Un bel hommage au cinéma et surtout aux relations fortes que peuvent avoir une grand-mère et sa petite fille. Dans la vie, Nino a aimé deux choses : le cinéma, et sa petite fille Laura. Quand elle disparait, sa petite fille décide de s'essayer à l'écriture pour raconter ce qu'elles ont vécu elle et sa grand-mère ainsi qu'avec sa mère, présente en pointillé. Laura a été bercée par le cinéma et elle a une culture cinématographique impressionnante pour son âge. Les références sont donc nombreuses. Elle parle aussi du lycée et surtout des difficultés rencontrées lors du confinement pendant l'épidémie de covid et le retour de sa mère à ce moment-là. Ce portrait de trois générations de femme est touchant. #premierrôleeditionsthierrymagniermikaelollivier #NetGalleyFrance
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Lu dans le cadre du Prix Vendredi, ce roman pour adolescent aborde le confinement sous le prisme de la famille, notamment à travers trois personnages féminins très contrastés.
Il y a d'abord Nino, cette grande mère passionnée de cinéma, qui échappe à toutes les règles de la société pour être libre et s'occuper de sa petite fille adorée.
Il y a justement Laura, cette lycéenne un peu têtue qui vit une relation fusionnelle avec sa grand-mère et qui prendra la plume lorsque celle-ci décèdera.
Et enfin, il y a la mère de Laura, une magnifique femme qui a préféré prendre ses distances de sa fille car elle ne se sentait pas de l'élever seule.
Trois destins, trois caractères, trois personnages liés et en même temps très indépendants des uns des autres.
La place du cinéma est très importante pour comprendre le lien indéfectible qui unit Nino et Laura.
C'est un roman qui se lit vite, avec une surprise gardée jusqu'au bout et qui fait mal au coeur, une fois révélée.
L'intrigue est bien ficelée même si j'ai ressenti quelques longueurs et que j'aurais aimé en savoir davantage sur le personnage de la mère. Mais soit, c'est une lecture agréable et rapide !
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