Nationalité : France
Né(e) : 1992
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Né(e) : 1992
Biographie :
Née en 1992 près de la mer, Ada Vivalda a une passion pour la fantasy, le thé et les cottages. C'est donc tout naturellement qu'elle a écrit "Porcelaine sous les ruines" une tasse à la main, en écoutant la pluie tomber contre sa fenêtre, face aux paysages envoûtants de l'Irlande.
Dans ses romans, elle aime revisiter de grandes figures de l'imaginaire collectif (génies, sorcières, pirates...) et camper des atmosphères magiques tout en nuances d'ombre et de lumière.
Sous son autre nom de plume, Chris Vuklisevic, elle a publié "Derniers jours d'un monde oublié" (Folio SF, prix Elbakin.net 2021) et "Du thé pour les fantômes" (Denoël), en cours de traduction dans sept pays.
Née en 1992 près de la mer, Ada Vivalda a une passion pour la fantasy, le thé et les cottages. C'est donc tout naturellement qu'elle a écrit "Porcelaine sous les ruines" une tasse à la main, en écoutant la pluie tomber contre sa fenêtre, face aux paysages envoûtants de l'Irlande.
Dans ses romans, elle aime revisiter de grandes figures de l'imaginaire collectif (génies, sorcières, pirates...) et camper des atmosphères magiques tout en nuances d'ombre et de lumière.
Sous son autre nom de plume, Chris Vuklisevic, elle a publié "Derniers jours d'un monde oublié" (Folio SF, prix Elbakin.net 2021) et "Du thé pour les fantômes" (Denoël), en cours de traduction dans sept pays.
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Citations et extraits (40)
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Malgré cela, Alba avait tenu à accompagner la dernière baleine blanche, lorsqu'elle s'était éteinte trois siècles plus tôt. Le dernier ours polaire, aussi. La dernière chouette effraie...Elle avait passé avec eux leurs derniers moments dans ce monde, et traversé plus d'extinctions qu'elle pouvait en compter.
Cela déchirait son âme. À chaque fois.
( page 17)
Cela déchirait son âme. À chaque fois.
( page 17)
Lorsqu'un corps a été maltraité de toutes la manières possibles, l'esprit qu'il contient apprend à se construire une armure invulnérable.
Tu es l'être le plus exaspérant que j'aie jamais connu, et le seul véritable ami que j'aie eu sur la Terre.
Je sais que tu t'apprêtes à retourner auprès des tiens.
Mon cœur se réjouit pour toi et ton départ me brise l'âme.
Je passerai le reste de mon éternité à te regretter.
Ne pourrais-je pas être pour toi une raison suffisante de rester?
Je sais que tu t'apprêtes à retourner auprès des tiens.
Mon cœur se réjouit pour toi et ton départ me brise l'âme.
Je passerai le reste de mon éternité à te regretter.
Ne pourrais-je pas être pour toi une raison suffisante de rester?
Cela lui rappelait chaque matin un principe de base : tout sur Terre finirait ainsi. Dans le silence et l'abandon. Il était donc inutile de trop s'attacher.
Les camarades que j'ai eus
Se désolent de mon départ
Et les amours que j'ai connus
Auraient aimé un jour de plus
Mais puisqu'il est de mon devoir
D'aller où on ne peut me suivre
Je pars et souhaite à ceux qui vivent
Bonne nuit et la joie pour tous
Servez-moi donc un verre d'adieu
Et rassemblez-vous dans le soir
Et levez-vous pour me souhaiter
Bonne nuit
Et la joie pour tous
Se désolent de mon départ
Et les amours que j'ai connus
Auraient aimé un jour de plus
Mais puisqu'il est de mon devoir
D'aller où on ne peut me suivre
Je pars et souhaite à ceux qui vivent
Bonne nuit et la joie pour tous
Servez-moi donc un verre d'adieu
Et rassemblez-vous dans le soir
Et levez-vous pour me souhaiter
Bonne nuit
Et la joie pour tous
Bâtir son bonheur sur quelqu'un d'autre, c'est ouvrir la bergerie de son coeur aux loups de la déception
Fergus
Fergus
"[...] Rappelle-toi ce que dit Fergus : bâtir son bonheur sur quelqu'un d'autre, c'est ouvrir la bergerie de son coeur aux loups de la déception."
Elle chérissait ces moments de paix et de sérénité, immergée dans d'autres vies, dans d'autres combats, dans d'autres amours et d'autres déchirements. Les mots l'émouvaient et la ravissaient. Ils lui faisaient oublier, un peu, l'angoisse qui la tenaillait du réveil au coucher.
Vous rencontrer fut une souffrance, vous connaître presque un plaisir.
Vous rencontrer fut une souffrance, vous connaître presque un plaisir.
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