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3,71

sur 394 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un ouvrage contemplatif et très doux. Ce restaurant rue Shōmen au Japon va surement vous plaire et vous mettre l'eau à la bouche. Nous allons découvrir des personnages tous différents avec un passé particulier, sachez que ce lieu n'est pas juste pas celui pour se restaurer mais pour se retrouver.

Nagare et Koishi père et fille gèrent ce lieu particulier et surtout aident des âmes en détresses. Tout du long ces personnes vont solliciter la famille pour retrouver une recette d'antan : d'une mère, d'un père, d'une épouse, enfin d'un moment important. Des recettes qu'ils n'arrivent jamais à reproduire peut-être par peur, tristesse ou nostalgie… Nagare et Koishi aideront ces âmes qui cherchent du réconfort et surtout l'envie de parler et parfois même de se décharger d'un poids.

J'ai apprécié cette lecture qui permet le temps d'un instant de découvrir des recettes alléchantes et à la douce mélancolie. Mais cela dit la trame est selon moi un peu rébarbative et certains personnages pas assez approfondis.
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J'ai lu ce livre pour ressortir d'une petite panne de lecture. Je l'ai choisi pour sa simplicité, sa jolie couverture et son thème qui me donnait très envie. J'ai été directement charmée par le concept de ce restaurant.
Toutefois je l'ai trouvé un peu trop simple. le schéma narratif se répète à chaque chapitre, c'est en même temps intéressant de voir la même situation avec des personnages différents, et en même temps redondant de lire les meme phrases des personnages principaux prononcés à chaque chapitre. Les pointes de sexismes conservateurs de nombreuses situations m'ont également quelque peu agacé.
Tout de même, ce livre m'a fait passé un bon moment et j'en ai encore beaucoup appris sur la culture japonaise. Il m'a donné envie de me renseigner sur la cuisine traditionnelle et sur les différentes régions du Japon.
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Un livre qui sent bon la cuisine et l'amour entre un père et sa fille. Ces deux derniers ont ouvert un restaurant un peu spécial. Pas d'enseigne, ni de publicité hormis une phrase dans un magazine culinaire. Les clients qui viennent ici sont des habitués ou des personnes à la recherche de goûts perdus ou oubliés. Grâce à des enquêtes approfondies, le chef cuisinier, ex-policier, s'engage à cuisiner pour le quémandeur, la recette demandée.

J'ai bien aimé cette lecture, et j'ai trouvé l'idée sympa. Mais pour moi qui ne connais rien du Japon, c'était un peu dur à la lecture. Entre les noms, prénoms et lieux que je ne connais pas du tout, j'ai été souvent perdue. de plus, je pense qu'il me manquait réellement la connaissance des aliments et des plats japonais pour en apprécier les références. Surtout qu'il y a énormément de descriptions culinaires.

Malgré tout, j'ai passé un bon moment divertissant.
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« Le restaurant des recettes oubliées » nous présente six personnages en quête des saveurs d'un plat dont la recette s'est perdue.
Un agréable voyage dans l'univers de la cuisine et des recettes qui les ont marqués.
Dont je n'ai pas pleinement profité, n'étant pas une experte en gastronomie japonaise.

Les séquences sont répétitives, les descriptifs des plats destinés « aux spécialistes », et les évocations géographiques laborieuses pour qui n'est pas calé en géographie.
Les personnages auraient mérité un peu plus de consistance, et une histoire dans laquelle ils pouvaient évoluer (mais c'est peut-être une attente trop occidentale).
Dommage, j'aurais bien aimé trouver ce restaurant, j'aurais eu quelques souvenirs à leur soumettre…
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le sobre restaurant Kamogawa est tenu par Nagaro et sa fille Koishi. Il a pour particularité d'avoir un bureau pour les recettes oubliées: chacun, souhaitant retrouver un plat marquant ou de son enfance, peut demander à ce qu'il soit confectionné par Nagare. Nous suivons l'histoire de plusieurs de ces personnes à la recherche d'un plat unique pour eux.
Il est difficile de ne pas comparer ce roman à celui de Ito OGAWA "Le restaurant des bonheurs retrouvés". Il est fait honneur à la cuisine japonaise ainsi qu'à l'extrême raffinement de sa vaisselle. Les petites histoires sont plaisantes avec à chaque fois une pointe d'émotion et un dénouement digne d'Agatha Christie.
Malgré ces qualités, je trouve que le récit manque de profondeur. Les plats, tréees divers, sont uniquement énumérés; il n'y a pas de place par la gourmandise que peut apporter la préparation culinaire ou la description sensorielle des aliments. le récit reste superficiel avec ces scénettes qui se suivent mais qui ne s'ancrent pas dans une histoire plus globale. Malgré tout, l'écriture est très plaisante, fluide et délicate.
Une lecture agréable mais qui manque de saveur.
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Sur le papier, ce roman avait tout pour me plaire :
- de la nostalgie
- de la gourmandise
- du dépaysement
- de la douceur
- de l'altruisme
- une idée très originale

Et pourtant, ces six tranches de vie ne m'ont pas embarquée à la hauteur de ce que j'espérais... J'ai finalement eu du mal à m'attacher à Nagare et sa fille Koishi... Un roman trop parcellaire pour moi et des enquêtes gourmandes que j'aurais aimé plus étoffées.... Comme dans un plat, j'ai trouvé que ce roman manquait de liant ;-)

Déçue d'avoir été déçue... ou en tout cas de ne pas avoir apprécié autant que je l'attendais...
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"Le restaurant des recettes oubliées" est un roman assez court, à l'ambiance cosy

La couverture est plutôt mimi, avec Roupillon installé confortablement pour sa sieste
C'est une histoire pleine de gourmandise ! Les plats décrits ont l'air délicieux, même si je ne connais quasiment aucun des ingrédients (de la cuisine japonaise, je n'ai jamais mangé que des sushis :/)
Mais c'est super pour la découverte.
Il y a beaucoup de noms de lieux, aussi. Lire ce livre, c'est un peu comme voyager au Japon, un voyage culinaire :)
J'ai trouvé ce livre très répétitif, mais contrairement à d'autres livres, ici cela ne m'a pas dérangée...Cela m'a plutôt fait penser à l'atmosphère d'un conte de fée. Les contes sont souvent répétitifs
Par ailleurs, j'ai appris que "unagi" désigne un type d'anguille, ce qui n'est pas sans me rappeler un certain épisode de Friends ^^
De plus, ce livre, de par son format et son sujet, m'a évoqué le roman "Tant que le café est encore chaud". Je n'ai jamais lu le deuxième tome, mais ce roman-ci m'a donné envie de reprendre la série

Pour les côtés négatifs, je dirais que la manière dont Nagare retrouve les recettes, est un petit peu tiré par les cheveux, parfois.
Aussi, les dialogues m'ont quelquefois rendue confuse (je pensais que tel personnage parlait, en fait, il s'agissait d'un autre)

En conclusion, c'est un petit roman sympa pour passer un bon après-midi, et découvrir (ou redécouvrir) la culture japonaise !
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Après sa retraite d'enquêteur de police, Nagare, ouvre avec sa fille un minuscule restaurant à Kyoto. Il s'évertue à préparer, après un solide questionnaire et des recherches fouillées, un plat exactement similaire à celui enfoui dans le souvenir du client.
Le roman est divisé en six chapitres, chacun concernant une recette. Ils sont chaque fois, partagés en deux parties. D'abord, l'enquête sur le plat du passé à mitonner, ainsi que les circonstances dans lesquelles il avait été dégusté, ensuite la réalisation de la recette, l'appréciation du client, et une histoire relatée actualisant le moment d'antan.
D'habitude, je n'aime pas la littérature japonaise, mais la quatrième de couverture m'avait tentée. Bien que ce soit très bien écrit, les lieux et les repas évoqués sont trop loin de ce que je connais pour que je puisse m'identifier. Je m'emmêlais aussi dans les noms des personnes, des endroits et nourritures dont je n'ai pas l'habitude. Je ne suis jamais parvenue à apprécier.
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🍤 Un roman qui se lit comme une petite parenthèse d'émotions. A travers les six parties qui composent ce récit, on entre dans un bout d'intimité des protagonistes. Ceux qui viennent retrouver des saveurs, des souvenirs vivent cette expérience à travers le prisme de la nostalgie. le lecteur aussi. Chaque histoire se dessine sur le même schéma mais à travers les recettes on constate que chaque personne nous donne des bouts de lui. Et quels morceaux choisis! Pendant cette lecture, je n'ai pas été sans me demander ce que serait ma requête personnelle. Choisir un plat symbolique d'une existence. de ce qui fait que nous sommes devenus telle ou telle personne. Derrière les souvenirs il y a des choix de vie, des conséquences... La gastronomie est un point important dans notre vie mais nous l'oublions bien souvent.

🍱 On peut avoir une sensation de manque à travers cette lecture. On aimerait en savoir plus, notre curiosité étant plus forte que la raison. Mais, parfois, ne vaut-il pas mieux laisser les choses là où elles sont et poursuivre son chemin? Rentrer trop dans l'intimité des uns et des autres feraient probablement perdre de la magie de l'instant offert par ce petit moment partagé en quelques pages. Je pense que c'est ce qui prime pour apprécier ce roman. Se satisfaire de ce qu'on nous donne. En tirer des émotions et se montrer reconnaissant.
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Douceur au rendez-vous !

Une chose est sûre : il est déconseillé de lire ce livre le ventre vide, car il donne faim 🫢

Je dois cependant être honnêtement : j'ai été quelque peu déçue de cette lecture.
J'ai beaucoup aimé le thème, le schéma de 6 histoires/tranches de vie et le côté gastronomie japonaise qui est centrale ici. C'est également un livre qui se lit très vite.

Malheureusement j'ai trouvé qu'au bout de 2 ou 3 histoires, on avait fait le tour et que cela allait seulement se répéter dans l'histoire suivante... un petit manque de profondeur selon moi... disons que j'ai trouvé cela trop prévisible.

Il s'agit seulement de mon ressenti évidemment, et cela n'entache en rien la gourmandise et la douceur qui émanent de ce livre ! D'ailleurs, j'ai vu sur la 4e de couverture qu'il a été adapté en série télévisée au Japon et je trouve ce format plus adapté 🤷
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