La main descend lentement vers l’entrejambe. D’autorité, elle effleure l’intimité encore glabre, elle palpe délicatement, elle touche, elle caresse. C’est une main qui sait.
– Tu dis que tu aimes le Christ…
La main glisse, va et vient, douce et ferme à la fois.
– Cependant… tu mens, sale môme. Je sens d’ici l’odeur du vice.
Le souffle est dans l’oreille, lui aussi caressant, mais pourtant glaçant.
– Ton corps n’est pas le temple du Christ…