L’école lui apparaît comme un univers d’incompréhension où règne la froideur du collectif. Les propos des maîtres ne le concernent pas et ce qui intéresse ses condisciples le laisse indifférent. Les premiers quinze jours qu’il y passe, il ne fait que « hurler avec l’effroi de ne rein comprendre à ce qui réjouissait les enfants de son âge ». Il ajoutera : « A l’abattoir de l’école maternelle, j’ai compris une fois pour toute ce qu’était le monde. »