Il a toujours considéré ses romans comme des pures fantaisies, comme des amusements relativement innocents. Il aurait tout aussi bien pu écrire des contes fantastiques. Mais tout le monde ne l'a pas vu ainsi, et tant le jeune et brillant président du pays le plus puissant du monde que son médiocre assassin, dans certaine mesure, l'on pris au sérieux