Il dit la violence du monde qui est en lui avec ses mots, sa syntaxe. C'est assez déconcertant, mais je crois avoir ouvert une brèche dans la compréhension en disant le texte à haute voix au cours de nos séances d'analyse...Il ne faut pas le lire dans le silence des yeux, mais l'écouter comme une sorte de voix intérieure, une litanie qui conduit à un véritable effet de rêverie..;(p.56)