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Cormoran Strike tome 6 sur 7
EAN : 9782246836667
1008 pages
Grasset (02/05/2024)
  Existe en édition audio
4.27/5   70 notes
Résumé :
Lorsqu’Edie Ledwell entre dans le bureau de la détective Robin Ellacott, elle est dans tous ses états. Cocréatrice d'un dessin animé très populaire nommé Sang d’encre, Edie est harcelée en ligne par un mystérieux personnage, qui se présente sous le pseudonyme d'Anomie, dont elle cherche désespérément à découvrir l'identité.
Robin lui explique que l'agence ne peut rien pour elle, mais quelques jours plus tard, elle apprend une terrible nouvelle : Edie a été ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Depuis le temps que je l'attendais ce tome six de Cormoran Strike ! On peut dire qu'il s'est fait attendre (j'espère que le septième ne tardera pas trop d'ailleurs…). Mais quel régal ! Impossible de lâcher Sang d'encre et ce petit pavé n'a au final pas mis trop longtemps à être lu.

C'était addictif. D'autant plus que le sujet principal de cette sixième enquête touche le cyberharcèlement, et on peut aisément dire que c'est tout à fait d'actualité, et que les conséquences raisonnent d'autant plus à notre époque. Et franchement, voir ces trolls se faire traquer et les victimes obtenir justice, il n'y a pas à dire… c'était jouissif. Parce qu'on sait tous que c'est malheureusement très peu le cas dans la vraie vie.

L'enquête en elle-même montre d'ailleurs très bien les deux aspects du crime. Déjà, les conséquences sur les victimes, qui souvent ne trouvant pas d'aide finissent par se faire du mal, sur les proches également. le fait que l'effet de masse va souvent grossir les rangs des harceleurs, plutôt que celui des défenseurs de la victime. La facilité avec laquelle une rumeur devient vraie, car au final, personne ne cherche vraiment à connaître la vérité. Les astuces assez incroyables misent en place par les trolls. C'est un travail de longue haleine qui se déroule durant le tome, et outre le côté glaçant, on voit combien l'anonymat que procure internet est une arme puissante.

La longueur de l'enquête est aussi un atout. On a du mal à appréhender, je pense, la charge de travail des enquêteurs (toutes professions confondues). Avec le nombre de séries policières et les films du même genre, on a souvent cette impression de vitesse. Ici, dans Sang d'encre, l'enquête dure plusieurs mois et on voit combien les personnages galèrent, les ramifications que peuvent engendrer un indice ou un soupçon, tout le travail minutieux qui doit être fait. Un peu de réalisme que j'ai trouvé intéressant. Ça ne m'avait pas autant frappé dans les autres tomes, je dois dire, mais ici c'était flagrant.

A côté de cela s'ajoute un groupe terroriste prônant la race blanche et la masculinité. Tout un programme… Mais là encore, même si clairement, il y avait de quoi faire grincer des dents, J.K. Rowling arrive à mettre le doigt sur toute la complexité de l'enquête, et surtout les méthodes employées par ces extrémistes. le tout rend le tome assez lourd du point de vue psychologique. Ce n'est pas un défaut, loin de là, mais je pense que le roman n'est clairement pas à mettre entre toutes les mains.

La vie de l'agence se fait aussi un petit bonhomme de chemin. de nouveaux collègues, la dynamique d'associés entre Strike et Robin, la prospérité qui leur permet de souffler mais qui ne tient toujours qu'à un fil. Il y a aussi une grande part de « romance ». Je mets le mot entre guillemets car il n'y a pas de romantisme à proprement parlé, mais la vie amoureuse des deux héros prend pas mal de place (là encore, pas une critique !). J'ai moyennement confiance en J.K. Rowling de ce côté-là… mais les sentiments de Robin et Cormoran sont enfin plus exploités. Je pense que comme beaucoup, j'aimerai qu'il y ait une concrétisation, leur relation pourrait ainsi atteindre un côté fusionnel qui nous titille depuis longtemps, et en même temps, la peur que tout cela fasse exploser leur duo est bien présente. Mais clairement, c'était aussi un élément que j'ai adoré suivre.

Sang d'encre est encore une réussite pour moi. Comme dans les précédents tomes, je regrette qu'on ne nous laisse pas des miettes de pain pour avoir une idée des coupables, mais les explications finales sont cohérentes et répondent à toutes les questions. Pas mal de rebondissements, des pics d'adrénaline, des héros toujours aussi attachants, moi j'en redemande (très rapidement).
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Quel plaisir de découvrir enfin une nouvelle enquête de Robin et Cormoran !
Il faut dire que vu l'épaisseur des romans, plus de 1000 pages pour celui-ci, l'auteure ne les écrit pas en 15 jours.
Malgré un plaisir évident à l'idée de passer à nouveau du temps avec des personnages que j'aime beaucoup, ce sixième volume de la série n'est pas mon préféré.
D'une part parce que le thème du cyber-harcèlement, qui est le sujet principal de ce roman ne m'intéresse pas tant que ça, et aussi parce qu'il a été assez pénible de devoir lire les échanges virtuels très nombreux des participants d'un jeu en ligne pendant des pages et des pages, surtout que dans la version numérique, ces échanges sont beaucoup plus petits que le reste du texte.
Tout commence donc avec la venue d'une femme, Edie Ledwell dans les bureaux de l'agence de Robin et Cormoran, elle déclare être la cocréatrice d'un dessin animé à succès et subir du harcèlement en ligne, elle a même peur pour sa vie.
Robin, qui la reçoit, ne souhaite pas s'occuper de cette affaire et la dirige vers une autre agence, qui gère mieux cette problématique du cyber-harcèlement.
Mais quelques jours plus tard, cette femme est assassinée.
J'ai trouvé que les échanges virtuels étaient très pénibles à lire, car on ne sait pas qui est qui, les participants n'utilisent que des pseudos et leurs propos sont souvent futiles, gratuitement méchants, ou sans grand intérêt.
J'ai aussi été agacée par la relation entre Robin et Cormoran, cela fait déjà 5 ans qu'ils travaillent ensemble, mais leurs sentiments sont toujours aussi confus et on a l'impression d'être face à des ados indécis.
J'ai aimé que Cormoran et Robin s'occupent de plusieurs affaires en même temps, cela apporte de la variété et de la crédibilité à l'histoire.
Malgré le plaisir que j'ai eu à retrouver les personnages principaux, cette histoire m'a semblé un peu longue, car le thème du harcèlement en ligne, des trolls et des propos déformés ne m'a pas vraiment captivé, c'est peut-être une question de génération !
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J'attendais avec beaucoup d'impatience la nouvelle enquête de Robin et Cormoran et un poil de frustration aussi. Je ne suis pas assez aguerrie pour en faire la lecture en langue originale en y trouvant un plaisir plus grand que le malaise diffus face aux étrangetés de la langue de ce bon vieux Will Shakespeare que je ne maîtrise pas assez.
Alors oui, je me suis jetée sur l'ouvrage dès sa parution en librairie, le savourant et salivant d'avance, me préparant mentalement aux glauques délices qu'il allait m'offrir et au plaisir de m'y plonger…

Est-ce que dans mon enthousiasme, je me suis toutefois questionnée sur mon achat eu égard des dernières déclarations fracassantes de J.K. Rowling, alias Robert Galbraith qui signe et persiste dans un avis que je ne partage pas, que je juge néfaste et nauséabond ? Oui.
Pour autant, j'ai acheté le livre…

La problématique concernant l'homme et l'artiste, l'artiste et l'homme… C'est un vaste débat dont nous ne serons jamais débarrassé et qui me préoccupe, surtout quand j'ai envie de lire le roman d'une auteure transphobe et très honnêtement je n'ai pas de réponse… La mienne consiste à me dire que si je cessais de lire/voir toutes les oeuvres commises par des artistes ayant des idées … douteuse, je me priverai de tout : Rowling mais aussi Voltaire (qui n'était pas contre l'esclavage), Dumas (qui n'encourage pas à bien traiter les femmes), Céline (collaborationniste) et je n'en ai pas envie. Par ailleurs, je me crois assez intelligente pour justement distinguer l'être de l'artiste en ce que je suis capable d'aimer une oeuvre pour ce qu'elle est, pour sa valeur intrinsèque tout en étant capable de condamner fermement les idées de l'humain caché derrière… Il me semble même que c'est donner trop de crédit aux ****** que de les effacer. Cela fait parler d'eux. Enfin, je suis opposée à tout effacement, toute censure… La limite que je me suis fixée est cependant la suivante : si, concernant les auteurs contemporains (parce que pour les autres je trouve toujours compliqué de les juger à l'aune d'une époque qui n'était pas la leur mais c'est un autre débat!), leurs textes se mettent eux aussi à défendre les thèses problématiques (nauséabondes), là, j'arrête tout. Je n'ai pas la prétention d'avoir adopté une attitude exemplaire face à ce questionnement mais c'est la mienne et si je me sens (un peu) obligée de me « justifier » c'est parce que, sachant que j'allais lire le dernier ouvrage de Galbraith/Rowling, deux ou trois personnes de mon entourage m'en ont fait de très verts reproches… Et ça m'a donné du grain à moudre…
Quoiqu'il en soit, en conclusion comme en préambule « Sang d'Encre » est dénué de propos transphobes, qu'on se le dise.

Et ce sixième opus des enquêtes de Strike et Ellacott est tout aussi magistral et brillant que les deux précédents (« Blanc Mortel » avait, pour moi, marqué un tournant dans la série qui dès lors est devenue plus sombre, plus tourmentée, plus profonde et complexe!) et je l'ai dévoré sans autre forme de procès.

Eddie Ledwell est, avec son ex-compagnon Josh, la créatrice d'un dessin animé qui cartonne sur Youtube, que les jeunes (et les moins jeunes) dévorent. Pourtant, rien ne prédestinait « Sang d'Encre » à devenir un tel succès. Gothique, cynique, il met en scène un ou deux fantômes et surtout le coeur sorti tout palpitant de la poitrine d'un défunt. On doit bien y trouver quelques squelettes aussi. Ce joyeux petit monde morbide évolue par ailleurs au sein du cimetière de Highgate, derrière de grandes grilles en fer forgé et sous, sans doute, des nappes de brumes. On est à Londres après tout. La renommée de ce « Coeur d'encre » que ne renierait sans doute pas le Tim Burton des « Noces funèbres » est telle que des fans ont fini par créer un jeu en ligne qui s'en inspire. Chaque jour, chaque nuit des admirateurs par centaines se retrouvent là, cachés derrières des pseudonymes. C'est là que le bât blesse, c'est là ce qui pousse la co-créatrice du dessin animé à pousser la porte de l'agence de Robin et Cormoran. En effet, un mystérieux personnage, acteur du jeu et de twitter, la harcèle en ligne et ce , de plus en plus violemment. Eddie cherche désespéramment à découvrir qui se cache derrière « Anomie » mais en vain et la fragile artiste est bien désappointée quand Robin lui explique que la cybercriminalité n'est pas du ressort de l'agence…
L'histoire aurait pu s'achever ici mais quelques jours plus tard, nos détectives apprennent que la créatrice a été assassinée… à Highgate, sur le théâtre devenu sanglant de « Sang d'Encre ».
Commence alors pour Cormoran et son associée une enquête vertigineuse et en eaux très troubles, à la recherche de la véritable identité d'Anomie et – peut-être – du meurtrier d'Eddie Ledwell.

L'enquête ne promettait pas d'être simple mais elle ne promettait pas d'être aussi complexe. Pour en venir à bout, notre duo va devoir non seulement affronter le monde de la création, la famille de la victime qui semble avoir deux ou trois petites choses à cacher mais aussi le monde aussi cruel qu'impitoyable d'internet, des réseaux sociaux et du Dark Web où s'immiscent parfois le pire du harcèlement et des groupuscules terrifiants (vous savez, du genre de ceux qui ont défilé à Paris il y a quelques jours et en toute impunité…).

Ce que j'aime avec «Les Enquêtes de Cormoran Strike» ce sont, outre les thématiques abordées, c'est leur profondeur et leur noirceur. Robert Galbraith me donne à chaque fois l'impression de plonger au plus sombre de l'âme humaine et il en ressort toujours des intrigues certes violentes et qui flirtent avec le glauque mais pessimistes et au-delà de ça, qui auscultent à merveille la société et l'âme humaine. J'aime aussi les atmosphères convoquées : on passe de la tension, du frisson voir de la terreur (et ça, j'adore) à des moments extrêmement chaleureux en un tour de page. Il faut dire que l'enquête principale est toujours heureusement émaillée des moments de vie des personnages : leurs enquêtes annexes, leurs préoccupations sentimentales. Ce n'est jamais joyeux mais ce sont des pauses qui permettent de souffler et elles sont suffisamment bien écrites pour faire contrepoids au glauque, à la noirceur de l'intrigue principale…
Et puis l'enquête en elle-même est très, très prenante (j'en ai sacrifié une nuit!). Naturellement, j'ai mené mon enquête, naturellement je me suis faite avoir. Tant mieux !

Au rang de mes légers regrets, je me permettrai toutefois de déplorer une fin un peu trop rondement menée. J'aurais voulu en savoir un peu plus, une confession peut-être… Et, mais cela concerne la mise en page plus que l'écriture, un inconfort certain lors de la lecture de certaines conversations via le jeu. Bien peu de choses en somme.
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Quand je me suis offert ce pavé le jour de sa sortie il y a presque 6 mois, j'ai fait une story disant "Rdv en 2023". Sur le moment, c'était une blague. Bon...

J'ai donc commencé ce roman en septembre puis je l'ai un peu laissé de côté et quand je l'ai repris, j'avais tout oublié.
Le second départ aura été le bon et armée de mes post-it, blocs-notes et autres organigrammes, j'ai passé une des lectures les plus excitantes de ce début d'année.

Il faut dire que le duo Cormoran Strike/Robin Ellacott fonctionne toujours aussi bien, Robin est même plutôt sympathique dans ce tome, maintenant qu'elle verse un peu moins dans l'auto-apitoiement.

The Ink Black Heart est un dessin animé diffusé sur YouTube, qui rencontre un succès inattendu. Un jeu en ligne en est même tiré mais très vite, les relations entre le créateur du jeu (anonyme, bienvenue dans le monde merveilleux d'Internet) et la créatrice du dessin animé s'enveniment.
Lorsque celle-ci est poignardée dans un cimetière après des mois de cyber-harcèlement, les soupçons tournent vite autour du jeu en ligne.
L'enquête est passionnante, les suspects sont légion et les connexions entre eux nombreuses et travaillées. Autant vous dire que mes petits neurones ont chauffé. Autant vous dire aussi qu'ils ont chauffé en vain, je ne suis arrivée à rien 🤷🏻‍♀️

L'autre aspect intéressant de cette enquête est qu'elle tourne autour du cyber-harcèlement d'une femme qui a créé une oeuvre culturelle à fort retentissement. Si ça vous rappelle quelque chose, j'imagine que ce n'est pas pure coïncidence.
Les extraits Twitter sont édifiants de haine gratuite et de mauvaise foi.

Et en attendant le prochain tome (d'ici deux ans j'imagine), je vais donc me rabattre sur la série de la BBC, que je vous conseille très chaleureusement.
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Nombreux sont les lecteurs et lectrices qui se sont détournés des oeuvres de J.K. Rowling suite aux propos jugés transphobes qu'elle a pu énoncer sur la plateforme twitter. Sang d'encre met en scène une héroïne vivement critiqué sur ce même réseau de transphobie et qui se finalement assassinée dans un cimetière. L'auteur se défend d'avoir terminé l'écriture de son ouvrage (1er jet) avant la polémique de 2020 pour une publication en 2022.

La position de J.K. Rowling est très claire : « Une femme trans n'est pas une femme (biologique) ». En ce qui me concerne, si une personne possédant des couilles se considère comme étant une femme, il s'agira d'une femme à mes yeux. Je m'oppose donc totalement aux propos de l'auteure qui, en 2024, catégorise les individus à la manière des plus grands connards que l'humanité a connu.

Mais cela m'interdit-il de lire et d'apprécier une fiction écrite par cette personne aux opinions détestables ? Absolument pas. Tout simplement parce que je ne suis pas tombé dans ce piège de placer J.K. Rowling dans une catégorie bien précise qui ferait de moi un être humain tout aussi détestable qu'elle.

Dans ce sixième volet des aventures de Cormoran Strike, on s'engage à lire plus de 1000 pages sans que l'on ne ressente la moindre lassitude en cours de lecture. Malgré le nombre impressionnant de pages de description, ces dernières conviennent parfaitement aux personnages principaux. Robin et Cormoran sont détectives privés et le lecteur aurait été passablement déçu d'avoir affaire à des enquêtes menées trop rapidement à la méthode des auteurs français des romans policiers.

A mon plus grand étonnement, je ne suis pas parvenu, pas un seul instant, à déterminer qui était le « coupable » de l'intrigue principale. Effectivement, j'ai porté de nombreux soupçons sur de nombreux personnages sans jamais suspecter le véritable assassin, pourtant bien présent dans le récit. Sans en arriver à m'angoisser, le lecteur ne peut pas passer à côté d'un stress inexplicable au fur et à mesure de la lecture où l'on ressent que le dénouement final approche, que la révélation tant attendue est à portée de main mais pourtant inaccessible.

La relation entre Cormoran Strike et Robin Ellacott vient agrémenter les différentes enquêtes d'une romance dont les lecteurs n'ont pas forcément besoin. Il serait mensonger d'affirmer que je souhaite pas voir les deux personnages ensemble, mais est-il pour autant nécessaire que Robert Galbraith (une femme…) tire depuis six ouvrages et une dizaine d'années sur cette intrigue secondaire ?

Dans l'édition numérique, Grasset a décidé de proposer les dialogues ayant lieu sur le chat du jeu vidéo central du roman sous deux formes différentes en informant les lecteurs, dès les premières pages, que ce choix avait été réalisé pour deux raisons. La première n'est autre que leur incompétence à mettre en page correctement de tels passages dans une édition numérique. La deuxièmeafin de rallonger inutilement le nombre de pages, peut-être afin de justifier le prix ?

La ME française a également fait le choix d'indiquer le nom se cachant derrière le pseudonyme de Robert Galbraith. Un peu dommage d'afficher aussi ouvertement sa volonté de faire de l'argent grâce à Harry Potter. L'édition française est la seule traduction au monde qui affiche le véritable nom de l'auteure sur la couverture des romans de la série. Rajoutons à cela un prix de 18,99€ pour l'édition numérique qui confirme cette volonté d'engendrer un maximum d'argent… On en parle des 27€ de l'édition brochée au papier transparent et de mauvaise qualité ?
Lien : https://leparfumdesmots.blog..
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
- Je suis comme ça, un vrai con.
- Je pense pas que ce soit un crime, répliqua Strike.
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https://www.audiolib.fr/livre/sang-trouble-9791035406424/
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