De même avant qu'il y eut des routes et des voitures publiques, ceux qui s'en allaient à cheval ou de pieds n'en sentaient pas la privation.on à augmenté beaucoup, et trop selon mon petit jugement, les jouissances,les plaisirs, les satisfactions de luxe, mais on n'a pas ajouté un fétu à notre bonheur. Toutes les commodités, toutes les facilités que nous avons de faire ceci ou ça, ne font que nous en dégoûter de bonne heure, parce que ce qui ne coûte aucune peine finit par ne donner aucun plaisir.