A la réflexion de ces années passées dans le silence et la méditation, je pense que Vincent n'était en rien un malade mental ou un exalté, comme on l'a si souvent et si mal décrit. A cette époque, ce dont il souffrait était mal compris, et aucun médecin ne savait comment soigner ses troubles épisodiques. Il était d'un tempérament doux et calme, peu agressif, enclin à la conciliation plus qu'à la confrontation (...) (p. 195)