C’est à elle de le comprendre, de réaliser qu’on ne peut pas rester debout dans la tempête, qu’il faut parfois plier un peu pour ne pas rompre. Le nombre de chênes à qui j’ai déjà indiqué le chemin du roseau dans ce cabinet… Certains restent chênes, déracinés, au sol, laissés pour morts, offerts à toutes les attaques de parasites que compte notre société. D’autres comprennent qu’ils ont le droit de n’être que des graminées bousculées dans les bourrasques, qui se redressent ensuite.