Voilà deux ans et leur haine contre nous n'a pas eu le moindre apaisement. Nous sommes les orphelins de ce monde sans patrie, sans foyer. Notre seule espérance dépendra de nos forces avec le courage de notre vaillante jeunesse.
Ô Mon Dieu quand mettras-tu fin à tous ces supplices ? Les souffrances que nous venons de subir n'ont-elles pas été à leur comble ?
(21 avril 1917)