Picasso, tourné vers sa toile, écarte les bras, l’air de dire : « Voilà, ça, c’est de moi, ma révolte contre l’association sombre Franco-Mussolini-Hitler. » Il savoure, pressentant qu’avec ces trois-là il couvrirait un bon siècle d’engagement d’artiste inattaquable et consensuel. Dora l’admire aussi pour ça, et moi je m’incline.
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