Je comprends le propos... mais je n'arrive pas à entrer dans l'histoire, à être toucher. Je ne sais pas pourquoi : je reste trop spectatrice pour réellement apprécier ce qui est raconté.
Pourtant il y a plein de choses : la famille, les parents vieillissant, le frère, la copine. Les vieux potes qui sont restés sur place. les bouleversement de la vie des ouvriers. et même les artistes snobinards.
C'est peut-être trop lourd en si peu de pages !?
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Notre anti-héros Marco se frotte dans ce volet, aux affres des expos-photos, et l'ambiance décrite colle bien à une certaine réalité qu'endure aussi, dans ce milieu "artistique", les "quantités négligeables" ! C'est assez railleur et grinçant d'inélégance... !
Émilie est une jeune femme pleine de vie, de sagesse et de bon sens réaliste, dont émane un charme certain, qui n'est pas toujours reçu avec l'attention qu'il mériterait. Mais Marco s'enfonce dans ses angoisses, la détresse le gagne, les souvenirs d'une jeunesse disparue, et devant le naufrage de fin de vie de son père, il se dope dans un cocktail dangereux de cachetons anxiolytiques, d'alcool et "pétards". le résultat est absolument lamentable ...
Et c'est le choc, fin brutale et tragique du père ... la scène graphique rend très bien la douleur silencieuse, juste l'échange des regards voilés, l'émotion sans voix.
Les dessins de paysages sont soignés, l'atmosphère bien rendu.
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