Je dois rendre une critique sur ce livre, c'est le jeu.
Je regrette un peu de l'avoir sélectionné pour tout dire. Hormis le fait que l'édition soit plutôt soignée et imprimée en caractères assez gros pour un bigleux comme moi, l'intérêt que j'ai porté à cette histoire de potiers siciliens qui se lancent dans le théâtre n'a pas duré vingt pages.
( Et il y en a 350!)
Je n'étais peut-être pas bien luné ces derniers jours pour apprécier à sa juste valeur le produit de sept années d'écriture, mais j'ai trouvé ça laborieux. Les aventures vaicues par ces personnages vaguement foutraques m'ont laissé de marbre, la crudité des très (trop?) nombreux dialogues m'a littéralement empêché d'adhérer au contexte pseudo-antique syracusain. Même à grand renfort de consommation de vin de l'Etna, les tribulations d'un boiteux coiffé à l'huile d'olive amoureux d'une belle esclave Lydienne ne m'a jamais convaincu.
Pas vraiment sublime cette façon de traiter de l'art théâtrale et de son pouvoir de guérison.
Je suis certainement passé à côté de quelque chose....
Sorry!
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