Les heures passées à m’identifier à Jane , passée du statut de simple gouvernante à celle de préceptrice, à frissonner avec les péripéties du torturé Frankenstein ou encore à m’imaginer me glissant dans la peau d’Elisabeth rencontrant le ténébreux Darcy, me permettent de m’échapper de la réalité.
Je ne connais de plus agréable moment que quand je déconnecte de tous les écrans, de toutes les fausses urgences qui étouffent notre quotidien et que je suis tapie sous un plaid, une tasse de thé devant moi, plongée dans une histoire si différente de la mienne.