Des lendemains qui chantent

Encore une fois, influencée par nombre de louanges j'avais eu envie de découvrir ce roman mais, j'abandonne cette lecture à la page 194 car il n'est pas pour moi.

L'histoire de ce ténor, Elio Leone, m'indiffère et je pense qu'il faut être passionné d'opéra pour s'y intéresser, ce qui n'est pas mon cas.

C'est long malgré les allers-retours dans le temps, il y a sûrement un important travail de documentation liée à l'histoire italienne mais également à la musique mais l'histoire en elle-même n'est pas captivante peut-être en partie dûe au style....

D'autres ont aimé.... Tant mieux.

Pas pour moi !

Commençons par parler de l'écriture : simple :
Sujet + verbe + 1 complément point.

En tant que maîtresse, j'aurai mis une bonne note car c'est ce que l'on demande à nos élèves pour ne pas faire de trop longues phrases.
Mais voilà, je ne corrige pas mon élève et cette auteure est en lice pour le prix poche Relay Kit kat (c'est dans ce cadre qu'il est tombé dans mes mains ! Ouf, le kit kat en lisant m'a redonné le moral)

alors… le style de l'écriture : j'ai tant souffert. Je n'y arrive vraiment pas et il ne se passe rien pendant les 50 premières pages. Je n'ai pas du tout accroché et je ne partage pas les avis élogieux.

L'histoire est parfois incohérente. Il faut être expert musical ou plutôt avoir un minimum de sensibilité pour tout ce qui est en rapport avec l'opéra, la musique et tutti quanti. Je passe à côté aussi à cause de cela, je n'ai (malheureusement ?) pas la fibre musicale.