétant.



Pourquoi ont-ils quittés Paris en pleine année scolaire pour vivre entre mer et menhirs ?



La rencontre avec Tristan va illuminer mais aussi complexifier la vie de Katell dans cette lande peuplée d'un lord passé druidique...



Un récit qui a le mérite de nous présenter le Finistère et le monde fantastique qu'il contient avec ses légendes et ses croyances particulières, liées aux éléments. La jeune héroïne doit prendre en charge un héritage dont elle n'a pas les codes. La quête d'un objet magique vient tendre le fil du récit.



L'histoire est coupée avec la trajectoire d'une jeune apprentie druide en 1251.



Un bon roman d'aventure pour les jeunes lecteurs avec des chapitres courts et des pages très aérées. Ce premier tome propose une première fin même s'il ne répond pas à toutes les questions soulevées.
Lien : http://cdilumiere.over-blog...
Commenter  J’apprécie          240
Finisterrae, tome 1 : Tu garderas le secret

Katell et ses trois frères vivent à Paris. Leur univers tranquille est alors bouleversé par un déménagement en Bretagne imprévu et plutôt précipité . Leur nouvelle maison aura vue désormais sur le Menez Hom, pas vraiment de quoi se plaindre. Et bien vite, les enfants prennent leurs marques. Ils apprécient les grandes plages de sable fin, le surf, l'équitation, le nouveau lycée à Chateaulin, les balades en 4x4. Katell avait d'ailleurs envie de changement, ne se sentant pas trop à l'aise dans sa vie d'adolescente. Elle a un petit quelque chose de différent. Mais quoi ?

Pour leur mère, c'est un retour aux sources. Elle porte en elle un héritage auquel elle ne peut échapper. Cet héritage est périlleux, on s'en apercevra au cours de ce roman.



La magie du Menez Hom, les druides, les bardes, les croyances et légendes celtiques, tout cela est fascinant. Cependant, j'ai été gênée par le côté contemporain de l'histoire qui se heurte à ce monde légendaire et tellement envoûtant. Il manque de la finesse dans ce récit. L'humour est un peu trop facile, on a l'impression que le lecteur n'est pas pris au sérieux, ou bien de changer complètement d'univers, ce qui déstabilise.



Je pense que c'est un roman qui plaira à un jeune public, avide de romance et d'aventure. Facile à lire et divertissant. De plus, il pourra faire connaissance avec les druides et peut-être lire d'autres ouvrages sur ce thème un peu plus envoûtant. En voyant la couverture magnifique et le résumé, j'imaginais autre chose.

Commenter  J’apprécie          180
Finisterrae, tome 2 : Pour qui bat mon coeur

Après s'être bien acclimatés en Bretagne, tout près du Menez Hom qui, comme chacun sait, se trouve dans le Finistère, Katell et ses frères continuent leur initiation au monde des druides et des guerriers protecteurs. Dans ce tome 2, le personnage maléfique est toujours sur les traces des druides, à la recherche de tout objet merveilleux appartenant au monde celtique.

On part pour un grand voyage en Angleterre. Le monde des Celtes s'étend en effet bien loin. Toute une communauté vit dans la légende de Dana, cette déesse de la mythologie irlandaise. On vénère le feu, l'eau, le soleil, la lune, les saisons. Les reliques et les pierres précieuses sont sacrées.



Courses- poursuites pour retrouver la pierre de la Destinée, The Stone of Scone, héritage des rois Écossais, visite aux mégalithes de Stonehenge, rencontre avec un Amérindien ayant des croyances quasi similaires avec les druides. Les évènements savent se mettre à temps sur le chemin de Katell et de son ami Tristan pour les protéger. C'est ça aussi la magie des druides. Un peu trop facile sans doute. Là aussi, l'auteur aurait pu améliorer le personnage de Katell. Une jeune fille qui pourrait être le druide attendu depuis des siècles, pourrait être moins puérile. Il y a un contraste entre sa particularité et son comportement. Tristan semble plus imprégné de son rôle. C'est peut-être aussi parce qu'il vit depuis sa naissance dans la communauté, au milieu des codes runiques, de la prophétie, des cérémonies.



Le danger est imminent, mais les peines de cœur semblent plus importantes. C'est vrai que tout est dans le titre ; Pour qui bat mon cœur. Il ne fallait pas en attendre davantage. S'il y avait une suite, on trouverait une Katell plus mûre, son initiation étant bien entamée, son rôle mieux défini.



Malgré tout, ce roman de Jeanne Bocquet- Carle, qui vit dans les Côtes -d'Armor, est bien documenté et est une première approche pour aller plus loin dans cet univers mythologique fascinant. L'illustratrice Krystel a fait un travail remarquable. Une couverture qui ne manque pas d'attirer l’œil du lecteur.

Commenter  J’apprécie          170
Le code de Jill

Lecture douloureuse, asphyxiante, lecture qui m'a franchement donné un sentiment de malaise alors que j'ai véritablement lu beaucoup de livres sur des sujets sensibles dernièrement. Lecture dont je suis heureuse de rédiger l'avis, pour que ce soit "derrière moi".

Certes, je ne m'attendais pas à l'histoire que j'ai lue. Je ne m'attendais pas non plus à ne pas m'attacher à l'héroïne, Jill, qui a grandi coupée du monde, à cause de sa maladie. Elle est ainsi particulièrement mature pour ses 16 ans, tout en m'ayant semblé détachée de tout, sauf des ossements qu'elle examine pour recomposer des visages et des corps. Ce n'est pas la peine de dire que ce n'est pas une occupation pour une jeune fille de 16 ans, d'autres, dans ce récit, le pensent déjà. Mais, héritière spirituelle de monsieur Molineux, un anthropologue qui lui a tout appris, elle excelle dans son domaine : c'est lui qui l'a recueillie après le décès accidentel de ses parents.

A contratio, je me suis attachée à Marie, si vivante, si proche d'autrui, si avide de découvrir le monde qui l'entoure - alors que l'on se doute bien que son destin a été tragique. Oui, bizarrement, en dépit du danger qui rôdait, j'étais mieux en compagnie de Marie qu'en celle de Jill, auprès de qui j'étouffais littéralement. Curieux ? Oui. Marie sera vivante jusqu'au bout, elle vivra son destin jusqu'au bout, pensant toujours aux autres plutôt qu'à elle.

Je dirai aussi que j'ai eu du mal avec le dénouement, mais, encore une fois, cela ne regarde que moi. A vous de voir si vous avez envie de découvrir Jill et Marie. 
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
Commenter  J’apprécie          130
Finisterrae, tome 1 : Tu garderas le secret

Katell est une jeune fille de 15 ans. Elle vit avec sa famille dans un appartement à Paris. Un jour, ils doivent précipitamment déménager en Bretagne car leur grand-mère (que Katell ne connaissait même pas) est décédée. Mais Katell trouve cela étrange. Après la venue de deux femmes qui chuchotaient à sa mère les problèmes qui se passaient à Sainte-Marie-du-Menez-Hom, (c'est ici que Katell, ses trois frères et sa maman doivent déménager), Katell fait des recherches sur Internet. Le Menez-Hom est dans le Finistère. Apparemment, il y aurait eu un meurtre et avant que la police ne découvre l'identité de la victime, celle-ci se serait envolée ! Étrange...



Quand Katell arrive en Bretagne, on lui raconte que sa grand-mère était une druide exceptionnelle.

Et avec Tristan, cet ado solitaire qui passe son temps à l'école de voile... la vie de Katell va être chamboulée.



J'ai bien aimé ce roman. Je n'ai pas pu m'arrêter de le lire. Je le recommande peut-être plus pour les ados, car il y a une histoire d'amour, mais moi cela ne m'a pas dérangé.



Je remercie mon grand-papa de m'avoir offert ce livre !
Commenter  J’apprécie          130
Finisterrae, tome 2 : Pour qui bat mon coeur

Tristan est parti rendre visite à sa mère qui est à l’hôpital, et depuis, Katell n’a plus de nouvelles de lui. De toute façon, il faut tout de même qu’elle suit son entraînement : lire dans le feu.

Tout le monde doit être très prudent car Sir John n’est pas loin…



Katell part en Angleterre avec sa classe et son amie Nolwenn. C’est alors que Tristan donne RDV à Katell en Angleterre. Et l’aventure va commencer…



Ce tome 2 est super. Je l’ai adoré. Il peut plaire à tout le monde, car il peut plaire aux jeunes filles (notamment avec l’histoire d’amour) mais aussi aux adultes car le reste est tout aussi captivant.

Commenter  J’apprécie          120
Survivre

Une lecture agréable, rapide et légère.

Un matin, tous les parents et adultes ont disparus. Les ados et enfants doivent maintenant s'organiser et composer avec des gangs, une absence d'autorité, des dangers... Et ils doivent apprendre à survivre.

C'est un plaisir de retrouver dans une dystopie des endroits que l'on connait, surtout des lieux autant chargés de légendes (la Bretagne, vive les chapeaux ronds). Je pense que le public visé n'est pas très vieux, et que cette histoire est un bon moyen d'aborder avec les plus jeunes différents thèmes comme la violence, les légendes ou la nature.

Petit roman, bon moment.
Commenter  J’apprécie          90
Finisterrae, tome 2 : Pour qui bat mon coeur

RISQUE DE SPOILER DU TOME PRECEDENT !



Comme vous le savez, j'avais adoré le premier tome, apprécié l'humour et surtout les stéréotypes de la Bretagne tournés à l'auto-dérision. J'avais trouvé l'intrigue très intéressante et très bien menée. J'étais donc curieuse et pressée de lire la suite et fin. Même si j'ai aussi bien aimé, que ça se lit très vite, j'ai néanmoins un peu moins aimé que le premier tome. Pourquoi ? Peut-être parce que j'ai trouvé que Katell pleurait trop sur son sort le départ précipité de Tristan, dont elle était tombée amoureuse.



Comme je viens de le dire, nous quittions Katell dans le tome 1, complètement effondrée. Tristan l'a abandonnée, elle vit en Bretagne, loin de tout et de ses amis, et se voit contrainte d'apprendre la vie des druides pour se sauver, étant pourchassée par un homme qui leur veut tous du mal. Mais lors d'un voyage d'études en Angleterre, elle voit une lueur qui pourrait lui faire retrouver celui qu'elle aime, tandis qu'elle est assaillie de visions assez horrifiques pour lui faire peur. Sont-elles vraies ? Vont-elles vraiment se produire ? Ou ne sont-elles que des songes qu'elle se fait ?



Si j'ai adoré retrouver ma Bretagne et ces petits coins de paradis un peu inconnus de tous, traités avec justesse et passion de l'auteure, il n'en est pas moins que j'ai été moins prise par l'univers. Ne me demandez pas pourquoi, moi-même je serai incapable de vous l'expliquer. Et pourtant, la plume n'a pas changé, l'intrigue reste la même avec des difficultés en plus qui mettent Katell dans des situations compliquées, mais pourtant... un je-ne-sais-quoi m'a dérangée. Peut-être le fait qu'au lieu de prendre au sérieux sa destinée et de sauver et protéger ceux qu'elle aime, Katell pense avant tout à l'abandon de Tristan, qui est parti sur les traces d'une personne qu'il pensait disparue, en Angleterre ? Oui, je pense que c'est cela.



Parce que contrairement à ce que je pensais, Katell ne s'endurcit pas de cet « abandon », au contraire. Elle se laisse aller à la tristesse, à la peur qu'il l'ait oubliée, au fait qu'il ne donne aucune nouvelle. Elle s'inquiète, ce qui est tout à fait normal, mais elle est devenue une adolescent énamourée, parce que son copain est parti depuis trois semaines, sans lui donner de nouvelles... Certes, elle est encore jeune, c'est une adolescente, mais quand même ! Si cela avait été plusieurs mois, j'aurais compris, mais elle m'a plus agacée que touchée. Et d'ailleurs, j'ai beaucoup aimé sa mère et sa meilleure amie, qui essayent de lui ouvrir les yeux et lui faire comprendre que ce n'est qu'un garçon, un chagrin d'amour dont elle s'en remettra. Mais notre chère Katell est butée et surtout condescendante envers ses proches. Elle ne voit que son nez à elle, et l'avantage qu'elle aurait à retrouver Tristan. Vous l'aurez compris : cela m'a vraiment agacée.



A contrario de cette personnalité qui m'a dérangée, j'ai adoré tout le voyage que fait la classe de Katell en Angleterre. En compagnie de sa meilleure amie, elle va faire des découvertes qui vont les mener tout droit à des choses qu'elle n'imaginait pas forcément (surtout sa meilleure amie). Cette dernière apporte une fraîcheur au récit, parce qu'elle est totalement innocente, ne connaît pas la vraie vie de Katell, et a donc des réactions d'adolescente normale, qui nous font sourire. J'ai vraiment aimé ce voyage, la petite quête qui en découle, et les passages au passé, qui nous permet d'en apprendre plus sur ces reliques que l'on découvre au fur à et mesure. En plus, d'après ce que j'ai compris, ces passages au passé ont réellement existé, et les personnages que l'on découvre aussi, ce qui apporte une nouvelle touche de mystère, moi qui suis fan de toutes ces légendes bretonnes.



En résumé, malgré le caractère de Katell que j'ai vraiment moyennement apprécié, l'intrigue qui tourne autour dès le voyage scolaire m'a vraiment happée et très intéressée, ce qui fait qui j'ai dévoré les dernières parties, voulant toujours en savoir plus et enfin avoir les réponses aux questions que je me posais depuis le départ. En somme, ce second et dernier tome offre tout ce que l'on attend niveau réponse, mais du côté de Katell, il m'a un peu déçue.



Justine P.
Lien : http://lireunepassion.blogsp..
Commenter  J’apprécie          90
Finisterrae, tome 2 : Pour qui bat mon coeur

J'avais vraiment adoré le tome 1 et j'attendais avec impatience ce tome 2 : le voilà entre mes mains et je le commence en compagnie de Saefiel !



Je dois avouer que dès le départ j'ai vu que ce tome (clôturant ce diptyque) était assez court et j'avais peur que tout cela se fasse dans la précipitation. Crainte qui s'est révélée fondée... En effet, j'ai vraiment aimé retrouver tous les personnages, l'atmosphère celtique, magique, découvrir aussi de nouveaux protagonistes mais l'ensemble est vraiment trop rapide.



J'ai aimé les flashbacks vers les années 50 durant le vol par quatre étudiants de la pierre d'Ecosse car cela mettait en parallèle le récit avec l'Histoire. Cependant le personnage de Kay n'était pas assez mis en avant, expliqué, approfondi. Il en va de même avec Will, un amérindien qui débarque dans l'histoire et ne fait l'objet que de quelques scènes intéressantes alors qu'il semblait vraiment passionnant.



De surcroit j'aurais vraiment aimé que cela soit porté sur l'action, les rebondissements, la quête du personnage principal mais ce sont les amourettes qui prennent le dessus avec l'absence de Tristan qui met le cœur de notre héroïne à rude épreuve. Enfin je dirai que les situations se déroulent trop facilement : le dénouement est aisé, les personnages "normaux" acceptent trop facilement la "magie" dans leur vie... J'ai aimé l'intervention finale de l'auteure nous permettant de rester un peu plus longtemps dans l'histoire. En fait je pense que cette aventure aurait due faire l'objet d'une trilogie pour permettre le tout de bien se mettre en place.



En définitive, une bonne histoire qui aurait gagné en qualité avec plus d'approfondissements sur l'intrigue et les personnages.
Lien : http://leatouchbook.blogspot..
Commenter  J’apprécie          90
Finisterrae, tome 1 : Tu garderas le secret

L’auteure semble visiblement s’être bien documentée sur le druidisme et la mythologie celtique. Mais le récit souffre selon moi de la trop grande proximité, du mélange entre réalité moderne la plus terre à terre avec le côté fantastique et mythologique. On passe des tartines de Nutella aux druides, du Biactol au feu sacré… Un mélange improbable qui ne m’a pas convaincu, quand il ne m’a pas semblé ridicule. Surtout quand des traits d’humour sont introduits, détruisant toute aura de mystère.

Les principaux adolescents concernés, Katell et ses frères, acceptent sans difficulté tout ce qu’ils découvrent sur leur mère (grande prêtresse), les prédispositions de Katell et ce qu’on leur demande de faire : peu convaincant.

De même, le personnage du Lord, ténébreux (non non, ce n’est pas « celui dont on ne doit pas prononcer le nom »!... ) n’est pas bien dessiné, ses intentions restent assez nébuleuses, la lutte entre lui et le peuple des druides est très épisodique.

Les scènes de bataille entre sa petite armée de mercenaires armés de fusils mitrailleurs face à des druides (et les frères de Katell munis d’armes d’escrime magnétisées…) sont peu crédibles, floues, éludées dans l’écriture.

Dommage donc, le sujet était intéressant, j’aurai aimé être plus positif mais... Mais ce n’est que mon avis, les précédents sont dithyrambiques ! Reste pour moi le plaisir de retrouver des lieux familiers que je j’apprécie, notamment le magnifique Menez Hom.

Commenter  J’apprécie          90
Finisterrae, tome 2 : Pour qui bat mon coeur

J'aime trop ce livre
Commenter  J’apprécie          80
Finisterrae, tome 1 : Tu garderas le secret

Que je suis contente! J'ai passé un très bon moment de lecture!

Ce tome 1 se lie très vite et je lirai le tome 2 très prochainement avec plaisir.

J'avais très (très très très même) peur d'être déçue et de tomber sur un livre bof. Je me suis bien trompée. Finisterrae a été une très bonne surprise! (J’enchaîne un peu les déceptions livresques donc je crois que je suis encore plus ravie que je ne devrai l'être d'être tombée suis un bon ouvrage!)



Tout d'abord l'écriture.

L'auteure écrit avec une très belle fluidité! J'adore quand ça coule tout seul!

Et je la félicite pour son parlé "d'jeuns". Je m'explique. Les auteurs jeunesse qui essaient de parler le "d'jeuns" dans leur livre, parlons clairement, ça me gonfle et c'est souvent raté je trouve. C'est la première fois que j'apprécie un livre où l'auteur fait parlé son personnage principalement en "d'jeuns". Je pensais que je n'aimais tout simplement pas ça (Je souffle à chaque fois que ça commence). Mais non, c'est que je n'avais pas encore réussi à lire un auteur qui le fasse correctement.. Crédiblement devrais-je dire. Donc bravo!

Car du coup c'est un vrai régal!



Parlons histoire et personnage du coup:

C'est un roman jeunesse mais j'avais très peur de tomber sur un roman très jeunesse et donc très immature et sans profondeur. Ce n'est pas du tout le cas.

Katell, personnage principal est géniale. J'ai beaucoup aimé son personnage, sa fraîcheur, sa simplicité, sa spontanéité, son humour et ses pensées! (qui sont en d'jeuns justement! LOL!). L'auteure met très régulièrement ses pensées en italique, une phrase par-ci, par-là. Et c'est à chaque fois un régal. Elle a un répondant d'enfer! Mais dans sa tête car en live elle n'est pas forte en improvisation à cause de son manque de confiance en elle. Elle est très attachante et très crédible en tant qu'ado. Bravo.



En me renseignant au sujet de l'auteure que je ne connaissais pas avant j'ai vu qu'elle avait 2 enfants, et à ma grande surprise ce ne sont pas des ados du tout! Ils sont petits! Quelle surprise! J'aurai pu mettre ma main à couper qu’elle vivait forcément avec des ados pour créer des personnages aussi crédibles. Mais pas du tout. Double bravo du coup! Car tout est dans le détail. Katell n'est pas la seule ado crédible, ses frères le sont aussi, ses amis...etc... Mais je ne vais pas tous les détailler. La seule information à retenir c'est que c'est réussi.



Au niveau de l'histoire, même avis et un seul mot : crédible! J'insiste un peu sur la crédibilité dans cette critique car ce livre m'a beaucoup surpris à ce niveau là!

On est en Bretagne avec ses légendes et son histoire et on sent que l'auteure encore une fois sait de quoi elle parle. Le sujet est maîtrisé.

J'insiste, car le dernier livre que j'ai lu où l'auteur parlait "d'jeuns" et où l'histoire traité de la Bretagne et de son histoire c'était un raté pour moi, et il s'agissait de KORIDWEN de Yves Grevet. Le parlé n'était pas crédible tout comme l'histoire. Voilà pourquoi j'appréhendais de lire ce livre j'avais trop peur de la même expérience. Le fond de l'histoire des 2 livres est très différent, je ne peux donc pas les comparer à proprement dit. Mais en revanche sur le côté "histoire bretonne" ils sont assez proches. L'un est raté, l'autre réussi haut la main!



Vous l'aurez compris, ce premier tome est une très bonne surprise pour moi, c'est frais, c'est distrayant, c'est jeune et même en tant qu'adulte on passe un super moment de lecture détente! Vivement que je lise la suite et fin de l'histoire et que je retrouve ces personnages attachants!
Commenter  J’apprécie          80
Quand mon orage succombe

C'est avec Jeanne Bocquenet-Carle que s'ouvre la collection Blanche chez Marathon éditions. Une ouverture flamboyante avec cette sublime histoire que nous propose l'auteure.

Je remercie Jeanne et Marathon éditions pour la confiance et l'infime honneur de m'avoir permis de découvrir, en avant-première ce tout premier tome de la collection.

Bien qu'ayant lu les History Show, l'auteure a réussi à me surprendre avec ce roman dans un tout autre registre.

Tout d'abord par la plume déjà plaisante dans le dernier roman cité. Mais … exceptionnelle, ici et séduira sans nul doute les amateurs, amatrices des mots, des phrases qui chantent, tant elle est teintée d'une note de poésie. le tout se combine en un style fluide et un récit très facile à lire.

Parlons un peu de la romance, de l'histoire de la mystérieuse Tara qui y est associé. Si la relation entre Arthur et Ella reste prévisible, avec comme point de départ la passion commune pour la lecture et l'attraction qu'exerce sur eux, une auteure en particulier, il n'en est pas de même pour tout ce qui touche à Tara. Tara un personnage important de cette histoire, pas du tout banale. L'auteur nous intrigue tout au long du récit. Pas à pas, à travers la voix donnée à cet étonnant personnage, elle nous dévoile une part d'elle. Pour autant, Jeanne Bocqueret-Carle maintient le suspense et même si des doutes s'imposent dans vos esprits, les réponses resteront surprenantes.

Plusieurs thématiques sont abordées dans cette aventure livresque et sont particulièrement traitées. Les comportements et la psychologie des protagonistes sont brossés avec justesse, les émotions au rendez-vous, les ambiances lycée, bien rendues. A travers les personnages, certains d'entre nous peuvent se reconnaître, et je ne dis pas ceci en références aux noms des bloggeuses, bookstagrameuses, citées par l'auteure — Eh, eh, j'en suis. Non, je parle d'Arthur, d'Ella, de Tara, personnages très attachants, que l'on peine à la quitter. Probable motif de ma petite frustration avec un épilogue que je trouve, à mon goût, trop court, trop abrupt.

Ce qui n'empêche que ce roman est un méga coup de coeur.

Commenter  J’apprécie          60
Finisterrae, tome 1 : Tu garderas le secret

Katell vit à Paris en compagnie de sa mère et ses trois frères. Leur père, marin au long cours est l'éternel absent dans cette vie familiale.



Leur petite vie bien rangée va cependant être bouleversée par l'annonce d'un décès. Mais comment comprendre que leur mère décide de tout quitter pour repartir dans sa région d'origine à la mort de sa propre mère quand ils ne savaient qu'à peine avoir une grand-mère ?



Les voici donc partis en plein Menez Hom. Nom barbare et région perdue pour ces jeunes parisiens habitués à une vie trépidante et remplie de copains. Enfin c'est surtout le cas pour ses trois frères. Katell, qui préfère se faire appeler Catherine à Paris est assez renfermée. Elle se cache sous des pulls à capuche informes et se lie peu. Seule sa copine Valentine, une nana branchée a sa préférence peut être justement à cause de cette lumière qu’elle dégage alors que Katell reste dans l’ombre.



Pourtant cette nouvelle vie va lui plaire. Le paysage du Menez Hom depuis sa fenêtre de chambre lui offre une paix et un sentiment d'appartenance qu'elle n'a jamais ressenti ailleurs. Mais ce qui va surtout la secouer ce sont les révélations qu'elle va surprendre sur le décès de sa grand-mère. La voici enquêtrice du dimanche pour deviner ce qu'il s'est réellement passé et c'est ainsi qu'elle va faire la rencontre de Tristan et découvrir un nouveau monde qui la plongera dans la culture ancestrale bretonne.



Je ne vais pas vous parler de tous ces personnages que Katell va rencontrer car il faut les découvrir avec ses yeux à elle. Mais je peux juste dire que vous allez voir la Bretagne autrement que comme une région où il pleut ;)



La magie celtique, les cérémonies druidiques, les contes et légendes vont prendre corps et vie dans cet environnement favorable. Ils vont aussi plonger notre petite famille au sein d'un chaos de pouvoir et de sang.



Nos quatre frères et sœur vont se découvrir des affinités avec ce petit coin de Bretagne. Ressentir au fond d'eux l'appel du destin, de l'amour aussi et du courage. Le fossé entre ces adolescents un peu rebelle et cette ambiance quasi irréelle donne un aspect vraiment prenant. Ces jeunes ados parisiens et principalement Katell vont se retrouver plongés dans un monde de traditions orales, de magie ancienne et de pouvoirs. Cette vision de la Bretagne donne à leurs aventures ce petit plus qui nous plonge dedans avec fébrilité. La Bretagne avec ses légendes arthuriennes et Brocéliande, l’Ankou ou bien encore d’autres héros mythiques semblent prendre vie sous la plume de l’auteure. Elle a su mêler avec talent ce qui en fait une région magnifique et magique avec les affres de l’adolescence de Katell, des amours contrariés et de la difficulté de se sentir déracinés.



L'ajout dans ce contexte déjà fortement addictif d'une prophétie, d'un ennemi avide de pouvoir et de choix cornélien ne seront qu'un plus à un récit déjà prenant.



J'ai été emportée rapidement par la plume magique de Jeanne Bocquenet-Carle. J'avoue aussi que la couverture de Krystel y est pour beaucoup dans mon choix de l'ajouter à ma PAL il y a hélas bien trop longtemps. J'ai maintenant hâte de lire le tome 2 pour découvrir le fin mot de cette prophétie qui, si je ne me trompe pas, nous réserve encore quelques surprises.
Commenter  J’apprécie          60
Le code de Jill

Jill a vécu recluse chez elle jusqu'à ses 12 ans, paralysée par une maladie. Lorsque ses parents décèdent dans un accident, elle se remet subitement à marcher et c'est chez Mr. Molineux, un voisin anthropologue, qu'elle trouve refuge. Il l'initie patiemment à son art, aux outils qu'il a inventé et à ses méthodes et elle se découvre une passion et même un don particulier. Mais lorsque celui-ci meurt à son tour 4 ans plus tard, Jill n'a d'autre choix que de travailler pour Anthropolab et de reconstruire le visage et le corps d'une jeune fille cathare morte lors du siège de la forteresse de Montségur en 1244. Mais elle est loin d'imaginer ce que les ossements vont lui révéler...

Au vu de la couverture très gothique et de la quatrième de couverture, je pensais lire un roman plutôt gore ou fantasy mais ce n'est pas le cas ! J'ai cependant beaucoup aimé le récit qui m'a fait penser à la série Bones.

Il a un côté fantastique avec le lien entre Jill et Marie (nom donné au squelette trouvé) et j'ai aimé que la narration alterne entre l'histoire ces deux héroïnes, ces deux époques.

Jill est une jeune fille assez étrange, qui ne connait rien au monde actuel qui l'entoure. Elle est franche et naïve mais elle a le don de "lire" les ossements qu'elle a entre les mains et de "voir" à quoi ils ressemblaient de leur vivant. Marie, quant à elle, vit dans une époque trouble au sein d'une communauté cathare mais ne rêve que de liberté et de nature. Leurs deux destins sont liés par delà le temps.

J'ai vraiment beaucoup aimé ce roman plutôt même si la fin est, à mon goût, un peu trop rapide. !
Commenter  J’apprécie          50
Survivre

J'aime
Commenter  J’apprécie          517
Finisterrae, tome 2 : Pour qui bat mon coeur

Ce livre m'a beaucoup plu car j'aime bien ce genre de livre, aventure, suspense, etc... Je l'ai commencé un matin et je l'ai fini l'après-midi ! C'est l'histoire de Katell, une jeune fille de seize ans qui est dotée de grands pouvoirs. Je ne vais pas en dire plus, ce serait tricher et vous dévoiler l'histoire !!!

En tous cas, bonne lecture !

Commenter  J’apprécie          50
Finisterrae, tome 2 : Pour qui bat mon coeur

Katell vit depuis plusieurs mois en Bretagne en compagnie de ses frères et de sa mère. Elle a apprit à découvrir le monde et la magie celtique. Malheureusement, le beau Tristan est parti à la recherche de sa mère qu’il croyait morte depuis des années. Katell n’a plus de nouvelles et son humeur s’assombrit, elle n’a plus le goût à rien. Pourtant, la communauté celtique a plus que jamais besoin du soutien de la jeune fille.



J’ai retrouvé le monde magique original et l’ambiance très bretonne de Finisterrae avec une certaine appréhension. J’avais trouvé le premier tome peu réaliste et j’avais peur de voir ce second et dernier tomber dans les mêmes problèmes. Et mon avis mitigé sur la série s’est, à mon grand regret, transformé en avis négatif.



J’ai tout d’abord été profondément agacée par l’attitude de Katell. L’adolescente fait une fixation sur Tristan et ça en devient vraiment pénible. D’autant plus que le jeune homme ne semble pas être vraiment concerné par Katell, son attitude est très distante et je ne peux m’empêcher de le percevoir comme le salaud de base qui promet monts et merveilles sans en penser un mot. Ceci dit, j’ai aussi remarqué que Tristan ne promettait rien du tout à l’adolescente qui se monte finalement la tête toute seule.



A cela s’ajoute un point négatif que j’avais déjà soulevé : le manque de réalisme. Encore une fois, la crédibilité n’est pas au rendez-vous. Certaines scènes sont même carrément surréalistes. Je pense notamment à un évènement de la fin qui m’a enlevé les mots de la bouche tellement ça me paraissait gros comme une montagne… J’ai eu l’impression que l’auteur me prenait un peu pour un jambon capable de gober n’importe quel événement surréaliste sans me poser de questions.



Le dernier défaut majeur est le manque de consistance des personnages. Outre la crispante Katell, j’ai trouvé tous les protagonistes trop peu développés. Alors que certains comme Will ou Kay, la jeune femme du passé qui devient l’héroïne de quelques chapitres, auraient pu être sincèrement intéressants.



Ce manque de développement se retrouve aussi dans l’histoire, tout va trop vite, sans vraiment subir de transitions. Ce peu de profondeur m’a gênée dans ma lecture et m’a beaucoup déçue. J’aimais beaucoup l’univers, cette passion de la Bretagne que l’auteur nous dévoile et ce monde celtique original ; mais l’histoire et les personnages m’ont laissée sur ma faim.

Je pense que si Finisterrae avait été une trilogie plutôt qu’un dyptique, les choses auraient pu être plus abouties et donc, plus intéressantes.



En Bref

Je ressors déçue de ma lecture qui était pourtant prometteuse notamment grâce au thème de la magie celtique. Finisterrae n’a pas su me convaincre à cause d’un gros manque de profondeur et d’un personnage principal énervant à souhait.
Lien : http://lespetitsmotsdesaefie..
Commenter  J’apprécie          50
The Big History Show : L'Emission - Spéciale ..

Comme vous avez pu le voir déjà sur le blog, The Big History Show : l’émission est un concept que j’ai déjà vu et lu il y a quelques temps avec le roman du même nom.



Petit aparté : pour ceux qui n’auraient pas lu le précédent chroniqué sur le blog « The Big History Show : l’émission », vous pouvez sans souci commencer par celui-ci ou n’en lire qu’un des deux. Les histoires sont indépendantes, seules l’équipe de production de l’émission ou les personnels chargés des candidats (ingénieur machine, costumières, médecins...) sont les mêmes. Tout ce petit monde qui rend l’émission attractive par son réalisme et le suspens qu’ils laissent entrevoir entre chaque épreuve : où et quand partiront-ils ?



C’est ainsi que nous allons faire connaissance des binômes sélectionnés au départ dont il n’en restera qu’un au final.

Le concept est simple.

Une machine à voyager dans le temps.

Cinq équipes.

Des épreuves.

Des éliminations à chacune des épreuves.

Mais aussi des questions de confort qui vont permettre d’obtenir de l’aide dans l’épreuve.

Un vrai Koh Lanta historique où l’auteure sélectionne des périodes clefs de l’Histoire de France.



Cette fois nous nous retrouvons face à 10 adolescents.

Ici pas de vraies préparations pour la plupart. Leurs bases d’histoire restent scolaires et peu semblent être des férus de cette matière lorsqu’ils s’élancent dans les castings. C’est sur leur personnalité que la directrice du casting va les sélectionner. Sur leur charisme, leurs motivations ou parfois simplement sur son instinct de chasseuse de tête.

Cette fois encore 5 équipes atypiques. Des jeunes de tous horizons, toutes origines sociales ou familiales. Des que l’on va aimer dès leur présentation et d’autres qui énervent pour diverses raisons. Des jeunes mâtures, des naïfs, des guerriers dans l’âme, des pestes ou des altruistes. Chacun a son histoire, son passif qui va l’aider ou lui coller des bâtons dans les roues pour avancer.

En parcourant à la fois les coulisses de l’émission et celles de leurs vies, nous sommes amenés à en choisir émotionnellement certains plus que d’autres.



The Big History Show ne présente pas des dates calmes de l’histoire. Il fallait du sensationnel pour l’audimat, pour le dramatique et aussi le frisson de l’aventure. Nos adolescents vont ainsi devoir faire face à des événements pas toujours propres, ni simples à appréhender. Ils vont ainsi se découvrir, lier des amitiés, refaire leur histoire aussi. La plume de Jeanne Bocquenet-Carle nous fait vivre leurs péripéties comme si nous y étions. Les recherches en amont du roman portent leurs fruits dans la gestion du voyage dans le temps. On s’y croirait. Les candidats aussi.

Cela nous permet à nous lecteurs de vivre de loin comme le spectateur voyeur de l’émission mais aussi de nous rappeler nos cours d’histoire, retrouver nos souvenirs et (re)trouver un intérêt ludique à tous ces cours ingurgités adolescents.

Si je pouvais interviewer l’auteure, je lui demanderais pourquoi spécifiquement CES périodes ?

Mon seul petit regret sera pour le cliffhanger de fin que j’ai trouvé trop court. J’aurais souhaité quelques pages supplémentaires . Comme quoi malgré ce que l’auteure leur a déjà fait subir, le lecteur en veut toujours plus. Nous sommes sadiques quand même.

Mais cette lecture reste cependant très bien comme elle est.

Émotions, aventures et Histoire sont au rendez-vous. Alors prêts à vous inscrire pour une nouvelle saison ?

Commenter  J’apprécie          40
Survivre

J'ai découvert l'univers de Jeanne Bocquenet-Carle avec Finisterrae, un diptyque jeunesse prometteur et j'avais donc hâte de lire le nouveau roman de cette romancière.



Étant fan de littérature post-apocalyptique, j'attends beaucoup des livres dans ce genre : il faut être original, mélanger autant l'univers, le cadre spatio-temporel que le développement des personnages. Dans Survivre, l'auteure met en place un monde centré sur cinq personnages centraux, un univers où les adultes ont disparu, une disparition qui a des conséquences indéniables et terribles pour ces êtres a priori frêles. Un monde chaotique où il faut survivre.



Certes a priori cela ne semble pas être d'une originalité sans faille mais le résumé me plait et l'intrigue est intéressante, c'est vraiment parfait pour le lectorat jeunesse visé car il se sentira immédiatement proche des protagonistes et pourra s'identifier à eux. Je me suis attachée aux cinq même si j'ai une préférence pour Clémence, l'héroïne, que nous allons suivre pas à pas. Le gros point fort de ce livre est donc l'empathie que l'on ressent pour ces cinq êtres.



Après on retrouve un défaut qui était déjà présent dans la série Finisterrae : tout va trop vite, tout est trop rapide et cela reste en surface. En effet on est face à un chaos général mais cela n'est pas vraiment décrit, tout est focalisé sur Clémence et ses compagnons et on ne parvient par à véritablement appréhender le monde qui les entoure. Ensuite la suite des rebondissements s'enchaîne sans transition, sans description. Je dirai que l'idée est à chaque fois excellente mais que cela manque d'approfondissements. A chaque fois c'est beaucoup trop court pour le sujet abordé, il n'y a pas le temps en 200 pages de tout dire et c'est le bémol de ce livre.



En définitive, j'ai apprécié encore une fois ma lecture car l'idée est excellente mais j'aimerais plus de développements pour répondre à l'ensemble des questions soulevées durant ma lecture.


Lien : http://leatouchbook.blogspot..
Commenter  J’apprécie          41




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jeanne Bocquenet-Carle (310)Voir plus

Quiz Voir plus

SURVIVRE - Jeanne Bocquenet-Carle.

Où l'histoire commence t-elle ?

En Provence.
En Normandie.
En Alsace.
En Bretagne.

15 questions
5 lecteurs ont répondu
Thème : Survivre de Jeanne Bocquenet-CarleCréer un quiz sur cet auteur

{* *}