Adachitoka

Hiyori Iki passe une scolarité difficile, subissant les brimades de ses camarades. Tandis qu'elle se réfugie dans les toilettes pour pleurer, elle lit sur le mure un message, “je résous vos problèmes” et un numéro de téléphone. En l'appelant, elle fait la connaissance d'un sans-abri qui prétend être un dieu…



L’histoire est au départ assez farfelu, mais se révèle très prenante, très travaillée et très vite on adhère à ce monde ou vie et mort se côtoient dangereusement. Il y a de l’action mais pas trop, beaucoup de profondeur dans le développement des personnages, et l’on termine le tome sans avoir vu passer le temps.



Pour l’instant, il est sorti en France 5 tomes et 13 au japon et la série connait un certain succès. Je vais suivre cela de près et voir comment l’histoire évolue dans les tomes suivant, mais il se pourrait qu’on ai ici un Shonen bourrée de bonne idées. Qui sait, Noragami est peut-être parti pour durer ?

Yato a un nouvel shinki qui s'appelle Yukine c'est un ado, Yukine est mort a 14 ans et il ne sait plus comment c'était , la vie sur terre .Si un shinki trahis son maître il lui arrive des souffrances horribles.Yukine vole et profite de la gentillesse de Hiyori pour rester chez elle et etre loin de son dieu .On decouvre que Hiyori , a cause de l'accident qui s'est produit avec le bus est devenue une sorte d'ayakashi , et que des qu'elle s'endort et deviens comme Yukine et Yato , une sorte de fantome .Si on lui coupe la queue elle meurt. Yato a un autre shinki qui est très dangereux , c'est Nora du coup Yukine est très jaloux et commmence a faire des caprices .On rencontre eboux et son shinki , c'est la copine a Yato .Il arri_ve quelque chose de ttrès grave a Yato a cause d'un autre dieu et de son shinki ,c'est de la vengeance que veux le dieu contre yato et yukine aussi y est pour quelque chose .



Les edessins sont toujours aussi beaux et l'histoire est toujours aussi sympa .

En ce début d'année 2020, j'ai envie de nouveauté. Noragami est un titre dont les couvertures m'attirent depuis des années. Je trouve que le trait d'Adachitoka n'est pas sans rappeller ceux d'Hiroyuki Asada et de Sho-U Tajima deux auteurs que je vénère depuis que j'ai respectivement lu I'll et MPD Psycho. Alors forcément, j'ai de suite pensé à ce titre quand j'ai cherché des mangas à découvrir.



Noragami est en plus un shonen à ambiance ésotérique, ce qui n'est pour me déplaire. Ça raconte l'histoire de Yato, un dieu capable de terrasser des monstres venus de l’au-delà, qui bosse pour les humains mais dont l'orgueil et l'égoïsme l'ont rendu impopulaire. Cet éternel loser est un jour sauvé par la jeune Hiyori. Au seuil de la mort, elle acquiert la capacité de séparer son âme de son corps et de voir les créatures qui hantent notre monde. Coincée avec Yato, elle le suit dans toutes ses galères. Lui n’a qu’un objectif : devenir riche et célèbre, quitte à remplir les missions les plus risquées…



Partant de ce concept on se retrouve à la fois avec une histoire faite d'esprits et autres créatures bien japonaises qui donnent des frissons et qu'il faut combattre et aussi des petites aventures quotidiennes un brin banales. C'est quelque chose qu'on a pu lire autrefois dans XXX Holic des Clamp mais avec une ambiance bien plus mystérieuse. Ici, c'est surtout l'occasion de franche tranche de rigolade et de bonne raclée. Mais l'on sent également se dessiner en arrière-plan quelque chose de plus tragique car les personnages cachent bien leur jeu, tout comme l'auteur. Ainsi dans ce premier tome parle-t-on déjà de sujets grave : harcèlement, sexisme, étiquette qu'on veut coller aux femmes, etc. C'est donc assez prometteur.



Cependant, je n'ai pas eu le coup de coeur. Ce premier tome est sympathique mais il lui manque quelque chose. On est trop dans l'explicitation par le menu de l'univers, ce qui en plus est repris presque à chaque début de chapitre alourdissant la lecture. On n'a pas un dosage judicieux entre l'humour et le sérieux que l'auteur veut donner. Les personnages ne sont pas encore bien définis, ce qui leur donne un côté assez horripilant. Bref, c'est une longue introduction qui n'est pas vraiment aboutie. Elle donne envie de lire la suite car l'univers a du potentiel, mais il va falloir que l'auteur hausse vraiment le niveau pour donner envie de plus car en l'état ce n'est pas suffisant.



Les dessins, eux, sont aussi beaux que l'annonçait la couverture. J'y ai retrouvé le goût de Sho-U Tajima pour les noirs profonds et la rondeur des visages qui tranche avec le cisaillement abrupts des monstres peuplant les ombres. C'est vif, dynamique et d'une beauté un peu hors du temps. J'aime beaucoup le travail sur les yeux de chats des personnages et l'expressivité qu'ils renvoient. Même s'il y a un côté très poseur parfois, c'est quand même un vrai atout pour le titre.



Ainsi même si le tome 1 de Noragami ne m'a pas entièrement convaincue, il m'a tout de même donné diablement envie de lire la suite, ce qui tombe bien puisque l'éditeur proposait un pack de 2 tomes pour le découvrir !
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J'adore cette série.

Il s'agit ici de petites histoires anecdotiques non essentielles au manga réuni en un tome. Elles sont pour la plupart drôles ou font sourire. J'ai eu l'impression sur les histoires de Bishamon qu'il y avait un soupçon de parodie pas désagréables. On parle un peu du milieu des idoles. On perçoit plus le côté stupide de Yato et trop gentil comme son côté égoïste.



En bref, on respire et on peut aussi pour une fois voir tout les personnages réuni dans un tome.

Je pensais voir la série décoller avec ce deuxième tome, ce ne fut malheureusement pas le cas pour moi. J'aime toujours autant les dessins, l'univers, le contexte, les thèmes mais il me manque quelque chose dans la mise en scène pour le moment. Ce qui fait que même si j'ai envie de continuer, ce titre ne sera pas une priorité pour le moment.



Dans ce deuxième opus, Yato s'est trouvé un drôle de partenaire de combat, Yukine, un jeune ado qui semble n'avoir pas eu une vie facile avant de mourir, mais l'auteur garde encore trop bien le secret pour vraiment en faire un ressort dramatique pour l'instant. A la place, on assiste à un ado qui fait sa crise d'ado à ses parents séparés, c'est-à-dire Yato et Hiyori, qui ont chacun une façon très différente de le prendre. Du coup, j'ai eu l'impression que la série ne savait pas sur quel pied danser. On a un humour bancal et un sérieux tout aussi bancal sur le mal être de Yukine et celui d'Hiyori par la même occasion. Je n'ai pas trop aimé cet entre deux. Et le fait que l'auteur semble fuir le sujet au bout d'un moment en repartant dans de nouveaux combats, de nouvelles révélations à demi-mots sur Yato me conforte dans l'idée que quelque chose est mal digéré ici.



Alors ça reste agréable à lire. C'est fluide, dynamique avec de beaux dessins, des personnages stylés, un univers fantastique qui s'étoffe au fil des rencontres, mais j'attendais plus de maîtrise.
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Yato est un dieu et il ecrit son numéro de telephone partout pour que ceux ayant des petits problèmes se fassent aider ,a chaque passage il demande 5 yens pour contruire un sanctuaire, car Yato est pour l'instant très pauvre. Plus tard il va rencontrer une jeune fille de 15 ans , Hiyori IKI qui va le sauver a chaque moment de l'histoire et elle va decouvrir un truc assez interressant. Un dieu a besoin d'un shinki pour se battre mais le seul que yatoavait était Tomo et elle a demissionné car elle en avait marre de lui. Du coup il en cherche un. Partout il y a des petit monstres bizarres , on appelle ca des ayakashi . C'est eux qui perturbent l'environnement des personnes harcelées.



J'ai beaucoup aimé l'histoire ,et les graphismes sont super .heureusement que j'avais 3 tomes d'un coup sinon attendre m'aurait fait mourir . je vous conseillerais de lire ,c'est un chouette livre .

Dans ce tome là, on en apprends un peu plus sur la relation qui existe entre un shinki et son maître.

On apprends que Yukine qui sous ses airs d'enfants sage se révèle être un ado qui n'hésite pas à profiter du fait que les humains se ne rendent pas compte de sa présence pour voler.

Il profite ainsi de Hyori qui tente de l'aider.

Yato lui fais astucieusement comprendre que s'il ne remets sur le droit chemin, cela pourrait lui coûter la vie.

On en apprends aussi plus sur Yato qui n'est peut être aussi gentil qu'il veut bien le laisser paraître.

Bref, un bon tome et il me tarde d'avoir la suite!

Un dieu sans temple se met au service des personnes qui ont besoin de son aide.

Au menu de ce shonen, humour, sujets sérieux, amitiés naissantes et monstres fantastiques à vaincre.



Un joli potentiel pour ce manga aux dessins soignés.

Cette dernière ligne droite avant la fin de Noragami nous laisse tout juste le temps de souffler ! Les batailles s'enchaînent, mais j'apprécie assez bien la façon dont les combats sont plus personnels et qu'il n'y a pas (encore ?) ce côté grosse guerre généralisée. En fin de compte, de bien des points de vue, on est sur une histoire de règlements familiaux, de conflit père et fils, de loyauté et d'affection. C'est une bataille à celui qui prouvera la profondeur et la sincérité de son affection et pas seulement un conflit de pouvoir. Il y a de réelles tensions entre protagonistes et antagonistes du point de vue émotionnel. Ca rajoute pas mal de profondeur à cette guerre entre dieux, à mes yeux. Les "clans" sont poreux, les personnages défendent leurs intérêts comme ceux de leurs proches… En fin de compte, beaucoup de destinées se mêlent sans qu'on sache réellement si et comment elles vont prendre parti. La relation complexe entre Yato et Yukine me fait une peine pas possible et j'apprécie que les mangakas ne prennent pas de pincettes pour écrire les reproches qu'ils se font. Ça continue de confirmer que, pour moi, Noragami s'appuie sur un socle classique des shônen d'action fantastique, tout en ayant cet attrait pour les dynamiques relationnelles complexes.

On sent l'arc final qui s'entame avec toujours plus de combats et d'affrontements entre personnages. Ce que j'aime avec Noragami, c'est qu'on a affaire avec des personnages qui ont vraiment évolué et changé, pas forcément dans la direction qu'on attendait. Certains stagnent un peu plus (pour intervenir dans un éventuel combat final ?), ce qui donne peut-être une impression de passivité forcée qui n'est pas forcément cohérente avec le caractère de la personne. J'ai ressenti une petite redondance sur les sujets évoqués, mais j'espère que les derniers tomes sauront bien jouer sur la tension et les dénouements pour maintenir le cap sans s'essouffler ou aller trop vite.

"Noragami" est l'un de mes manga préférés, avec un dessin magnifique, une histoire captivante et des personnages attachants et peu orthodoxes.



Dans cette histoire, l'âme des défunts peut prendre la forme d'un objet, que l'on appellera alors "Shinki", s'ils sont prit en charge et nommés par un dieu et on va se le dire, des dieux, dans la culture nippone, il y a beaucoup! Certains sont très populaires, comme le dieu de la guerre Bishamonten, le dieu de la connaissance ou le dieu des affaires. Un dieu connu et célébré peut ainsi vivre éternellement et se réincarner s'il est tué. Pour Yato, notre protagoniste, simple dieu très secondaire, c'est loin d'être le cas.



Pauvre, peu connu, simplement vêtu d'un survêtement sport et d'un foulard blanc autours du cou, davantage prédisposé à manier des armes, il tente de se faire une réputation en acceptant les basses besognes contre un salaire dérisoire. Même ses shinkis désespèrent de mener une mort agréable et le supplie d'être relâchés. Les rêves de gloire et de richesses de Yato sont donc bien loin d'être réalistes. Les choses vont être cependant appelées à changer: Une humaine, Hiyori, tente de lui sauver la vie lorsqu'il passe à un cheveu d'être heurté par un autobus. Pas de chance pour elle, puisque Yato ne serait pas mort de toute façon. La jeune japonaise de retrouve "entre deux", entre les vivants et les ayakashis, formes d'âmes corrompues que chassent les Dieux. Sous sa forme astrale, elle est dotée d'une sorte de queue et peu sauter de hautes distances, en plus de pouvoir prendre contact avec les Dieux physiquement. L'ennui, c'est que si elle est en forme astrale, son "soi" physique dors et qu'éventuellement, si sa queue, son "cordon de vie", est tranché, elle passera du côté des ayakashis pour de bon. Face à cette situation, elle engage Yato pour régler son cas. Mais Yato aussi a un problème: il ne possède plus de Shinki. Plus de shinki, plus d'arme pour pouvoir enrayer les ayakashis. Yato et Hiyori se lance donc à la recherche d'une âme non-corrompue pour en faire un shinki. Lorsqu'ils en trouvent une, Yato est en pleine poursuite contre un ayakashi et n'a donc pas trop le choix. Il donne une nom à l'âme, "Yuki" et celle-ci prend alors la forme d'une lame blanche immaculée sans garde ni pommeau. C'est ainsi que Yato se voit faire équipe avec son nouveau shinki, Yukine, un adolescent blond aux yeux ambres qui à priori, n'a pas l'air très heureux de faire équipe avec un Dieu minable...



Yato est un personnage fort attachant, parfois malhabile et pas très mature , mais d'autres fois empathique et très adroit, surtout avec Yukine comme arme. On sens qu'il a un certain talent pour le combat. Dans cet opus, on ne sait pas encore d'où il vient ni pourquoi il semble si doué pour détruire, mais avec une entrée en la matière aussi entrainante, on devine qu'il y aura de l'action. J'aime aussi Hiyori, peut être pas toujours logique, mais pleine de bonnes intentions et déterminée. C'est également un bon manga pour se familiariser avec les divinités du japon.



Bref, une vraie petite pépite d'or.

C'est un manga qui parle d'un Dieu qui est un loser. Il va rencontrer une fille qui va essayée de le sauvée à plusieurs reprise alors qu'il est immortel. Elle se nomme Hiyori et elle va le suivre partout dans ses aventures.

Un début plutôt pas mal!

Je l'ai acheté par curiosité et je ne suis pas déçu!

J'aime l'idée qu'un dieu cherche désespérément un sanctuaire et qu'il soit parmi nous sans que l'on s'en aperçoive.

Les personnages de Hyori et Yato vont être très intéressants et avec l'apparition de Yukine à la fin du tome, ça promet!

Une fois le premier cycle passé, on a presque l'impression de n'avoir lu qu'une introduction tellement les bases instaurées peuvent mener dans un nombre incalculable de directions. Alive est un shonen à la frontière du seinen, dont on n'entend pas suffisamment parler. C'est un titre qui mériterait d'être beaucoup plus populaire qu'il ne l'est.
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Taisuke Kano a perdu ses parents quand il était petit. Depuis il vit avec sa sœur ainée qui travaille en tant qu'infirmière dans le lycée qu’il fréquente. Il protège son copain Hirose qui est toujours la victime de rackets. Megumi, sa meilleure amie se dispute souvent avec lui. Le temps de présenter les personnages, le drame commence déjà. Une vague de suicides frappe la planète entière. Le plus curieux est les suicidés ont le sourire aux lèvres.

Un nouveau manga avec le thème de la mort mise en avant. La trame du manga est intéressante, même si de part le thème, c'est assez macabre. Mais les auteurs arrivent à contrebalancer ce morbide par un humour... assez décalé. Je ne suis pas spécialement emballée par les dessins, j'ai trouvé qu'on passait trop vite d'un dessin sérieux à un comique.

A la fin de ce premier tome, j'ai eu envie d’en savoir plus, pourquoi ces suicides ? Qui sont ces gens avec un pouvoir ? Le scénariste a trouvé un bon cliffhanger pour les lecteurs qui commencent cette série.

Oui, je veux connaitre la suite...

A noter, quelques yonkomas à la fin du tome (dessin-manga en 4 cases à tendance humoristique) que j'ai trouvé gentillettes...

Noragami est un manga disjoncté avec une histoire plutôt farfelue.

La vie et la mort se côtoient beaucoup mais, très dangereusement et c'est cela qui rend l'histoire originale. On s'intègre assez vite dans ce monde, où l'action est parfois bien présente.

Noragami a été pour ma part une lecture très sympathique et rapide.

On a des personnages très bien approfondis par l'auteur.

D'ailleurs tous ces petits détails donnent du dynamisme à cette série.

L'auteur a su parfaitement réaliser des dessins soignés avec des traits fins.

Le petit bémol de ce premier tome se porte sur le déjà-vu dû à son thème qui touche le harcèlement à l'école, même si le chapitre a été excellent.

Je commence à saturer un peu, car en ce moment chaque manga que je pioche parle de ce genre de problème et cela en devient lassant.

Après comme je l'ai expliqué, l'auteur a parfaitement respecté le sujet et a su l'exploiter avec une part d'originalité et on lui pardonne assez rapidement pour le côté déjà vu.

Ce qui m'a le plus touchée par cette lecture a été l'humour des personnages et les tournures de certains textes ou de situations.

On retrouve enfin une saga où l'auteur arrive à gérer chaque partie de son manga sans en sur jouer.



En conclusion : Noragami est un manga où on n'a pas le temps de s'ennuyer qui est très drôle et qui a aussi des moments plutôt sombres.

Ce titre a un énorme potentiel puisqu'il possède un scénario qui tient la route.

Après ce manga n'est pas non plus la révélation du siècle mais, on arrive quand même à être submergé par l'histoire.

D'ailleurs j'ai trouvé que cette saga à un air du manga Blue Exorcist et de la série Parasite.
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Un tome éprouvant.

On apprend des choses, on suit la découverte de certains personnages et l'évolution de Yato. Des évènements de son passé sont révélés.



En bref, un tome plus qu'intéressant. J'attends la suite avec impatience.

un tome pas mal mais qui m'a semblé plus court que d'habitude. On termine sur un suspens bien frustrant qui nous donne envie d'être déjà au mois de juin, date de sorite du tome suivant.

Dans ce tome, on n'apprend pas grand chose en plus. L'histoire se centre sur un combat extrêmement bien dessiner et qui vous met les nerfs à fleur de peau.

En somme, un tome un peu décevant par rapport aux précédents mais pas mal quand même

Beaucoup d’action, une grande maitrise du trait, mais également un contexte riche sont toujours les ingrédients clefs de cette série qui marche.
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Titre : Noragami tome 2



Auteur : Adachitoka



Prix : 7,20€



Genre : Shonen



Edition : Pika



Résumé du tome 2



Alors que Yukine ne se plait pas beaucoup d’être au service de Yato, celui-ci va se faire héberger chez Hiyori. Mais c’est alors que Yato se retrouve nez à nez avec Sugawara no Michizane, qui est lui aussi un Dieu. Celui-ci va lui prêter une shiniki pour réaliser des taches à son nom. Cette shiniki est en plus l’ancienne shiniki de Yato. Yato va essayer d’accomplir ses taches mais une ancienne ennemie va se dresser contre lui et va le prendre en chasse… Qui est cette nouvelle ennemie ? Vous le découvrirez en lisant ce 2ème tome.



J’ai préféré ce tome deux au premier tome. On y trouve plus de précision sur les personnages et sur l’histoire. On a aussi le droit à plus d’action se qui aide le lecteur à accrocher à l’histoire. Je pense attendre encore un peu et lire la suite pour pouvoir vraiment faire un avis soit positif soit négatif sur ce manga.



Ma note : 14,80/20 Si vous avez aimez le premier tome je vous conseille fortement ce deuxième tome, sans ça si vous n’avez pas accroché je pense qu’il faudra attendre encore que l’histoire ce développe plus.

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