Lorsqu'il se mit enfin à jouer du violon, le son qui s'éleva était si pur que Yerzhan comprit instantanément le sens du premier commentaire de Petko: même un aveugle aurait pu voir le ciel bleu, la danse de l'air pur, la lumière éclatante du soleil, les nuages blancs neigeux, les oiseaux ravis.
Ce fut sa première leçon.