Extrait de la quatrième de couverture de
la maman qui ne voulait plus être parfaite :
(...) Jusqu'au moment où, excédée par sa famille, elle craque et prend la décision de sa vie : adieu crèche, couches, poussettes et activités extra-scolaires ! La jeune femme part dans de folles aventures pour, enfin, réaliser ses rêves. Rien ne lui résiste, Que ce soit pour le meilleur ou ... pour le pire !
💥 le résumé officiel colle avec le mien au début, mais la fin, je n'en ai rien vu dans le livre. Et ça a un peu perturbé ma lecture.
Sur la couverture, il y a un commentaire du Sunday Post :
Un roman hilarant qui parlera à toutes les mamans.😓
Se sentir moins douée que les autres mamans, ça me parle, mais les rêves d'Ellen, dictés par Pinterest ou Louboutin👠, ça me passe par-dessus. Et qu'est-ce qu'elle picole ! D'ailleurs le titre en anglais est "Pourquoi maman picole", qui à mon avis correspond mieux au contenu.
Ellen, le personnage principal qui raconte ses mésaventures sous forme de journal, ressemble un peu à Bridget Jones (gaffeuse) et à la narratrice du roman
Mon mari de
Maud Ventura (car il y a une tension, un truc qui m'échappe).
Toujours à cause du résumé bizarre, j'espérais que ce ne serait pas comme dans
Changer l'eau des fleurs, de
Valérie Perrin, et que la crémaillère se mettrait en route. (Comme pour l'eau des fleurs, j'ai accroché vers la page 200)
Je trouve les personnages un peu trop caricaturaux (à la Bridget Jones) pour être attachants :
• la mère alcoolique, accroc au shopping
• L'ami : papa solo homo
• La copine (sainte-nitouche) qui divorce (genre je-ne-sais-plus-son-nom-dans-Sex-in-the-city)
• La famille bio qui déféque dans le jardin
• ...
Thèmes :
En faisant abstraction de la couverture, j'ai bien compris que les thèmes principaux de ce livre étaient le regard qu'on porte sur les autres, les idées qu'on se fait sur la vie des autres, bref qu'on porte des masques, mais qu'il vaut mieux communiquer, parler, partager pour se rendre compte qu'on est tous pareil : imparfait mais digne d'être aimé.