Mais il est clair que la pauvre Astrid, chez les sœurs, n’a pas eu le même entraînement que moi : on n’a pas du lui répéter assez souvent qu’elle était grossémoche. Alors que moi, c’est arrivé tellement de fois que désormais je m’en gausse. Ça glisse comme de l’eau sur des feuilles de lotus.