Ah ! Lautréamont, dont Aimé Césaire dit que sa poésie est "belle comme un décret d'expropriation...le premier à avoir compris que la poésie commence avec l'excès, la démesure, les recherches frappées d'interdit, dans le grand tam-tam aveugle [...] jusqu'à l'incompréhensible pluie d'étoiles..." (p. 12)