Dans A la gorge, nous suivons Victor Caranne, psychologue carcéral. Lors de sa visite à Emilien Milkovitch dit Milou, ce dernier lui annonce qu’il a décidé de mettre fin à ses jours à la date anniversaire de son incarcération dans quelques jours. Depuis dix ans, il clame son innocence alors que tous les indices l’ont désigné coupable d’un double homicide. Assisté d’Anaïs, une jeune flic de la brigade de la Rochelle, il va essayer de prouver l’innocence de Milou.



A la gorge est un bon polar. L’intrigue est haletante et menée d’une main de maître. Dès le début, nous sommes happés par cette histoire et la tension, la course contre la montre, ajoutent un sentiment d’angoisse qui ne fait que s’accentuer à chaque chapitre.



Les personnages sont suffisamment travaillés, l’action rythmée et nous tournons les pages avec frénésie. La plume de Max Monnehay est fluide, prenante et très rythmée.



Je n’ai pas lu les deux premiers romans mettant en scène Victor Caranne et cela ne m’a pas dérangée pour lire A la gorge. En revanche, cela m’a donné envie de découvrir les romans précédents.
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C'est une découverte de l'auteure.

Jacques Saussey me l'a fortement conseillé, sur un salon.

Vu mon admiration pour cet écrivain, je ne pouvais que lui faire confiance.



Je voulais, impérativement, commencer les aventures de Victor Caranne, dans l'ordre.

Du coup, j'ai emprunté celui-ci à la bibliothèque municipale de ma ville.

Le suivant m'attend déjà dans ma PAL.



Julia Somb est découverte assassinée.

Ses proches sont fortement suspectés.



Jonas, son compagnon, et Victor, psychiatre pour des détenus, deux amis liés depuis l'enfance.

Toujours en quête de vérité, Victor va s'investir afin de prouver leur innocence.



L'histoire démarre lentement, et nous intrigue d'emblée.

Une plume vive, addictive, un humour tranchant.

Du mystère, des rebondissements.

L'auteure joue avec notre esprit de déduction. On se demande où elle veut nous emmener.



Un roman bien construit.

Les flashbacks nous éclairent sur ces personnages tourmentés.



Victor est très attachant.

Ses fêlures m'ont grandement touchés.

Il est torturé par un sentiment de culpabilité.

Un événement tragique lié à son passé.



Un dénouement qui m'a bluffé par un petit twist surprenant.

J'ai hâte de le retrouver dans "Je suis le feu".

Je découvre cette autrice... Et quelle découverte !

J'ai vu son 3eme roman #alagorge passer sur les réseaux et je me suis dit qu'il valait mieux commencer par le commencement...

J'ai donc lu #somb!

Et j'avoue que c'était pas mal du tout !

J'ai fait la connaissance de victor et c'est un vrai personnage !!!

J'ai aimé cette histoire !!!

On retourne dans le passé pour en savoir plus.... Encore plus....

On croit avoir le fin mot de cette histoire et en fait pas du tout... J' ai adoré ce cliffhanger à la fin !

J'ai rien venu venir... Et j'adore quand je suis surprise de cette façon !

Bien joué !

Du coup le deuxième livre de l'autrice m'attend déjà...



📖Victor Caranne est psychologue en milieu carcéral. Chaque jour il emprunte à moto le long pont qui relie le continent à l’île de Ré pour rejoindre la Citadelle, fortification reconvertie en prison. Chaque jour il écoute des détenus lui confier leurs fantasmes les plus abjects, leurs crimes les plus atroces. Ils n’ont rien à craindre: les menottes de Caranne se nomment secret professionnel. La découverte d’un corps, sur la grève d’une plage proche de sa villa, va soudain bouleverser sa vie. C’est, pour lui, une perte immense. Caranne va devoir replonger dans un passé qu’il faisait tout pour oublier. Et les certitudes qu'il avait sur sa vie vont, une à une, s’effondrer.

Gros coup de 💙 pour Somb de @max.monnehay



Je découvre la plume de cette jeune autrice et c’est une belle claque.



Les chapitres sont courts, incisifs, efficaces. Les personnages principaux nous sont présentés à tour de rôle et, rapidement, on prend une première petite claque.



On continue à tourner les pages et on arrive sur la scène du crime. Et là, on a envie de savoir ce qui s’est passé, comment, pourquoi, mais surtout qui est coupable.



On suit des pistes, puis d’autres. On découvre la psychologie des personnages, leur histoire, leur passif, leurs casseroles. Je me suis fait balader, j’ai souvent misé sur les mauvais coupables, mais aussi sur les vrais gentils.



La fin est magistrale. Du très bon roman, du psychologique, de l’ambiance, des personnalités. Fais-toi plaisir et ouvre Somb!
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Bon, ben c'était une mauvaise pioche. Rien n'a vraiment fonctionné pour moi, et dès le début.



Victor Caranne, psychologue carcéral au centre pénitentiaire de Saint-Martin-de-Ré, suit un nouveau patient, Emilien Milkovitch, qui clame son innocence du double meurtre pour lequel il a été condamné. Il lui confie vouloir se suicider dans une semaine, pour les dix ans de son incarcération. Une intuition de plus en plus forte convainc le psychologue de son innocence. Il embarque avec lui son amie Anaïs, flic à la PJ de la Rochelle. Ils ont une semaine pour mener leur contre-enquête et retrouver le vrai meurtrier.



Ce n'est pas la première fois que je me lance dans un polar inscrit dans une série sans avoir lu les précédents, quand il se présente comme une enquête indépendante. En général, je m'en sors, les auteurs faisant ce qu'il faut pour permettre au néo-lecteur de se glisser dans l'intrigue sans perte. Mais là, j'ai vraiment galéré.



La faute à des premiers chapitres maladroitement bourrés de références aux précédentes enquêtes ( Somb, Je suis le feu ) et de multiples spoils qui divulgâchent à fond. Surtout, j'ai vraiment eu la sensation de rester à quai tellement les personnages ont vécu ensemble sans moi. J'ai ressenti très fort qu'il me manquait une part très importantes des personnages, principaux ( Victor notamment ) et secondaires ( Marcus et Maddy ), pour les comprendre et apprécier leurs évolutions et interactions.



Je le regrette d'autant plus que le binôme Victor / Anaïs m'a plu, malgré les lacunes que j'avais sur leur vécu, duo attachant, lui, parfait bon samaritain rongé par la culpabilité et le doute, elle, intrépide à l'excès.



«Caranne avait compris d'où venait la pugnacité de la jeune femme. Comme lui, elle cherchait obstinément à régler une dette ancienne, sans savoir ni comment ni même à qui. A la différence près que lui savait que souffrir ou s'offrir en sacrifice ne rachèterait jamais leurs fautes. L'autopunition était un leurre dont on devenait vite accro.»



Si j'avais mieux compris ces deux personnages, sans doute aurais-je cru au point de départ de ce polar, mais là, j'ai eu du mal à croire qu'une simple intuition après une discussion avec un détenu qui clame son innocence comme tous les autres, suffise à mettre en branle la volonté de réouvrir une affaire archi classée. Soit.



Les trois quarts de l'enquête sont plutôt bien menés. L'écriture est plaisante ( même si elle a tendance à forcer un peu son humour ), dynamique, enchaînant les fausses-pistes, les faux-semblants et les chausse-trappes. Puis dans le dernier quart, j'ai trouvé que cela commençait à faire beaucoup de rebondissements invraisemblables jusqu'au coup de final too much pour moi ( mais pas pour la majorité des Babélionautes qui ont très bien noté ce polar ).

Je n'ai pas retrouvé dans ce 3e opus le souffle des deux précédents, SOMB et Je suis le feu. Les personnages sont bien installés, c'est peut-être une explication. Le fameux Milou qu'il est question de sauver n'ait guère intéressant. Mais il n'y a que la vérité qui compte, pour Victor Caranne.



J'ai eu l'impression qu'on partait sur une enquête plus calme, pour se remettre du final époustouflant et terrible du tome 2.

Mais le dernier tiers du roman renoue avec l'action, l'adrénaline, les retournements multiples. Quel bonheur ! Très cinématographique. On nous lâche même sur un cliffhanger, qui annonce un tome 4.

Qui pourrait commencer par "il n'y a pas d'hommes, il n'y a que des monstres", pour changer? Parce que bon, quand même... et le couplet sur le pardon, à moins que ce soit pour annoncer une reconversion de Caranne en pasteur?

C'est mon premier livre de cette auteure et une chose est sur ce ne sera pas le dernier .L'extrait avait tout de prometteur un jeune psychologue pénitencier qui chaque jour cherche a démêler le vrai du faux dans le discours de criminel qui ont commis le pire .Son job réside en le fait d'essayer de comprendre l'incompréhensible de chercher à discerner derrière un psychique complexe la nature de ces hommes qui ont tout l'air d'être loin de nos pensées mais qui pour autant reste des hommes, des humains . L'auteur dépeint la complexité du métier la peur qui est présente au quotidien et la difficulté de vivre avec tout le malheur qu'il est permis d'entrevoir par l'exercice de ce métier.



Le lourd passé de Victor s'entremêle avec le meurtre de Julia la femme de son meilleure amie avec qui il noue une relation interdite dans le dos de celui-ci. Tout s'enchaine Victor profondément attristé cherche à comprendre mais il sera surpris de l'identité du meurtrier qui lui rappellera que bien que par son métier il est appris a discerner la personnalité des autres .Ce discernement est quelque peu biaisé lorsqu'il s'agit des gens qu'il aime .



J'ai adoré ce livre il amène à rentrer dans les prisons un lieu pour moi si mystérieux qui cache tellement de souffrance , de malheur de tristesse mais éveille chez moi toujours une part de curiosité .Le personnage de Marcus est incroyable et nous redonne foi en la réinsertion des personnes qui sortent de prison .La réflexion qui est posé sur la difficulté des jeunes prisonniers a leur sortie pour une quelconque réinsertion est très intéressante puisqu'il est vrai qu'il est difficile pour chaque homme qui s'est formé en tant qu'humain dans une prison ou règne la violence et la loi du plus fort de s'acclimater aux code de notre société . Une réalité ou la prison est un endroit qui éduque et exempte les prisonniers de leurs vices n'est que tristement utopique .La prison est destructrice et amène à croire qu'une nouvelle solution de répression basée sur l'éducation serait préférable .

Je recommande ce livre +++

Victor Caranne, psychologue carcéral, rend visite à Emilien Milkovitch dit Milou. Dans quelques jours cela fera dix ans que Milou est incarcéré. Dix ans qu'il clame son innocence. Il l'a décidé, dans une semaine il va se suicider. Victor Caranne avec Anaïs, une jeune flic de la brigade de la Rochelle, vont essayer de prouver son innocence.

C'est un bon thriller.

J'ai beaucoup apprécié la plume de l'auteur, fluide, prenante et rythmée.

Je n'ai pas lu les précédents livres de Max Monnehay mais ça me donne envie de les découvrir.

J'ai aimé que chaque personnage est sa propre personnalité bien marquée et travaillée.

On s'attache facilement à Victor, Maddie et Anaïs. Je me suis attachée et j'ai rit avec eux.

Quant à l'enquête, il y a plusieurs rebondissements et on ne s'ennuie pas. Je n'avais pas anticipé la résolution de l'enquête.

Bref, c'est un thriller qui vous fera passer un bon moment.