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4,13

sur 2654 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je crois que Dicker n'est pas un auteur pour moi.
J'avais détesté la vérité sur l'affaire Harry Quebert et je m'étais promis de retenter avec l'auteur.

C'est donc chose faite... C'était mieux mais quand même pas très concluant.

Le début de l'histoire était prometteur, mais je me suis vite ennuyée.
En fait très sincèrement ses histoires de sexes, de voyeurisme m'ennuient de profondément.
Je trouve aussi que le rythme de la narration est assez lente... Allez allons dans le stéréotype : avec les Suisses c'est normal !!
Dans mon très jeune temps j'ai été frontalière en Suisse... Mon chef d'atelier était Suisse... On s'amusait a le chronométrer quand il traversait l'atelier. Il a très clairement gagné la médaille de la lenteur pour notre plus grand plaisir... A côté de ça c'était un chef génial et très humain.
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Revenons au bouquin. Et pourtant les avis Babelio sont plutôt très positifs.
Et au vu du succès de Dicker je ne vois que la solution que nous ne sommes pas fait l'un pour l'autre.
L'auteur fera son chemin et moi de mien.

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Service minimum ! On sent que Joël Dicker s'est beaucoup amusé à écrire ce roman qui se veut divertissant et c'est effectivement le cas, il se lit bien, en attendant un train ou sur une plage.
Mais on est bien loin ici des premiers textes de l'auteur (qui étaient vraiment bons) et bien proche du dernier paru en 2022 (qui était déjà très moyen). Un animal sauvage, c'est une suite d'incohérences et de rebondissements qui n'en sont pas, des dialogues très pauvres et d'agaçants retours en arrière. le seul moment de grâce est l'intrusion d'un roman italien censé donner la clé de l'énigme (mais il n'y a finalement pas d'énigme ?), mais dommage le sujet est vite abandonné.
Certes, le roman se vendra bien, marketing parfait et figure attachante de l'auteur. Mais bon ...
Alors, voilà, Monsieur Dicker, pour le prochain, essayez de mieux exploiter le talent qui est le vôtre et donnez-nous une vraie histoire, bien écrite, qui ait du corps et de l'esprit.
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Pour faire comme tout le monde me suis décidé à lire un bouquin de Joël Dicker.
Mal m'en a pris. Son dernier livre est du niveau d'un roman de kiosque de gare. Style d'une rédaction d'un collégien, intrique qu'on verrait chez les Pieds Nickelés.
J'ai de la peine à imaginer que Joël Dicker a eu un tel succès
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Bof, l'habituelle écriture peu recherchée pour une intrigue assez barbante. Mais ça plaît, semble-t-il, à beaucoup de monde. du coup je me demande si le fait de ne pas applaudir avec la masse fait de moi une ignorante... ou bien c'est le contraire !?!?
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Autant j'ai eu un gros coup de coeur pour la vérité sur l'affaire Harry Quebert, et que j'avais apprécié mais sans plus les Baltimore, après j'ai abandonné de le lire jusqu'à celui-ci ! et voilà, encore une déception ! Trop de répétitions, plat, et les personnages ne dégagent aucune émotion.
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Ça n'a pas pris – mais les changements constants de temporalité m'ont saoulée. Pas qu'ils ne soient compliqués, j'ai juste trouvé ça lourd (et ça me gonfle vite quand on copie-colle certains passages exactement en mode : et donc voilà on revient au point qu'on a abordé au début). Les personnages sont pénibles, caricaturaux, souffrants d'une misogynie ordinaire, voire sont carrément dérangeants (dsl Greg mais t'es creepy, va plutôt faire plaisir à Sandy le chien en la promenant) – et je sais qu'un livre n'est pas UNIQUEMENT ses personnages, mais je pense qu'ils aident énormément à s'attacher à l'intrigue et là Dicker en fait trop trop trop. Même Fauve est juste un personnage lourd – et je vois à chaque fois où l'auteur veut en venir avec ses personnages, d'autant qu'ils sont tous présentés sous leur pire jour pour qu'on s'y identifie aussi un peu, mais au final je trouve que ça a embourbé l'intrigue plus que ça ne l'a fait avancer positivement. Je n'avais lu de lui que Les derniers jours de nos pères, que j'avais trouvé magistrale, et paf je tombe sur ce livre-là. Même les grands dénouements m'ont semblé fades. Genre vous savez le SURPRISE de l'histoire interminable qu'un collègue raconte et où t'as décroché depuis 30min, c'est un peu ça.
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Ce livre est à l'image de notre société marchande : bien conçu, stéréotypé, sage, tiré au cordeau, aseptisé. Je l'ai lu comme on mange une pizza commandée sur internet. le texte est simple, écrit avec soin, sans surprise, sans relief. Les phrases sont courtes, la syntaxe élémentaire : sujet, verbe, complément. Je m'attendais à un ou plusieurs meurtres, mais il n'y en a pas. C'est le premier polar sans cadavre que je lis. C'est aussi un livre sans sexe, sans passion, sans colère, sans idées. Je comprends qu'il plaise à de nombreux lecteurs (et lectrices) qui n'aiment pas les aspérités, d'autant que l'auteur est particulièrement beau, sympathique, chaleureux. C'est le gendre idéal, le mari idéal, l'ami idéal, il a de beaux yeux, une belle voix teintée d'un léger accent suisse. Il aime et respecte les femmes, ce qui est rare dans la société brutale où nous vivons. En lisant ce roman, j'ai pensé à lui, je l'imaginais en train d'écrire sagement son livre à Genève tel un bon élève. Autre élément étonnant : l'importance des heures. Tout est chronométré à la minute près, comme si le livre avait été écrit par un horloger helvète. L'animal sauvage est un homme gentil très appliqué, je comprends qu'on puisse adorer sa prose. Pour ma part, dans un livre, je cherche tout autre chose, et c'est mon droit. Chacun ses désirs, ses passions.
Lien : https://lejournal.info/artic..
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Quand on demande à Joël Dicker quels sont ses secrets d'écrivain, quelles sont ses méthodes d'écriture, il dit souvent qu'il ne fait pas de plan, qu'il écrit ses romans sans connaître la fin par avance, découvrant l'histoire en même temps qu'il l'écrit. Une méthode qui parfois fonctionne plutôt bien comme dans le roman qui l'a fait connaître, La Vérité sur l'affaire Harry Quebert, ou encore dans le précédent L'Affaire Alaska Sanders, mais qui donne aussi, parfois, des ratages, comme avec le dernier en date, Un animal sauvage.

Écrivain à succès, bénéficient d'un lectorat fidèle, Joël Dicker sort des livres à fort tirage et donc sans trop de pression… mais ce n'est pas une raison pour se laisser aller à trop de facilité, comme c ‘est le cas dans son 7e roman, où il use et abuse des rebondissements et de retours en arrière à ne plus en finir, réduisant ainsi considérablement l'effet de surprise propre à ce type de mécanique.

Un animal sauvage met en scène un couple : Sophie, une séduisante avocate, et son mari, le tout aussi charmant Arpad Braun, travaillant lui dans une banque d'affaires. Installés dans une maison d'architecte, appelée dans les livre « la maison de verre », ils sympathisent avec un couple de voisins : Greg, policier dans une brigade d'intervention, et Karine, une vendeuse, tous deux habitant un modeste pavillon d'un quartier appelé « la verrue ». Fasciné par Sophie, Greg (en prétextant un jogging) va l'espionner chaque jour, au petit matin, l'observant discrètement à travers les grandes baies vitrées de sa maison. Et puis un jour, il se rend compte qu'un autre homme guette les allées et venues de la famille Braun. Qui est ce mystérieux espion, et que veut-il ?

Se met alors en place alors un jeu d'allers et retours entre passé et présent qui va permettre au lecteur de découvrir le passé trouble de Sophie et Arpad, qui, derrière leur image de « couple modèle », cachent bien des secrets…

Même si l'on ne considère pas Joël Dicker comme un grand auteur de polars, on peut reconnaître néanmoins que parfois, il a la recette parfaite pour concocter des page-turners sacrément efficaces, avec des histoires touffues et complexes, comme c'était le cas dans L'affaire Alaska Sanders.

Malgré une intrigue qui démarre plutôt bien, en tout cas assez captivante dans sa première partie, le récit finit par tourner en rond à peu près à la moitié du livre. Joël Dicker se perd alors dans une histoire, au final, trop tarabiscotée, bourrée de bons sentiments, avec des dialogues d'une grande platitude qui laisseraient presque à penser, par moment, que l'on est plus dans une télénovela brésilienne que dans un roman policier. Ajoutez à cela des incohérences trop nombreuses, des personnages trop stéréotypés qui tournent à la caricature, des situations bien répétitives, une histoire interminable, et vous aurez un roman, au final, sans âme, sans relief, sans aspérité.



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J'attendais ce nouveau roman avec beaucoup d'impatience. Ma déception a été presque à la hauteur de mon impatience.
On retrouve les codes et la narration de Joël Dicker. C'est simple et efficace. On retrouve les va et viens sur la ligne temporelle qu'il affectionne. Mais j'ai trouvé les personnages presque trop parfaits et du coup sans âme. Je n'ai pas réussi à m'attacher à eux. Quant à l'histoire je l'ai trouvé pour une fois trop prévisible.
Ce livre se lit vite mais il sera aussi vite oublié
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Le style minimaliste, voire plat et les personnages sans aucune épaisseur ont vraiment rendu cette lecture insipide. L'utilisation abusive de l'analepse semble constituer le seul ressort du récit. Et même si l'auteur multiplie les effets de surprise dans les derniers chapitres, je ne me suis pas régalée. Au fil des pages, j'ai ressenti un certain malaise tant les personnages sont peu plaisants. Menteurs, manipulateurs, narcissiques, violents, aucun n'inspire de sympathie, encore moins d'empathie.
J'ai poursuivi ma lecture, me disant que les critiques étaient élogieuses et que, peut-être, je ratais un truc… Non en fait 😊.
Je n'ai jamais retrouvé dans les romans qui ont suivi La vérité sur l'affaire Harry Quebert ce qui m'avait tant séduite : la construction du récit, le suspense, le mystère qui entourait les personnages, leurs relations ambivalentes… Dommage.
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