Un grand merci à
Nicolas Laquerriére , aux éditions Harper Collins et , naturellement à l'équipe de Babelio qui m'ont offert ce roman dans le cadre d'une masse critique privilégiée.
Pénétrer dans un roman n'est pas forcément chose aisée et l'on sent trés rapidement si l'on va adhérer ou non , la suite se révélant anecdotique une fois la machine lancée. Bon , pour moi , dès le début, ce n'est pas vraiment le pied . Quoique , Henri , le roi du Coca Cola de chez
Mac Do , ce n'est pas son pied qu'il prend , mais un orteil qu'il perd : mais oui , diabète . ...Après, Brahim , chef de de la " cité " déclinant à cause d'al . Pas Capone, non , l'autre " zeihmer " . Ben oui , al , quoi , on le connait tous , lui , hélas , de près ou de loin....Et puis , Clara . Elle , elle disparaît. Henri veut faire un " pied " de nez à l'histoire puisque les " keufs " ne prennent pas l'histoire au sérieux dans la mesure où personne de la proche famille n'a pris le temps de porter plainte ....Étrange...
Moi , là , je commence un peu à tourner en rond , d'autant plus qu'un crocodile ... " On va où , papa " ?. Avec Camelia ou Kamel ? Bon , les deux , c'est la même personne , pas de quoi fouetter un chat .... Alors on suggère ..une belle fellation ...Et puis un langage " imagé " . Au plus fort de la réalité , enfin , c'est pas ça qui vous refile le diabète non plus , hein..( Je me hisse au niveau ). Moi , j'aime pas . Les effets de langage de banlieue n'ont aucune prise sur moi si ce n'est celle de m'agacer . Ça ne me fait pas rire , ça ne m'intéresse pas et , dans un roman , ça m'ennuie ,ça m'énerve, ça m'angoisse. Des gens homosexuels ? Aucun problème pour moi , je ne comprends même pas pourquoi en parler . Ils n'ont pas la même sexualité que moi , et alors ? Ils me respectent , je les respecte tout autant . Ils sont heureux, moi aussi ....Il serait bon , quand on écrit un roman ,de ne pas discriminer.....marginaliser , c'est un peu dépassé, tout ça , non ? Bon , ça " fait " des pages ....
Pour moi , le langage des banlieues, ça devient un peu " à la mode " , un peu "tendance " . Ces effets de style dans l'air du temps , au bout de quelques pages , ça devient insupportable mais , ça , c'est moi et rien que moi ...meme si je sais que ...Bon , on ne parle pas à la place des copains .
Il me semble que , sur Babelio , il convient d'être sincére . Ce livre ne sera qu'un passage et je ne poursuivrai pas , avec cet écrivain sûrement talentueux, une aventure qui m'a ennuyé. J'en suis désolé.
Je vous demande , bien entendu , de ne voir dans ce modeste commentaire, que le reflet de ma pensée . D'autres lecteurs et lectrices ont aimé, tant mieux .Pour moi , un rendez - vous manqué, un style trop " dans l'air du temps " pour ceux qui , comme moi s'en tiennent à un certain...clacissisme . Des vieux, quoi ...
Si vous permettez , je ne mettrai pas de note . Je serais incapable de produire un tel texte ( c'est admiratif ) et le fait que je n' aime pas est purement subjectif et ne doit pas vous détourner de ce roman .Ne pas apprécier une fiction est personnel et n'a aucune valeur d'absolu . Qu'est ce que ce serait prétentieux de ma part .
Allez chères et chers amis qui me faites l'honneur de me lire , merci et , à très bientôt .