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EAN : 9782824619415
320 pages
City Editions (03/11/2021)
4.19/5   45 notes
Résumé :
Lorsqu'il arrive au camp de concentration de Dachau en janvier 1945, Isaac est séparé des autres prisonniers.
En tant qu'horloger, il peut en effet être utile aux nazis.
Il est installé dans la maison de l'officier supérieur Becher, où vit également Anna, qui a été recrutée pour laver le linge et faire le service.
Peu à peu, les deux déportés se rapprochent.

Un roman inspiré d'une histoire vraie.

©Electre 2021
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Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
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Roman très émouvant. Dans le camp de concentration de Dachau, on suit deux protagonistes, Isaac et Anna, qui vont se retrouver à travailler dans la maison du responsable du camp. Ils vont peu à peu se lier d'amitié avec leur fils d'une dizaine d'années Friedrich. Bien sûr rien ne nous sera épargné de la vie dans les camps. Mais c'est surtout une histoire qui vise à redonner de l'espoir, une réflexion sur le sens de la vie, sur l'amour. Longtemps encore, je crois, la Shoah sera exploitée dans la littérature ou le cinéma, longtemps encore, cette abomination suivra l'humanité. Sans toutefois empêcher d'autres horreurs, qui se produisent encore un peu partout dans le monde, sous différents aspects. Il s'agit toujours d'humanité bafouée.
C'est un roman qui se lit facilement dans un style rythmé. On s'accroche aux personnages et à l'intrigue. Et la description de la vie dans les camps nazi, bien que connue, reste toujours aussi bouleversante.
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Friedrich Becher, 11 ans, quitte l'école où il était interne et son meilleur ami pour rejoindre ses parents qui très occupés, n'ont pas de temps à lui consacrer. Son père est en effet directeur du camp de concentration de Dachau. Isaac Schüller, 60 ans, a été déporté car il est juif. Ancien horloger, il va être chargé de la réparation de l'horloge du directeur de Dachau, des montres confisquées aux déportés et de tout ce qui doit être réparé chez les Becher. Ana, jeune fille juive, y travaille en tant que domestique. Elle va lier connaissance avec le vieil Isaac, ils se soutiennent dans les moments difficiles et échangent leurs souvenirs. Isaac devient aussi ami avec Levi, jardinier juif des Becher. Isaac trouve le journal intime d'un ancien détenu qui travaillait chez les Becher avant Levi. Alors que les Américains sont tout près, Isaac lui, ne va pas bien du tout. Les Becher s'apprêtent à fuir en Argentine tandis qu'Anna suit les conseils d'Isaac et la veille de l'évacuation du camp, se cache dans l'espoir d'être trouvée par les Américains.

Je suis une grande lectrice de romans et témoignages sur la Seconde Guerre Mondiale et j'ai été ravie de découvrir ce roman qui se passe à Dachau dans les derniers mois avant l'évacuation du camp.
J'ai été vraiment touchée par cette belle histoire poignante, les 3 personnages principaux m'ont émue dès le départ et je me suis attachée à eux immédiatement pour diverses raisons.
Ce roman se lit très vite tellement on est captivés par l'histoire, et bien que j'ai lu beaucoup de livres sur ce sujet, je n'ai eu aucune lassitude à découvrir celui-ci qui est un peu différent car il s'agit des derniers jours avant la fuite des SS et que nous voyons en partie l'histoire sous les yeux d'un jeune garçon. Celui-ci m'a fait penser au héros du roman le garçon au pyjama rayé par sa naïveté et son innocence.
L'auteur nous fait vivre le quotidien dans le camp de concentration dans tout son réalisme et son horreur avec la faim permanente, les maladies, les morts innombrables, les exécutions, c'est vraiment bien retranscrit. A côté de ça, nous voyons le quotidien d'une famille allemande bourgeoise qui profite de la situation avec beaucoup d'indifférence entre le couple ou avec leur enfant, et d'hypocrisie et de cruauté vis-à-vis de leur personnel.
Certaines scènes sont très touchantes, notamment à la fin du roman. C'est un livre que je relirai avec émotion dans quelque temps. A noter que ce livre est inspiré d'une histoire vraie.
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A force de lire des récits de ce genre, qui nous emmènent en plein coeur des camps de concentration, on pourrait se dire que l'on va se lasser, puisque tous traitent du même sujet. Je suis alors toujours autant étonnée de constater la diversité des récits contés, ou encore la proposition de narration proposés. Cela nous offre à chaque roman lu, une expérience supplémentaire et ces romans arrivent encore à me surprendre.

L'auteure utilise une narration à la troisième personne, une narration judicieusement choisie mais aussi bien maitrisée, qui nous permet alors de découvrir le récit sous différents angles. L'expérience vécue ici, dans le camp de concentration de Dachau cloisonne énormément le récit, on découvre ainsi les personnages dans un espace très fermé qui n'est pas sans rappeler que quoi qu'ils vivent, ils sont et resteront prisonniers. L'action se passe donc au sein du camp de concentration, et de cette maison qui est celle de celui qui gère ce camps. Si les souvenirs et les passés des personnages nous emmènent ailleurs, il y a toutefois toujours cette sensation d'enfermement, puisque même avant d'être prisonniers, ils vivaient tous dans un espace restreint et ce afin de ne pas se faire capturer.

Dans ce roman, nous suivrons donc plusieurs personnages qui nous permettront de connaitre leur histoire, avant, pendant et après les années de guerre. C'est auprès de certains déportés, comme Anna et Isaac qui seront les principaux protagonistes que nous allons cheminer parmi l'histoire de tant d'autres. La découverte d'un journal nous permettra de découvrir l'histoire bouleversante de J.A.L., un homme qui a aussi été déporté à Dachau et qui a trouvé le moyen de laisser une trace de son passage dans des écrits qu'Isaac découvrira. Plus on avance dans le récit, plus on découvre son histoire, pour finir par s'attacher à chaque moment où l'on lit son récit. Anna et Isaac ont alors l'impression de le connaitre et de partager son expérience, similaire en fin de compte à la leur, car tous ont vécu ces moments où leur vie a changé car ils sont de confession juive. Nous même sommes alors très attachés à cet homme et à ce qu'il raconte dans ses écrits, s'adressant à une personne aimée à qui il se raccroche avec passion.

Anna est une jeune femme de vingt-neuf ans, elle va travailler au service des Becher, la famille de l'officier nazi qui dirige le camps. Elle s'épargnera ainsi les travaux forcés sur le camps, jouissant d'une certaine « chance » si l'on peut utiliser ce mot dans ce cas-là. Malgré cela, sa vie n'aura de cesse d'être elle-aussi en danger car les nazis sont imprévisibles dans leurs actions et réactions et sa position de femme n'a jamais été aussi dangereuse. Anna devra donc cotoyer le commandant, sa femme et leur fils, ainsi qu'un autre homme qui travaille et est très proche de la famille. Elle passera ses journées auprès d'une femme aux cuisines de cette famille, une femme qui par bien des actions fera en sorte de protéger tous ceux qui passent dans cette maison. C'est un personnage qui sera précieux à découvrir et que l'on apprécie d'emblée pour toutes ses actions et sa présence. C'est ainsi qu'Anna fera la connaissance d'Isaac, un autre déporté juif.

Isaac est un homme plus âgé qu'Anna, il a la soixantaine. Il est fils d'horloger et c'est ainsi qu'il a vécu, autour de ce métier. C'est d'ailleurs grâce à cela qu'il sera amené à travailler pour l'officier Becher, en réparant d'abord une horloge, puis des montres et tout ce qui est mécaniquement réparable. A travers ses réparations, il rencontrera Anna, cette jeune femme qui illuminera ces instants qu'il passera dans cette petite cabane froide et austère, parmi ces gens de pouvoir dangereux. En réparant toute sorte de choses, il réparera un train, celui de l'enfant de la famille, un autre personnage très intéressant à découvrir. Friedrich vient de rejoindre ses parents après avoir vécu en internat loin d'eux, cette maison, il ne la connaissait pas, et il n'a que peu de droit et comme tout enfant, il s'ennuie vite surtout que ses parents font peu cas de lui et n'ont rien d'aimable dans leur façon d'être avec lui. Il n'hésitera donc pas à faire la connaissance de tous ces gens qui travaillent pour ses parents, et c'est à travers son regard innocent que l'on pourra mettre en lumière le contraste marquant dont les juifs sont traités, et réduits au simple rang de bétail. J'ai trouvé alors très intéressant de découvrir son point de vue, celui d'un enfant qui n'a absolument pas conscience de ce qui se joue alors et qui apportera tant de moments précieux à ces gens qui l'entourent.

En accompagnant Anna et Isaac, ainsi que Friedrich et J.A.L. nous faisons la connaissance d'autres personnages qui deviendront pour eux des amis, et qui seront ce qui est le plus proche d'une famille, tant les moments partagés sont marqués par ce qu'ils vivent. On s'attache ainsi à plus d'un personnage, nous demandant qui parmi eux s'en sortira, avec cette peur de ce qu'ils pourraient subir sous le joug de ces nazis. La haine des juifs est mise en parallèle avec la façon dont ils ont tous de se soutenir au mieux. Il y a un contraste marquant entre cette famille qui dirige, ces nazis qui ordonnent et ces déportés juifs qui vivent comme du bétail, et qui perdent de leur identité, n'étant plus traiter en humain, mais comme des animaux. L'auteure aborde alors bien des thématiques liées à la Shoa, mettant en évidence de quelles façons cette haine des juifs se manifeste, nous contant les horreurs que ce peuple a pu vivre, des horreurs qu'encore aujourd'hui, on a du mal à imaginer tellement elles sont atrocement douloureuses et incompréhensibles.

Ce qui s'impose ici, c'est le temps qui passe, l'action dans les camps ne se passe qu'en quelques mois, et c'est un fait très marquant dans tous les récits sur les camps de concentration. En effet, si l'expérience qu'ils vont vivre s'avère très souvent courte, elle est aussi tellement marquante que l'on pourrait croire qu'ils y sont restés des années. Comme quoi, chaque jour est un combat pour rester en vie et que l'on ne sait jamais alors ce qui peut arriver quand on se réveille le matin. Il suffit d'un moment pour que tout change, tant vis à vis de ce à quoi ils seront confrontés, qu'aux découvertes qu'ils feront de telle ou telle chose résultant de leurs conditions de vie, tout comme de la perte d'un proche ou du traitement d'autres par les nazis. J'ai constaté cela à force de lire des romans de ce genre, chaque déporté vit ces moments différemment et sur des durées différentes, mais chacun d'eux les vit avec cette même peur de mourir à chaque instant, ce qui rend le temps passé beaucoup plus lourd qu'il n'y parait.

J'ai trouvé très originale et intéressante la façon dont l'auteure nous présente ses personnages et les liens qui les unissent. Dans ce roman, on y découvre plusieurs destins de personnages différents mais qui pourtant sont unis par cette expérience des camps, même s'ils ne se connaissent pas et ne vivent pas ces moments de la même façon. Même en étant un peu protégés, autant que l'on peut l'être dans cette situation, le danger reste constant et les horreurs vécues marqueront à tout jamais les esprits de toutes ces personnes qui ont vécu dans un camp de concentration. J'ai été saisi par l'ignominie de ces camps, par les réactions de pure joie de ces nazis qui prenaient plaisir à faire le mal, et tout cela est contrasté par la douceur de ces personnages qui tentent au mieux de se fondre dans le paysage pour ne pas se faire remarquer et rester en vie.

C'est un roman avec lequel plus on avance, plus on s'attache à ses personnages. Notre intérêt pour eux monte crescendo, et on finit par tant nous sentir proche d'eux que l'on ne peut absolument pas rester de marbre face à ce qu'ils vivent. J'ai été émotionnellement marquée par ces histoires, qui sont le rappel de la réalité des faits qui se sont produits durant cette guerre. Il est important de ne pas oublier tout ce qu'il s'est passé alors et ce roman nous permet d'évoquer bien des destins.
Lien : http://www.livresavie.com/lh..
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Inspiré d'une incroyable histoire vraie, l'horloger de Dachau est un récit à couper le souffle.

Dans le prologue, on comprend qu'on se plonge dans la mémoire de cette femme pour revivre cette période trouble.

Ça était une lecture émotionnelle, amenée par la construction du récit. L'autrice a su retranscrire cette lueur d'espoir à travers ses différents personnages.
Malgré l'horreur, la maladie, les pertes on arrive à y trouver des moments lumineux, très furtifs mais qui apportent un peu d'espoir.
Cette balance amène de la puissance au roman. Elle contraste avec certains passages plus douloureux. Même si nos personnages sont "un peu privilégiés" (tant que l'on peu l'être en étant prisonniers dans un camp) le danger reste omniprésent. À de nombreuses reprises, j'ai eu peur du destin d'Anna, Nina et les autres.
C'est pourquoi ce livre m'a mise à rude épreuve. J'ai parfois ressenti le besoin de poser ma lecture pour revenir dans la vraie vie, souffler un peu avant de le reprendre.

Une histoire touchante par la sincérité des personnages. Je les ai apprécié tous les trois. L'autrice a pris le temps de leurs donner de la profondeur en travaillant sur différents aspects psychologiques. Comment ne pas avoir d'empathie face à la souffrance qu'ils ont du affronter. Qu'elle fût physique ou morale.

L' alternance des chapitres fluidifie le récit donnant un rythme m et rendant la lecture facile.
L'horloger de Dachau est un rappel essentiel pour ne pas oublier l'histoire de notre passé.

Si les romans de la Seconde Guerre Mondiale vous passionnent alors je vous recommande ce titre, et plus en général @cityeditions qui ont un très beau catalogue sur cette période historique.
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Passionnée des romans sur la Seconde Guerre mondiale, je suis avec avidité les parutions de City Editions. La couverture de ce livre si envoutante et énigmatique captive le regard du premier coup d'oeil. Je suis ravie de voir que la couverture d'origine a été gardé car elle est somptueuse. Malgré les coquilles dès le début de l'histoire, j'ai apprécié ce roman d'après une histoire vraie. On est plongé dans la vie ou plutôt la survie de trois personnes, deux déportés et un le fils du commandant du camp, tous prisonniers que ce soit par le régime concentrationnaire nazi ou par l'idéologie du IIIème Reich.

Cornouailles, 1980.

C'est un jour important pour une ancienne déportée qui savoure sa liberté.

Janvier 1945.

Isaac Schüller, horloger est lui aussi raflé tout comme l'a été tous ses proches avant lui. Il se réveille dans un wagon à bestiaux, direction le camp de Dachau. Ses talents d'horloger lui permettent de travailler pour le commandant Becher qui contrôle le camp. C'est là qu'il rencontre Anna, domestique des Becher.

Tout comme Friedrich, le fils des Becher pour qui Anna a de la tendresse, aucun n'a demandé à se retrouver là, arrachés à leurs foyers. Anna a de la peine pour Friedrich dont les parents le voient comme une corvée lui reprochant et lui interdisant tout, prisonnier dans une cage dorée. le petit garçon ne sait rien de ce qui se passe derrière les murs de son jardin, il ne sait pas que ses parents sont responsables, il est juste un enfant perdu en quête de l'amour de ses parents.

Février 1945.

Isaac répare les biens spoliés des juifs pour Becher qui les utilisent pour ses propres intérêts. Chaque personnage livre ses souvenirs comme un déporté qui a consigné sa survie dans le camp dans un journal intime. Isolés du quotidien du camp, Anna et Isaac ne sont pas les témoins directs des tueries de masse qui s'accélèrent. le vent est enfin en train de tourner pour les nazis qui s'affolent face à l'avancée des Américains. le père de Friedrich et son subalterne brûlent des documents compromettants tandis que Becher parle d'exil en Argentine.

Mars 1945.

Les SS deviennent fous et laissent les déportés mourir de faim, de froid et de maladie. Tout le monde est sur le qui-vive, entre crainte et espoir.

Friedrich est le lien qui uni Anna et Isaac. Bien des années après, Friedrich n'oubliera pas la promesse faite à Isaac. Les souvenirs de cette période, avant son départ précipité en Argentine vont refaire surface et lui permettre de trouver sa place au sein d'une famille chère à son coeur. La fin du IIIème Reich les a séparés, l'histoire d'Isaac et Anna, le sort de leurs familles et une histoire d'amour interdite leur a permis de se trouver.

Avec pour point de vue, le regard d'un enfant allemand sur la guerre, où comment l'amitié avec des déportés va lui faire entrevoir l'horreur du nazisme et des actes de son père.

L'auteur met en avant l'aspect psychologique des personnages et c'est un aspect très intéressant à découvrir.

Le parallèle entre les déportés et la famille du commandant du camp de Dachau est parfaitement retranscrit.

Contrairement à certains, j'ai apprécié la fin de l'histoire qui révèle beaucoup de choses. On pensait savoir qui était derrière l'auteur du journal intime trouvé par Isaac et on s'aperçoit qu'on a tout faux, les révélations sont surprenantes et apportent une fin idéale pour une histoire qui ne laisse pas indifférent.

Un beau roman choral qui apporte un point de vue original et intéressant même si les trop nombreuses coquilles flagrantes tout au long de l'histoire ont terni ma lecture, une révision aurait été la bienvenue.

« L'horloger de Dachau » apporte un regard inédit sur le nazisme et la Seconde Guerre mondiale !
Lien : https://leboudoirdulivre.wor..
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
- Tu crois qu'ils apprécieraient une petite blague sur Hitler ? Tiens, écoute ça : Hitler et Goring sont sur le toit de la tour radio de Berlin. Hitler dit qu'il aimerait bien faire quelque chose pour rendre le sourire aux berlinois. Et Goring lui répond : "Et si vous sautiez ? "
Malgré lui, Isaac ne put réprimer un petit sourire.
- Tu riras un jour, continua Levi.. Un jour, tu verras, je te le promets, tu recommenceras à rire. En attendant, je te tiendrais compagnie et je ferai de mon mieux pour te montrer qu'on peut trouver un peu d'humour ici.
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Ce que je n'arrive pas à comprendre, c'est que le bourdonnement des abeilles, le chant des oiseaux, les couleurs des fleurs, tout ça existe encore. Comment les choses peuvent-elles continuer d'exister comme si rien d'abominable ne se passait autour de nous ?
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Ces derniers mois, vous m'avez, tous les deux, rendu ma famille, vous m'avez aidé à redevenir vivant, même au beau milieu de cet endroit où règne la mort.
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Elle était le positif de mes négatifs, et depuis, elle m'a donné trois autres positifs qui ont tellement illumine ma viequ'aucune expérience negative ne pourra jamais en diminuer la valeur.
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