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sur 450 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Voilà maintenant six mois que Stéphanie Plum est au chômage et ne trouve que des petits jobs par intérim. Financièrement, elle peine à joindre les deux bouts, son frigo est vide, quelques meubles ont été mis en gage et sa voiture vient juste d'être réquisitionnée au vu des traites impayées. Une situation qu'elle a bien cachée à ses parents. Aussi, lorsqu'ils apprennent cela lors d'un déjeuner dominical, ils l'orientent aussitôt vers son cousin Vinnie qui cherche quelqu'un pour faire du classement. Qu'à cela ne tienne, même si ça la branche pas plus que ça, elle pousse la porte de son agence de cautionnement judiciaire. Mais, évidemment, retrouver des fugitifs est bien plus intéressant que de trier des papiers. Aussi, à force de persuasion et d'un peu de chantage, se retrouve-t-elle chasseuse de prime. Première proie : Joe Morelli, une ancienne et proche connaissance. Aujourd'hui flic, il est accusé d'avoir tiré sur un homme désarmé, un certain Ziggy Kulesza, et est inculpé de meurtre. 10000$ à se faire pour Stéphanie, un jeu d'enfant, pense-t-elle...

Cette première aventure de Stéphanie Plum, chasseuse de prime, est une bonne surprise ! L'on fait ici connaissance avec Stéphanie Plum, jeune trentenaire célibataire qui, faute de boulot et de compte en banque bien rempli, va endosser le costume de chasseuse de prime pour son cousin, Vinnie. Mais l'affaire se corse bien vite. D'une, il lui faut pourchasser (pas bien loin d'ailleurs) Joe Morelli, accusé d'homicide. de deux, l'affaire semble bien plus compliquée qu'elle n'y parait. de trois, un certain Ramirez, boxeur de profession, lui cherche des noises (et bien plus encore !). Son tout nouveau boulot, elle va l'apprendre sur le terrain, notamment grâce à Ricardo Carlos Mañoso, alias Ranger, un ancien des Forces Spéciales. Ce premier tome se révèle punchy, drôle et mouvementé et bien ficelé. La galerie de personnages vaut également le détour. Qu'il s'agisse de Stéphanie, personnage pétillant, spontané et qui n'a pas sa langue dans sa poche, Joe Morelli, faux méchant charmeur ou encore la non moins pétillante mamie Mazur.
Une première aventure plaisante qui augure de futures belles prochaines lectures...
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Ayant perdu son emploi de vendeuse en lingerie fine, Stéphanie Plum, n'a d'autre choix que de devenir chasseuse de prime pour renflouer son compte et son réfrigérateur. Et c'est sur un gros dossier qu'elle démarre cette nouvelle activité : Morelli, un flic soupçonné de meurtre et en cavale. Oui, mais voilà, ce Morelli elle le connait depuis sa tendre jeunesse et tout ne s'est pas passé correctement entre eux. Aussi Stéphanie est prête à tout pour le retrouver et surtout pour toucher la prime de 10 000 dollars qui calmerait bien des angoisses comptables. Seulement, on ne s'improvise pas chasseuse de prime du jour au lendemain et bien des déconvenues et autres agressions semblent devenir son quotidien. Mais ce qui trouble le plus Stephanie Plum, c'est que son salut pour sortir de ces embrouilles, elle le doit très souvent à Morelli, devenu comme qui dirait son ange gardien…

Voilà un polar très sympa à lire, avec une héroïne un peu cinglée, irresponsable mais hargneuse. Une héroïne attachante, spontanée et bien décidée à arriver au bout de ses peines. Une écriture simple mais efficace, pleine d'humour, qui rend la lecture joyeuse et addictive.
Et puis, cerise sur le gâteau, d'autres titres avec la même héroïne sont sortis. Alors pour changer des polars durs et féroces, ya plus qu'à !
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Quel plaisir de lire à nouveau une aventure de Stephanie Plum, j'ai déjà lu le tome quatre et un inédit.

J'ai décidé de lire la série dans l'ordre et ce premier tome m'a beaucoup plu, c'est frais, Stéphanie est complétement déjanté, que dire de Mamie Mazur et de Morelli.

Stéphanie a perdu son travail au début de cette aventure, elle prend contact avec son cousin Vincent dit Vinnie , Stéphanie va apprendre que celui-ci engage des chasseurs de prime.

Elle va donc demander à faire parti de ces chasseurs, elle qui ne connait rien à ce métier, les situations improbables sont donc légion.

De plus Stéphanie décide de reprendre l'affaire concernant Morelli qui est une de ces connaissances et qui est le contrat le plus intéressant financièrement de l'agence.

Tout ne va bien sûr pas se passer comme prévu dans la ville du Bourg. Une lecture sympathique sans pris de tête mêlant humour, chick lit et policier.
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Une bonne découverte pour moi ! Je ne connaissais pas du tout cet auteur, ni son héroïne et c'est tout à fait par hasard , au gré de mes flâneries sur Babelio, que j'ai eu envie de lire ce petit livre somme toutes fort sympathique. On ne s'y ennuie pas une seconde, on rit même par moments devant les maladresses de Stéphanie Plum, héroïne presque malgré elle. C'est le genre de lecture un peu légère qui permet de décompresser . le style est enlevé et savoureux par moments. Il faut reconnaitre que ce livre se lit très rapidement car on a envie de connaitre la fin!
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Stephanie Plum s'apprête à aller chez ses parents pour le repas dominical. Plutôt une corvée : sa mère va encore lui prodiguer quelques conseils sur la vie à mener. Et elle n'a pas besoin de morale en ce moment, surtout qu'elle n'a plus de boulot, que sa voiture va être saisie, et que son frigo est vide... Finalement, elle se décide à aller voir son cousin Vinnie, qui tient une agence de chasseurs de prime. A l'aide d'un petit chantage bien senti, Stephanie réussit à décrocher un gros dossier : elle a une semaine pour attraper Joe Morelli, un flic soupçonné de meurtre.

Sincèrement, moi qui ne suis pas une bonne lectrice de romans que l'on classe chick- lit, celui-ci est plutôt réussi : l'héroïne est attachante, certaines situations sont assez drôles, d'autres plus sombres, l'enquête est pleine de rebondissements.

Je ne sais pas comment sera la suite (il y a de nombreux tomes), mais ce premier tome a totalement rempli son office de bon divertissement.
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Je commencerai tout de suite par le point que certains vont qualifier de négatif : ce livre est un mélange entre littérature policière pure et dure, et chick-litt. Voilà, ça y est, c'est dit, donc si vous aimez seulement les romans policiers, vous pouvez passer votre chemin sans problème. Sachez seulement que je n'ai pas lu ce roman pour son aspect policier, mais pour son aspect léger, divertissant, drôle. Un livre facile à lire, n'étaient les aventures rocambolesques de l'héroïne.
Stéphanie, effectivement, est dans la mouise jusqu'au cou, voire plus. Sa situation est tellement désespérée qu'elle demande un travail, quel qu'il puisse être, à son cousin Vinnie - la fin du monde est proche. Ce n'est pas exactement le travail auquel elle songeait au début, mais elle saute sur l'occasion : elle sera chasseuse de prime ! Il faut dire que son premier "contrat" est alléchant, retrouver Joe Morelli, policier rechercher pour meurtre. Un bel homme, ce qui ne gâte rien, certaines filles lui auraient bien mordu les fesses, et tant pis pour l'accusation de cannibalisme ! Stéphanie a quant à elle des souvenirs bien particuliers avec Joe, mélange de pain au lait, et du jour fatal où elle lui a foncé dessus en voiture.
Ah, les voitures, toute une histoire, surtout dans le New Jersey. Oui, le livre tout entier semble un hymne au New Jersey, ou plutôt, un rappel du fait que cet état américain a vraiment ses particularités. Entre le poisson qui lui dans la nuit, la tête de  Delco que l'on apprend à retirer très tôt pour être sûr de retrouver sa voiture le lendemain, et le fait qu'on n'aime pas trop que l'on tire sur un homme désarmé dans cet état, on est servi ! J'ajoute que Stéphanie est très entourée par sa famille. Très soutenue aussi : sa grand-mère a une façon très particulière d'accommoder le poulet. Il n'y a pas de lien de cause à effet, mais Stéphanie adore la cuisine de sa maman, et ne demande qu'une chose, au milieu de tous les événements sanglants qu'elle affronte : en profiter !
Alors oui, cette chasseuse de prime, on l'aime surtout pour les situations cocasses dans lesquelles elle est capable de se mettre, mais pas forcément de se sortir toute seule. Puis, il n'est pas que des situations cocasses, malheureusement pour Stéphanie, et pour les autres femmes. le roman date de 1994, et oui, cela a son importance. On était bien loin de parler des violences faites aux femmes comme on en parle aujourd'hui - et même aujourd'hui, il est encore énormément de progrès à faire. Alors oui, déjà à l'époque, le policier le répète, il faut porter plainte, ne surtout pas hésiter, parce que c'est la seule manière d'empêcher les hommes violents de nuire, ces hommes à qui on a appris qu'ils avaient tous les droits sur les femmes. Ne nous leurrons pas : s'en sortir seule est très difficile. Disons que Stéphanie a pu être aidée et bien entraînée.
Un roman pas révolutionnaire, mais qui sous des dehors comiques, nous interrogent sur la place des femmes, de toutes les femmes, dans notre société.
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One For The Money
Traduction : Philippe Loubat-Delranc

ISBN : 978266148900

Premier volume de la série des "Aventures de Stephanie Plum", cette "Prime" est un ouvrage d'exposition, d'où son rythme peut-être un peu tâtonnant, que l'on sent aussi bien dans le texte français que dans le texte original. Y apparaissent pour la première fois des personnages dont, en tous cas pour certains, comme Ranger par exemple, l'auteur semble encore hésiter sur ce qu'elle va faire d'eux. Trois petits tours et puis s'en iront ... ou reviendront-ils ? ...

L'intrigue est simple et pleine de joie de vivre, même si, il faut bien le dire, ça ne commence pas vraiment gaiement pour notre héroïne, qui vient d'être licenciée de son poste d'acheteuse à la lingerie E. E. Martin et qui, depuis près de deux mois (il me semble), cache la chose à sa famille : la maman, Helen, qui, bien que d'origine purement hongroise, présente certaines ressemblances avec les mères juives traditionnelles, considérant entre autres que, dans la vie, il faut faire trois bons repas par jour, sinon, l'on meurt (ou c'est tout comme ) ; le père, Frank, d'origine purement italienne, qui n'a jamais été très bavard mais qui est devenu quasi mutique depuis que sa belle-mère, Mamie Mazur, a emménagé chez sa fille et son beau-fils, à la mort de son époux (ça vaut d'ailleurs peut-être mieux car, et cela devient de plus en plus évident au fil des épisodes, l'un des plus chers désirs de Frank Plum serait de voir Mamie Mazur rejoindre son mari au Ciel, devant le Grand Rôti de Porc Edénique, suivi du Gâteau à l'Ananas non moins édénique ) ; la grand-mère, Mamie Mazur, de son petit nom, Edna, quatre-vingts ans et des poussières mais une vitalité à toute épreuve, dont l'un des intérêts majeurs dans la vie, hormis savoir tout ce qui se passe chez les voisins, est d'assister aux veillées mortuaires des autres, chez Stiva, l'entrepreneur de Pompes funèbres du Bourg (parce qu'elle a toujours peur d'être trompée sur la marchandise - enfin, on l'interprétera comme ça - Mamie Mazur a horreur des cercueils fermés qui ne le restent jamais longtemps avec elle. D'où l'obligation familiale, pour Stephanie, d'accompagner ponctuellement sa grand-mère aux veillées, afin d'éviter tout incident ... ) et enfin Valerie, l'autre fille des Plums, qu'on ne voit pas dans cet épisode, l'antithèse de sa soeur, à savoir qu'elle a fait un mariage parfait avec un homme parfait et en a eu deux filles parfaites (mis à part que l'une d'elle se prend régulièrement pour un cheval) qu'elle est partie élever en Floride ou en Californie, deux Etats parfaits, comme n'importe quel Américain vous le dira.

Née à Trenton, petite ville du New-Jersey, Stephanie a plus spécifiquement poussé son premier cri dans un quartier de la middle class, nommé "the Burg" en anglo-américain et "le Bourg" en français. Or, quiconque est né au Bourg reste indéfiniment du Bourg. C'est-à-dire qu'il ou elle ne peut pas faire un seul pas, parfait ou de travers, sans que sa famille ne soit immédiatement mise au courant. Stephanie ayant une tendance fâcheuse à faire tout le temps, et même sans le vouloir, des pas de travers, je ne vous raconte pas le nombre d'appels reçus par sa mère pour la prévenir des bêtises de sa rejetonne . Dans l'intimité, Mrs Plum dit alors, en levant les yeux au ciel et après s'être signée comme la bonne catholique qu'elle est : "Pourquoi moi ? ..." et elle se plonge dans un repassage frénétique qui la calme. Enfin, disons, qui l'amène au plus près d'une espèce de Nirvâna maternel ...

Le rêve de Mrs Plum est de voir Stephanie faire un mariage parfait - comme sa soeur. Depuis la petite enfance de Stephanie, elle redoute de voir celle-ci tomber entre les pattes de l'un des fils Morelli - une famille de voisins - celui que sa mère et sa grand-mère Bella (qui jette couramment le mauvais oeil à qui ne lui plaît pas) appellent couramment "Joseph" mais mieux connu des lecteurs et de Stephanie sous le diminutif de "Joe." Joe Morelli fut en effet très longtemps un coureur, qui, à peine âgé de huit ans, attira la petite Stephanie de six ans dans le garage de son père afin d'y jouer avec elle "au train", Stephanie constituant le tunnel et Joe, le train. Quand Stephanie eut seize ans, sous prétexte d'acheter un éclair au chocolat dans la boulangerie où elle travaillait comme remplaçante, il devint son premier amant. Puis il s'en fut, sans se retourner, s'enrôler dans la Marine. Revenu à la vie civile, il est devenu l'un des meilleurs flics de Trenton et Mrs Plum le redoute toujours autant pour sa fille bien que, il faille le reconnaître, maintenant qu'il est policier, il pourrait laisser une bonne retraite à la femme qui le choisirait ...

Bien loin d'épouser Joe Morelli, Stephanie, qui a fini par se dégoter un travail chez son cousin (par le père) Vincent (dit "Vinnie") Plum, Agent de Cautionnement Judiciaire de son métier, se voit confier comme première affaire à suivre le dossier de Joe, suspecté d'avoir abusé de ses fonctions de flic pour tirer sur un parfait innocent (au casier judiciaire cependant bien fourni) et qui, bien entendu, appliquant à la lettre le fait qu'on n'est jamais si bien servi que par soi-même, a pris la tangente avant de comparaître devant le juge. En d'autres termes, Joe Morelli est devenu un DDC - en anglo-américain un FTA - dont la tête est mise à pris pour 100 000 dollars, ce qui, si Stephanie parvient à le coincer, rapporterait à celle-ci la mirifique somme de 10 000 dollars.

Un peu à l'image de notre Perrette et de son pot-au-lait, Stephanie, qui a dû mettre pas mal de choses au clou pour survivre et est en retard d'au moins un mois sur son loyer, rêve à tout ce qu'elle pourra tirer de ces 10 000 dollars et se sent prête à tout pour coincer Joe Morelli. Lequel, en revanche, est de très méchante humeur tout d'abord parce qu'il est tombé dans le piège qu'on lui a manifestement tendu le soir où il a tiré sur l'"innocent au casier bien rempli", ensuite parce que, comme tout bon flic, italien de surcroît, il entend régler cette affaire par lui-même, et enfin quand il s'aperçoit de l'identité de celle que Vinnie le Rat a lancé à ses trousses.

Le problème, c'est que Stephanie n'a absolument aucune expérience du boulot pour lequel Vinnie, à qui elle a juré de dénoncer ses dernières frasques sexuelles à sa femme s'il ne l'engageait pas, lui a signé un contrat. Qu'à cela ne tienne, Connie, la secrétaire de Vinnie, italienne jusqu'au bout des oncles, la met illico en contact avec Ranger, le "Maître" des Chasseurs de Prime, ceci de l'avis tant des chasseurs que des chassés. D'origine américano-cubaine, Ranger est, au contraire de Joe Morelli, assez amusé par la situation de Stephanie - ce qui, chez lui, se traduit par la naissance d'un tremblement de sourire à l'une des commissures de ses lèvres. Après un premier entretien, il lui affirme qu'elle peut l'appeler en cas de besoin et lui recommande, entre autres, d'éviter un certain Ramirez, boxeur prodige du Bourg qui se double malheureusement d'un fêlé sexuel intégral (pire que Vinnie, c'est tout dire ) et particulièrement dangereux.

Bien entendu, Stephanie, qui est têtue comme une Italo-hongroise ou comme une Bretonne , n'en fait qu'à sa tête et manque se faire violer par ledit Ramirez. Bloqué dans son élan (je ne vous dirai ni par qui, ni comment, sinon que la personne qui vient au secours de la jeune femme est de plus en plus de mauvaise humeur ), Ramirez entre dans la phase "Fixation Impérieuse", ce qui, au passage, permettra à Stephanie de faire connaissance avec un personnage qui deviendra récurrent dans ses aventures, Lula, au départ prostituée à Stark Street, la rue où donne le "gymnase" où s'entraîne le Boxeur Dingue.

Sans être le plus comique de la série, "La Prime" a le mérite de poser des bases solides à une série qui mériterait d'être filmée pour la télévision - mais avec des acteurs adéquats. Et puis, qu'on le veuille ou non, on sourit et on rit beaucoup même si, au final, on se dit que Ramirez demeure l'une des créations les plus effrayantes de Janet Evanovich. A lire si vous voulez prendre un peu de bon temps ! ;o)
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"Les aventures de Stéphanie Plum" devraient être prescrites comme anti-dépresseurs ! C'est frais et sans prétention, pas compliqué pour deux sous et surtout hilarant !

Disons-le tout de suite, Stéphanie porte le livre à elle seule. Son personnage est tour à tour tête à claques, attachant et à mourir de rire. Elle est Miss Gaffe par excellence et on adore ça !
Lien : http://www.limaginarium.fr/m..
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J'ai commencé cette série car plusieurs personnes me l'ont recommandée et que je tentes de me mettre un peu plus au genre policier. Eh bien, je ne suis pas déçue! J'ai vraiment apprécié ma lecture.
Entre humour et intrigue policière, Stéphanie Plum c'est une série légère et fraîche, façon chick-lit.
Notre héroïne, Stéphanie, est gaffeuse et poisseuse, alors quand elle se lance dans le métier de chasseur de prime on imagine que ça risque d'être épique. Et ça l'est! Jonglant entre le harcèlement par un psychopathe et un ancien prétendant à appréhender pour meurtre, elle ne sait plus trop où donner de la tête. Enfin, l'intrigue est très bien construite, j'ai même été surprise à la fin!

En lisant cette série, il ne faut pas mettre la barre trop mais si vous voulez passer un bon et rigoler un peu, foncez!
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Des fous rires. Beaucoup de fous rires. C'est ce que je retiendrai de ce premier tome des aventures de l'apprentie chasseuses de prime, Stéphanie Plum. Une lecture vraiment agréable qui me réconcilie presque avec les romans policier, dont je ne suis vraiment, mais alors vraiment pas fan en général !

Disons que j'ai vu beaucoup d'avis positifs sur cette série policière et je me suis laissée tentée parce qu'on disait qu'il y avait de l'humour, et comme je cherchais une lecture légère, je me suis dit, banco !

Je ne regrette pas mon choix, j'ai vraiment été séduite par ce roman, dont je n'attendais vraiment pas beaucoup, à la limite de chick-lit et du policier. Deux genres qui ne sont pas trop mon truc d'habitude mais mixés ensemble c'est vraiment sympa.

Je me suis vraiment attachée à cette héroïne, pas mal maladroite, pal mal déterminée, un peu rancunière et carrément poisseuse mais drôle, des fois (souvent) sans le vouloir et c'est ça qui fait son charme.

J'ai été assez séduite par le fait que ça soit pas le grosse bombasse, la fille super sexy, la copine parfaite (d'ailleurs je ne sais pas qui est la fille sur la couverture, mais en tout elle ne ressemble pas à Stéphanie Plum !). Oui elle a de la répartie mais à côté elle est quand même des fois à côté de la plaque. Mais avec du cran. J'adhère.

D'ailleurs, les hommes ne s'y trompent pas, surtout le flic en cavale qu'elle est censé retrouver… et qui passe plus de temps à la retrouver elle, qu'elle lui. Bah oui, c'est qu'elle débute la petite, et franchement il a presque pitié d'elle. Leurs rencontres sont toujours extrêmement drôles. Ce séducteur ne manque pas de lui rappeler leur amourette 15 ans plus tôt rien que pour la faire enrager. Et ça marche. Mais malgré la rancune et la prime si elle le ramène, notre héroïne sur talons hauts hésite à le dénoncer. Non parce qu'elle est amoureuse (ouf, d'ailleurs, ça change !) mais parce qu'elle le trouve presque sympa, qu'il protège son cul mine de rien et que de toute façon elle n'a aucune chance de coffrer toute seule. Alors ils passent un marché…

C'est léger, c'est bien mené, on essaierait presque de devenir chasseur de primes (si on n'a pas peur des bosses, des gros bras, armés ou non, des heures sans bouger dans une bagnole pourrie en plein soleil et des escapades dans les bennes à ordures) et j'aime beaucoup les crapahutages de Stéphanie dans sa petite ville de banlieue dans le New Jersey. L'intrigue y est essentiellement concentrée et on commence à la connaitre comme notre poche, comme si on y vivait, et ça met dans l'ambiance !

J'espère ne pas vous en avoir trop révélé mais en tout cas pour moi ça été une lecture de franche rigolade sans être niaise pour autant. Je pense acheter le deux, vous imaginez !
Lien : http://lecturesduneguenon.wo..
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