LE SECRET DÉVOILÉ
Enquête sur les mystères de Rennes-le-Château
1885. L'abbé Bérenger Saunière arrive dans sa nouvelle paroisse à Rennes-le-Château, village perdu au pays des Cathares. La petite église et le presbytère sont dans un état de délabrement avancé... Un an plus tard, le prêtre entame des travaux pharaoniques et érige un véritable domaine dans lequel il va bientôt recevoir, avec fastes, des hôtes de marque. Mais d'où vient l'argent ? Jamais l'abbé Saunière ne répondra clairement à cette question...
Après son décès en 1917, la rumeur enfle sur un prétendu trésor qu'aurait découvert Saunière lors des travaux de restauration de l'église. S'agit-il du fabuleux butin des Wisigoths ? Cinquante plus tard, Gérard de Sède publie L'Or de Rennes dans lequel il révèle les liens présumés de l'abbé Saunière avec la société secrète du Prieuré de Sion, fondé en 1909. Nouvelles rumeurs, nouvelles interprétations...
En 1982, c'est au tour de Henry Lincoln de connaître un succès planétaire avec son Énigme Sacrée qui inspirera le Da Vinci Code de Dan Brown...
En mettant en lumière des éléments inédits, Christian Doumergue revient méthodiquement sur la construction du mythe de Rennes-le-Château. Pour la première fois, il lève le voile sur le rôle essentiel d'un certain Pierre Plantard, manipulateur passionné par les symboles. Entre les lignes, au-delà des symboles, un message jusque-là insoupçonné apparaît au fil des pages. Et si le trésor de l'abbé Saunière était lié aux origines mêmes de l'humanité ? Et si l'énigme de Rennes-le-Château touchait à notre avenir ?
La découverte d'une incroyable vérité...
On referme le livre de Christian Doumergue avec de nouvelles certitudes. Préparez-vous à voir l'invisible...
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Au cours de mes recherches apparut un vrai mystère. Vrai en cela qu’il s’agissait d’un élément factuel, et non supposé : après la disparition de Jésus, « on » avait voulu faire oublier Marie-Madeleine. La gommer des livres d’histoire. Cela apparaissait de façon incontestable dans plusieurs écrits anciens et était confirmé par tout un faisceau d’indices liés à l’histoire du Christianisme. Texte après texte, je découvrais l’existence d’une véritable volonté d’effacer son souvenir.
Une disparition mémorielle qui avait nécessairement un mobile.
Quelques citations :
" Le Chat Magaud est un Matagot "
" Le Matagot est un Chat d'Argent "
" Le Chat Man sans queue retombe toujours sur ses pattes * "
* c'est le dernier animal monté à bord de l'Arche de Noë, en retard, la porte se referma sur sa queue qu'il perdit dans les eaux ; ainsi, le chat de l'île de Man n'a pas de queue.
Pourtant, (le blason et) la devise de cette île est surprenante : « Où que tu le jettes, il restera debout » ...
Bonne lecture !
Vous qui êtes en train de lire ces lignes pouvez faire cette expérience. Elle est troublante. Troublante et convaincante. Du moins... pour quiconque ne cherche pas à vérifier les informations. Car si le passage en Wingdings a incontestablement pour effet de faire apparaître le saisissant message visuel, la question qu'il faut se poser est la suivante : un des avions impliqués dans les attentats du 11 septembre avait-il bien pour numéro de vol : Q33NY ?
Après vérification, la réponse est non ! Autrement dit, ceux qui ont fabriqué de toutes pièces cette «information» ont d'abord écrit en Wingdings, puis sont passés à l'alphabet latin. Et ce faisant, ont fabriqué un numéro de vol fictif...
Le 2 février, Barack Obama, 44e président des États-Unis d’Amérique, doit prononcer son discours sur l’état de l’Union. Problème : le même soir, au même moment, la chaîne ABC avait programmé le lancement de la sixième saison de Lost. La série fantastique captive alors des millions d’Américains. D’épisode en épisode, elle a tissé un vaste réseau de questions sans réponse. La sixième saison est aussi la dernière. Autant dire qu’elle est attendue. Aussi, lorsqu’ABC envisage de repousser la diffusion de son premier épisode pour laisser place à Obama, on assiste, sur les réseaux sociaux, à une véritable levée de boucliers. Facebook, notamment, voit circuler une déclaration enflammée, affirmant : « Nous sommes le peuple américain et nous avons une voix ! Vous voulez détruire la réforme fiscale ? Ce n’est pas un problème. Vous voulez nous forcer à avaler votre réforme des soins de santé ? Allez-y ! […] Vous voulez éjecter Lost pour votre discours sur l’état de l’Union ? Nous ne soutiendrons pas cela ! » Résultat pour le moins inattendu : la Maison Blanche envisage dès lors de décaler le discours du Président.
La disparition de Marie-Madeleine des Actes des Apôtres n’était donc pas anodine. La première Epitre aux Corinthiens prouvait que « certains » avaient voulu faire oublier Marie-Madeleine. Comme je devais m’en rendre compte en poursuivant mes recherches sur cette « disparition », cette entreprise avait été délibérée. Et massive.
Quand on étouffe l'Histoire, celle-ci enfante des fantômes. C'est l'ultime moyen qui lui reste pour subsister. Ces spectres transmutent alors une partie de la vérité en une multitude de légendes qui traverseront les siècles pour briser nos certitudes.
La mort ne gagne jamais contre les bâtisseurs.
Marie Madeleine aurait eu des enfants avec Jésus, mais l'Église catholique aurait étouffé ces faits par la force et la terreur, et fait de Marie Madeleine une prostituée afin de condamner le désir charnel.
Grâce à son petit réseau, il avait pu mettre la main sur un lot de romans de Jules Verne. Tous provenaient des éditions Hetzel, avec leurs cartonnages en percaline rouge recherchés par les amateurs. Howard tenait un volume de L’Île mystérieuse, édition de 1903, et parcourait les gravures de Barbant, réalisées d’après les dessins de Férat. Insensiblement, il était sorti de l’expertise – qui situait le prix de vente du livre autour des 2 000 euros – pour se replonger dans des rêveries d’enfant, tissées d’îles désertes, d’aventures et de mystères.
Les relations que Marie-Madeleine avaient pu tisser en Orient avec la femme de Ponce Pilate sont ici déterminantes. Les évangiles signalent son intervention auprès de Ponce Pilate pour sauver Jésus.
Un scénario qui s'était déjà présenté aux lendemains des attentats du 11 septembre 2001. Très vite, là encore, s'étaient multipliées les théories pointant du doigt différentes anomalies, et concluant que le Gouvernement américain était complice des attaques contre le "Word Trade Center... Le Gouvernement Américain, ou autre chose. En effet, dans les jours qui suivent le 11 septembre, une affirmation va émerger parmi d'autres : les attentats seraient l'oeuvre des services secrets israéliens. Ces derniers auraient mis au point une manipulation d'ampleur pour légitimer et déclencher une guerre conduite par les États-Unis contre l'Islam... Sur Internet, les «informations» à ce sujet se multiplient. Elles se multiplient d'autant plus vite qu'à l'heure du tout numérique le copier-coller a une sidérante capacité de clonage et de duplication de l'«information».