A l'époque, les maîtresses se divisaient en deux catégories. Les premières étaient mariées ou veuves, de rang égal à celui de leur amant. Ces liaisons ne s'affichaient pas de façon scandaleuse. Et puis il y avait les femmes que l'on entretenait. Elles recevaient, au vu et au su de tous, une compensation financière pour leurs services. Elles étaient à peine au-dessus des prostituées, si ce n'est qu'elles étaient censées réserver leurs faveurs à leur protecteur.