Les conditions d’hygiène devaient être épouvantables, et pourtant nous savons que beaucoup, peut-être plus qu’il n’y en aurait de nos jours, profitèrent de ces premières heures de lumière pour se faire la barbe et parfois même enfiler une chemise propre : « Car, comme l’observa un officier français, les soldats n’aiment pas combattre sales. »