En descendant de l'Adrar des Iforas, le désert se vallonne.
Il s'obstine à ressembler à un paysage fertile.
Les coteaux et les plaines feraient presque oublier de loin qu'ils ne sont couverts ni de terre ni d'herbe, ni d'arbres ni de buissons mais seulement à perte de vue, de cailloux.
Plus encore vers l'est, l'immensité abandonne toute résistance.
La roche devient sable, la colline dune.
C'est le Ténéré.